Le terroriste voulait faire beaucoup de morts parmi les gendarmes. Il roulait à grande vitesse, ce qui laisse prédire que la préparation de cet attentat s'est faite hors de nos frontières et dans une conjoncture très complexe. Il est question du cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie. L'Algérie est ciblée dans sa propre histoire. Le terroriste voulait faire beaucoup de morts parmi les gendarmes. Il roulait à grande vitesse, ce qui laisse prédire que la préparation de cet attentat s'est faite hors de nos frontières et dans une conjoncture très complexe. Il est question du cinquantenaire de l'indépendance de l'Algérie. L'Algérie est ciblée dans sa propre histoire. 29 juin de ce vendredi cauchemardesque. 5h du matin. Une forte déflagration est ressentie sur plusieurs kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Ouargla. Toute la population est sous le choc. Que s‘est-il passé, s‘interrogent les citoyens ? Un kamikaze, d‘origine inconnue, a tenté de forcer le siège du commandement régional de la Gendarmerie nationale de Ouargla, situé en plein centre de ladite wilaya. Ce terroriste a été, fort heureusement, freiné par des barricades dressées par les gendarmes à quelques mètres seulement de l‘entrée principale de leur CR. Des tirs de balles nourris ont été échangés entre les gendarmes et le kamikaze. Un bref accrochage qui a poussé le terroriste à déclencher son engin de mort occasionnant une forte explosion tuant sur le coup le terroriste. L‘explosion a provoqué un énorme souffle qui a provoqué l‘effondrement d‘une façade et d‘un poste de surveillance du CR. Bilan : un officier mort sur le coup et trois gendarmes blessés et évacués vers l‘hôpital de la ville. Suite à cet attentat, le périmètre du siège du CR de la Gendarmerie nationale a été complètement bouclé, afin de permettre d‘évacuer les blessés. Une enquête est menée, actuellement, afin de tenter d‘identifier le terroriste, mais surtout élucider les circonstances de l‘attentat, à commencer par connaître la provenance du véhicule utilisé pour cette attaque. Toutefois, il est fort possible que le kamikaze se soit introduit d‘un pays voisin, la Libye ou la Tunisie ou même le Niger. En attendant les résultats de l‘enquête, des pistes sont sérieusement suivies par les enquêteurs de la Gendarmerie nationale. D‘ailleurs, il est fort possible que les auteurs de cet attentat appartiennent au mystérieux groupe terroriste appelé le Mouvement pour l‘unicité et le jihad en Afrique de l‘Ouest (Mujao). Cette organisation avait, à maintes reprises, menacé de frapper les intérêts algériens. En mai dernier, un porte-parole du Mujao avait menacé d‘exécuter des attaques ciblant le territoire algérien. L‘Algérie est considérée par cette organisation comme étant le seul pays ennemi, faut-il le signaler. Le même groupe est derrière le rapt, le 5 avril dernier dans la ville malienne, Gao, des 7 diplomates algériens . Il est important de rappeler, également, que c‘est le même groupe qui est derrière l‘attentat suicide ayant ciblé, le 3 mars passé, le siège de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Tamanrasset. Un attentat qui avait fait 23 blessés : 17 gendarmes et 6 civils qui étaient de passage. L‘acharnement de cette organisation criminelle suscite beaucoup d‘interrogations sur son origine, sur ses objectifs et sur ses plans qui ciblent l‘Algérie. En tout cas, l‘insécurité qui règne actuellement au Sahel et dans certains pays maghrébins affectent la sécurité des frontières algériennes. Des frontières qui sont de plus en plus les cibles des groupes terroristes et des trafiquants agissant dans le crime organisé. Toutefois, l‘enjeu sécuritaire est pris très au sérieux par les autorités algériennes. Cela dit, non seulement les frontières algériennes, tant celle de Tunisie que du Maroc sont hautement sécurisées et des caméras de télésurveillance sont en train d‘êtres installées afin de mieux lutter contre les forces du mal. Au moment de mettre sous presse nous apprenons que le Mujao a revendiqué l‘attentat 29 juin de ce vendredi cauchemardesque. 5h du matin. Une forte déflagration est ressentie sur plusieurs kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Ouargla. Toute la population est sous le choc. Que s‘est-il passé, s‘interrogent les citoyens ? Un kamikaze, d‘origine inconnue, a tenté de forcer le siège du commandement régional de la Gendarmerie nationale de Ouargla, situé en plein centre de ladite wilaya. Ce terroriste a été, fort heureusement, freiné par des barricades dressées par les gendarmes à quelques mètres seulement de l‘entrée principale de leur CR. Des tirs de balles nourris ont été échangés entre les gendarmes et le kamikaze. Un bref accrochage qui a poussé le terroriste à déclencher son engin de mort occasionnant une forte explosion tuant sur le coup le terroriste. L‘explosion a provoqué un énorme souffle qui a provoqué l‘effondrement d‘une façade et d‘un poste de surveillance du CR. Bilan : un officier mort sur le coup et trois gendarmes blessés et évacués vers l‘hôpital de la ville. Suite à cet attentat, le périmètre du siège du CR de la Gendarmerie nationale a été complètement bouclé, afin de permettre d‘évacuer les blessés. Une enquête est menée, actuellement, afin de tenter d‘identifier le terroriste, mais surtout élucider les circonstances de l‘attentat, à commencer par connaître la provenance du véhicule utilisé pour cette attaque. Toutefois, il est fort possible que le kamikaze se soit introduit d‘un pays voisin, la Libye ou la Tunisie ou même le Niger. En attendant les résultats de l‘enquête, des pistes sont sérieusement suivies par les enquêteurs de la Gendarmerie nationale. D‘ailleurs, il est fort possible que les auteurs de cet attentat appartiennent au mystérieux groupe terroriste appelé le Mouvement pour l‘unicité et le jihad en Afrique de l‘Ouest (Mujao). Cette organisation avait, à maintes reprises, menacé de frapper les intérêts algériens. En mai dernier, un porte-parole du Mujao avait menacé d‘exécuter des attaques ciblant le territoire algérien. L‘Algérie est considérée par cette organisation comme étant le seul pays ennemi, faut-il le signaler. Le même groupe est derrière le rapt, le 5 avril dernier dans la ville malienne, Gao, des 7 diplomates algériens . Il est important de rappeler, également, que c‘est le même groupe qui est derrière l‘attentat suicide ayant ciblé, le 3 mars passé, le siège de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Tamanrasset. Un attentat qui avait fait 23 blessés : 17 gendarmes et 6 civils qui étaient de passage. L‘acharnement de cette organisation criminelle suscite beaucoup d‘interrogations sur son origine, sur ses objectifs et sur ses plans qui ciblent l‘Algérie. En tout cas, l‘insécurité qui règne actuellement au Sahel et dans certains pays maghrébins affectent la sécurité des frontières algériennes. Des frontières qui sont de plus en plus les cibles des groupes terroristes et des trafiquants agissant dans le crime organisé. Toutefois, l‘enjeu sécuritaire est pris très au sérieux par les autorités algériennes. Cela dit, non seulement les frontières algériennes, tant celle de Tunisie que du Maroc sont hautement sécurisées et des caméras de télésurveillance sont en train d‘êtres installées afin de mieux lutter contre les forces du mal. Au moment de mettre sous presse nous apprenons que le Mujao a revendiqué l‘attentat