«Il existe des dynamiques d'entrepreneuriat social dans les pays du Maghreb. Il s'agit de développer un new deal entre l'Etat, les entreprises publiques et les citoyens pour concrétiser l'entrepreneuriat social afin de créer des emplois, réduire l'informel. Le microcrédit et les petites coopératives peuvent être de bonnes manières de lutter contre le marché noir » a notamment déclaré, hier, Tarek Ghezali, expert en entrepreneuriat social établi en France, à l'hôtel Sofitel, lors d'une conférence organisée par le Cercle d'action et de réflexion sur l'entreprise et la Fondation Friedrich Naumann. Pour ce conférencier, l'intérêt général est la finalité recherchée par l'entrepreneuriat social en citant les exemples algériens des start-ups, de La Casbah business Angels et de l'incubateur cyber parc de Sidi Abdellah, Injaz Algérie, et même la Silicon Valley de la Californie où travaillent de nombreux chercheurs et des compétences algériennes expatriées. « Les bonnes pratiques des pistes d'action en Algérie concernant l'entrepreneuriat social préconisent l'étude de l'état des lieux alors que le prix de l'entrepreneuriat social prône le suivi wilaya par wilaya et voir les initiatives toute n identifiant au plus près les dynamiques sociales » a t-il dit. Il ajoute que « les 50 à 100 initiatives sont porteuses de projets d'avenir sachant que les filières d'action sont à mettre sur la table pour les entreprises publiques et privées, tel que le secteur du tourisme solidaire et durable. Autrement dit, Ghezali souligne qu'il faut communiquer, promouvoir et sensibiliser les jeunes. Celui-ci précise que l'action d'entreprendre requiert des prises de risques l'innovation, l'engagement et une vison claire, ainsi que de l'ambition. Il y a lieu également de mobiliser des ressources en choisissant un modèle économique viable, tandis que le côté social vise à répondre à des besoins fondamentaux en luttant contre l'exclusion été n protégeant l'environnement. Il recommande, par ailleurs, un désintéressement et un engagement du citoyen. Aussi, il indique que l'essentiel consiste à réinvestir l'argent dans des projets structurants de rentabilité importants. » C'est, en fait, utiliser les outils privés au service de l'utilité générale et changer le regard sur les choses, à l'exemple de Bionoor Algérie, première entreprise algérienne certifiée Bio. Ainsi, Bionoor, fondée et dirigée par Hadj Khellil, est la première à avoir reçu la certification agriculture biologique en Algérie, grâce à la production de dattes bio. Cette entreprise importe et distribue en France des produits du monde entier issus du commerce équitable ou certifiés bio, tels que les dattes, le thé, chocolat et fruits et légumes. Bionoor œuvre à l'essor de l'agriculture bio en Algérie et permet aussi aux producteurs locaux de vivre mieux.Parmi els pratiques historiques d'entrepreneuriat socail en Algérie, Ghezali cite, notamment, le modèle de la Touiza dans le monde rural pour la construction d'édifices, les labours et les récoltes, ainsi que la réfection des voieries, car, selon lui, l'union fait la force. «Il existe des dynamiques d'entrepreneuriat social dans les pays du Maghreb. Il s'agit de développer un new deal entre l'Etat, les entreprises publiques et les citoyens pour concrétiser l'entrepreneuriat social afin de créer des emplois, réduire l'informel. Le microcrédit et les petites coopératives peuvent être de bonnes manières de lutter contre le marché noir » a notamment déclaré, hier, Tarek Ghezali, expert en entrepreneuriat social établi en France, à l'hôtel Sofitel, lors d'une conférence organisée par le Cercle d'action et de réflexion sur l'entreprise et la Fondation Friedrich Naumann. Pour ce conférencier, l'intérêt général est la finalité recherchée par l'entrepreneuriat social en citant les exemples algériens des start-ups, de La Casbah business Angels et de l'incubateur cyber parc de Sidi Abdellah, Injaz Algérie, et même la Silicon Valley de la Californie où travaillent de nombreux chercheurs et des compétences algériennes expatriées. « Les bonnes pratiques des pistes d'action en Algérie concernant l'entrepreneuriat social préconisent l'étude de l'état des lieux alors que le prix de l'entrepreneuriat social prône le suivi wilaya par wilaya et voir les initiatives toute n identifiant au plus près les dynamiques sociales » a t-il dit. Il ajoute que « les 50 à 100 initiatives sont porteuses de projets d'avenir sachant que les filières d'action sont à mettre sur la table pour les entreprises publiques et privées, tel que le secteur du tourisme solidaire et durable. Autrement dit, Ghezali souligne qu'il faut communiquer, promouvoir et sensibiliser les jeunes. Celui-ci précise que l'action d'entreprendre requiert des prises de risques l'innovation, l'engagement et une vison claire, ainsi que de l'ambition. Il y a lieu également de mobiliser des ressources en choisissant un modèle économique viable, tandis que le côté social vise à répondre à des besoins fondamentaux en luttant contre l'exclusion été n protégeant l'environnement. Il recommande, par ailleurs, un désintéressement et un engagement du citoyen. Aussi, il indique que l'essentiel consiste à réinvestir l'argent dans des projets structurants de rentabilité importants. » C'est, en fait, utiliser les outils privés au service de l'utilité générale et changer le regard sur les choses, à l'exemple de Bionoor Algérie, première entreprise algérienne certifiée Bio. Ainsi, Bionoor, fondée et dirigée par Hadj Khellil, est la première à avoir reçu la certification agriculture biologique en Algérie, grâce à la production de dattes bio. Cette entreprise importe et distribue en France des produits du monde entier issus du commerce équitable ou certifiés bio, tels que les dattes, le thé, chocolat et fruits et légumes. Bionoor œuvre à l'essor de l'agriculture bio en Algérie et permet aussi aux producteurs locaux de vivre mieux.Parmi els pratiques historiques d'entrepreneuriat socail en Algérie, Ghezali cite, notamment, le modèle de la Touiza dans le monde rural pour la construction d'édifices, les labours et les récoltes, ainsi que la réfection des voieries, car, selon lui, l'union fait la force.