Assad Si El-Hachemi, commissaire du Festival international du film amazigh, estime qu'"une ambiance de potache règne au sein de la bibliothèque communale d'Azeffoun, où a élu domicile la résidence d'écriture depuis déjà deux années (2011 et 2012)". Assad Si El-Hachemi, commissaire du Festival international du film amazigh, estime qu'"une ambiance de potache règne au sein de la bibliothèque communale d'Azeffoun, où a élu domicile la résidence d'écriture depuis déjà deux années (2011 et 2012)". Pour ce faire, tous les moyens humains et matériels ont été réunis par le commissariat du FCNAFA afin de favoriser l'émergence de jeunes talents d'écriture de scénarios. Bien entendu, l'apport de la municipalité d'Azeffoun sur le plan logistique est à saluer. C'est là le bilan qu'établit le responsable de ce festival qui se tient chaque année dans la ville de Tizi-Ouzou. La résidence d'écriture est l'une des activités annexe qu'initie annuellement le commissariat du festival. Cette deuxième résidence d'écriture scénaristique d'été du FCNAFA a pour but de déceler du talent, sinon de propulser des scénaristes en herbe «qui ne demandent qu'à s'exprimer pour peu que leur soit offerte l'opportunité d'éclosion». Un autre objectif consiste à permettre aux scénarios retenus de trouver preneurs auprès d'un éventuel exécutif producteur. Concernant la participation pour cette année, on pourrait citer la participation de Chih Ali, auteur de «Juste une heure». Cette trame narre ce qu'un enfant est en droit d'attendre de son père en matière d'affection : «De par ses prédispositions artistiques, issu de l'ISMAS, le stagiaire exerce le métier de monteur au sein d'une chaîne de télévision. De ce fait, Chih Ali n'a eu de cesse de briller au tout début d'une carrière qui se veut prometteuse, relève M. Assad. Ce dernier ajoute que, s'agissant de l'amour maternel, Makhloufi Amokrane, un cinéphile venu de la médina des Hammadite, entraîne le lectorat dans l'amour abyssal d'une mère pour son enfant : «L'auteur, qui s'est basé sur un fait authentique, relate une chronique née d'un proverbe du terroir, qui, dans le cas présent, s'est s'avéré dramatique à plus d'un titre. Et pour cause, cela a hypothéqué l'avenir de l'enfant. En ce sens, de tels fléaux qui endeuillent des familles d'ici et d'ailleurs, méritent donc d'être portés sur le petit écran ou pourquoi pas au cinéma, pour peu que cela capte l'intérêt des commissions de lecture de l'ENTV et ou du FDATIC.» Quant au troisième participant, à savoir Belabed Rabah, notre interlocuteur souligne que ce dernier n'est plus à présenter puisqu'il est le lauréat d'un prix d'encouragement en section «Jeunes talents» pour son long métrage «Marathon au village» qu'il a présenté lors du 12e FCNAFA au mois de mars 2012. De nature ambitieuse, Rabah est porteur d'un projet de scénario digne d'intérêt, eu égard au sujet tabou d'une jeunesse si fragile et toujours en quête de repères. Fort d'une expérience qui lui a valu la production de trois œuvres cinématographiques en amateur, l'auteur ambitionne avec un encadrement que lui propose le Festival, de franchir allègrement un pas vers le professionnalisme. C'est du moins l'appréciation de M. Assad. qui avertit que la liste d'auteurs naissants n'est pas pour autant exhaustive, puisqu'on y trouve également le jeune Yachir Mohamed Akli, fraîchement sorti de l'ISMAS avec la tête pleine d'ambitions. Assistant-réalisateur de son état, Mohamed Akli nourrit l'espoir de faire aboutir son premier scénario qui a suscité l‘admiration du jury institué par le FCNAFA. Son histoire est celle d'un étudiant dont le désir de réussite s'est heurté à une kyrielle d'écueils qui l'ont contraint à une issue malheureuse. «S'agissant du doyen des participants à la deuxième résidence d'écriture du FCNAFA, en l'occurrence Bacha Belkacem, notre retraité s'est découvert un talent longtemps étouffé en dépit de ses fréquentations du milieu artistique qu'il a côtoyé à la Radio nationale. Néanmoins, le FCNAFA lui tend aujourd'hui la perche qui l'emmènera à coup sûr, vers la vocation qu'il s'est découverte sur le tard. Faisons alors le vœu qu'une fresque cinématographique s'adoptera de son scénario intitulé «Le courage d'une femme», qui narre un film d'action et d'aventure «qui manquent tant dans la filmographie nationale», enchaîne M. Assad. Rappelons que l'encadrement chargé du suivi de la période d'écriture en résidence est assuré par les membres de la commission de lecture ayant effectué la sélection des textes ainsi que par deux scénaristes confirmés dépendant de 2 A Développement (France). Il s'agit de Sofia Alaoui et de Ghislain Cravatte. Pour ce faire, tous les moyens humains et matériels ont été réunis par le commissariat du FCNAFA afin de favoriser l'émergence de jeunes talents d'écriture de scénarios. Bien entendu, l'apport de la municipalité d'Azeffoun sur le plan logistique est à saluer. C'est là le bilan qu'établit le responsable de ce festival qui se tient chaque année dans la ville de Tizi-Ouzou. La résidence d'écriture est l'une des activités annexe qu'initie annuellement le commissariat du festival. Cette deuxième résidence d'écriture scénaristique d'été du FCNAFA a pour but de déceler du talent, sinon de propulser des scénaristes en herbe «qui ne demandent qu'à s'exprimer pour peu que leur soit offerte l'opportunité d'éclosion». Un autre objectif consiste à permettre aux scénarios retenus de trouver preneurs auprès d'un éventuel exécutif producteur. Concernant la participation pour cette année, on pourrait citer la participation de Chih Ali, auteur de «Juste une heure». Cette trame narre ce qu'un enfant est en droit d'attendre de son père en matière d'affection : «De par ses prédispositions artistiques, issu de l'ISMAS, le stagiaire exerce le métier de monteur au sein d'une chaîne de télévision. De ce fait, Chih Ali n'a eu de cesse de briller au tout début d'une carrière qui se veut prometteuse, relève M. Assad. Ce dernier ajoute que, s'agissant de l'amour maternel, Makhloufi Amokrane, un cinéphile venu de la médina des Hammadite, entraîne le lectorat dans l'amour abyssal d'une mère pour son enfant : «L'auteur, qui s'est basé sur un fait authentique, relate une chronique née d'un proverbe du terroir, qui, dans le cas présent, s'est s'avéré dramatique à plus d'un titre. Et pour cause, cela a hypothéqué l'avenir de l'enfant. En ce sens, de tels fléaux qui endeuillent des familles d'ici et d'ailleurs, méritent donc d'être portés sur le petit écran ou pourquoi pas au cinéma, pour peu que cela capte l'intérêt des commissions de lecture de l'ENTV et ou du FDATIC.» Quant au troisième participant, à savoir Belabed Rabah, notre interlocuteur souligne que ce dernier n'est plus à présenter puisqu'il est le lauréat d'un prix d'encouragement en section «Jeunes talents» pour son long métrage «Marathon au village» qu'il a présenté lors du 12e FCNAFA au mois de mars 2012. De nature ambitieuse, Rabah est porteur d'un projet de scénario digne d'intérêt, eu égard au sujet tabou d'une jeunesse si fragile et toujours en quête de repères. Fort d'une expérience qui lui a valu la production de trois œuvres cinématographiques en amateur, l'auteur ambitionne avec un encadrement que lui propose le Festival, de franchir allègrement un pas vers le professionnalisme. C'est du moins l'appréciation de M. Assad. qui avertit que la liste d'auteurs naissants n'est pas pour autant exhaustive, puisqu'on y trouve également le jeune Yachir Mohamed Akli, fraîchement sorti de l'ISMAS avec la tête pleine d'ambitions. Assistant-réalisateur de son état, Mohamed Akli nourrit l'espoir de faire aboutir son premier scénario qui a suscité l‘admiration du jury institué par le FCNAFA. Son histoire est celle d'un étudiant dont le désir de réussite s'est heurté à une kyrielle d'écueils qui l'ont contraint à une issue malheureuse. «S'agissant du doyen des participants à la deuxième résidence d'écriture du FCNAFA, en l'occurrence Bacha Belkacem, notre retraité s'est découvert un talent longtemps étouffé en dépit de ses fréquentations du milieu artistique qu'il a côtoyé à la Radio nationale. Néanmoins, le FCNAFA lui tend aujourd'hui la perche qui l'emmènera à coup sûr, vers la vocation qu'il s'est découverte sur le tard. Faisons alors le vœu qu'une fresque cinématographique s'adoptera de son scénario intitulé «Le courage d'une femme», qui narre un film d'action et d'aventure «qui manquent tant dans la filmographie nationale», enchaîne M. Assad. Rappelons que l'encadrement chargé du suivi de la période d'écriture en résidence est assuré par les membres de la commission de lecture ayant effectué la sélection des textes ainsi que par deux scénaristes confirmés dépendant de 2 A Développement (France). Il s'agit de Sofia Alaoui et de Ghislain Cravatte.