Le 7e Festival culturel national des Aïssaoua de la ville de Mila a pris fin en apothéose, mardi soir, avec un concert haut de gamme du groupe constantinois Errachidia. L'animateur de l'ultime soirée n'avait pas fini d'annoncer l'entrée sur scène de cette troupe que cette dernière, attendue «côté jardin», fit irruption aux sons des «bendirs» de l'autre côté de la salle, parmi le public, provoquant un début de transe dans les rangs de la nombreuse assistance. Evoluant à la manière de la célèbre «khardja» de Sidi-Rached, le saint patron de la cité des ponts, les membres du groupe ne rejoignirent la scène de la maison de la culture qu'après avoir donné un avant-goût à ce qui allait être une soirée mémorable, marquée par une extraordinaire fusion avec le public. Du chant Essalat oua essalam aâla Mohamed aux mada'ih religieux constituant les standards du chant de la «Hadra» à Constantine, en passant par une qacida en hommage au fondateur de la tariqa aïssaouia, Mohamed Ben Aïssa, dit Cheikh El Kamel, la troupe Errachidia a réussi à provoquer, avec ses chúurs, ses musiciens et ses percussionnistes, sous la direction du maestro Cheikh Azzouz Bouabid, une atmosphère où l'allégresse s'est mêlée au mysticisme. La troupe Errachidia de Constantine a été créée en 1984. Elle s'emploie, depuis, avec d'autres formations du Vieux Rocher, à préserver l'authenticité de cet art séculaire. Le nombreux public présent à la soirée de clôture avait auparavant été «mis en appétit» par la troupe de la Zaouia Et-Taïbia de Laghouat qui a réussi à subjuguer l'assistance par sa musique aïssaoua déclinée selon le style sahraoui, propre au sud algérien. Selon un avis unanime, la 7e édition du Festival culturel national des Aïssaoua de Mila a tenu toutes ses promesses de par la qualité des troupes participantes, dont deux sont venues de Tunisie et de Libye, et de par la grande affluence du public, chaque soir depuis l'ouverture de la manifestation mercredi dernier. Le festival qui a réuni 30 troupes de différentes régions du pays, marqué également par 9 conférences dédiées au thème de la culture et de la musique aïssaoua, a également profité, dans le cadre d'actions de proximité, à plusieurs localités de la wilaya de Mila. Le 7e Festival culturel national des Aïssaoua de la ville de Mila a pris fin en apothéose, mardi soir, avec un concert haut de gamme du groupe constantinois Errachidia. L'animateur de l'ultime soirée n'avait pas fini d'annoncer l'entrée sur scène de cette troupe que cette dernière, attendue «côté jardin», fit irruption aux sons des «bendirs» de l'autre côté de la salle, parmi le public, provoquant un début de transe dans les rangs de la nombreuse assistance. Evoluant à la manière de la célèbre «khardja» de Sidi-Rached, le saint patron de la cité des ponts, les membres du groupe ne rejoignirent la scène de la maison de la culture qu'après avoir donné un avant-goût à ce qui allait être une soirée mémorable, marquée par une extraordinaire fusion avec le public. Du chant Essalat oua essalam aâla Mohamed aux mada'ih religieux constituant les standards du chant de la «Hadra» à Constantine, en passant par une qacida en hommage au fondateur de la tariqa aïssaouia, Mohamed Ben Aïssa, dit Cheikh El Kamel, la troupe Errachidia a réussi à provoquer, avec ses chúurs, ses musiciens et ses percussionnistes, sous la direction du maestro Cheikh Azzouz Bouabid, une atmosphère où l'allégresse s'est mêlée au mysticisme. La troupe Errachidia de Constantine a été créée en 1984. Elle s'emploie, depuis, avec d'autres formations du Vieux Rocher, à préserver l'authenticité de cet art séculaire. Le nombreux public présent à la soirée de clôture avait auparavant été «mis en appétit» par la troupe de la Zaouia Et-Taïbia de Laghouat qui a réussi à subjuguer l'assistance par sa musique aïssaoua déclinée selon le style sahraoui, propre au sud algérien. Selon un avis unanime, la 7e édition du Festival culturel national des Aïssaoua de Mila a tenu toutes ses promesses de par la qualité des troupes participantes, dont deux sont venues de Tunisie et de Libye, et de par la grande affluence du public, chaque soir depuis l'ouverture de la manifestation mercredi dernier. Le festival qui a réuni 30 troupes de différentes régions du pays, marqué également par 9 conférences dédiées au thème de la culture et de la musique aïssaoua, a également profité, dans le cadre d'actions de proximité, à plusieurs localités de la wilaya de Mila.