Au moment où l'espoir commençait à s'estomper, à petites doses, notre Sonatrach à nous tous vient de décider après études et probablement moults concertations d'engager un plan jamais engagé auparavant. Elle est avec Cosider devenue la planche de salut, pour d'abord, d'une manière ou d'une autre les entreprises qui prennent en charge la réalisation de programmes qui pourraient glisser dangereusement et passer à la trappe comme beaucoup de programmes ayant enrichi les «issabate». On s'en réjouit quelque part mais on aurait voulu un environnement plus sain. Pour cause d'intérêt général et surtout du monde entier : chaque arbre planté est un plus pour toute l'humanité. Notre Sonatrach à nous tous vient de faire sien un programme « sauveur ». Ce rêve tant cher aux riverains de forêts ou des futurs néo-ruraux et surtout de tous les algériens en général va connaître le jour. Ce ne sont pas moins de 45.000.000 (quarante-cinq millions) d'arbres rustiques et fruitiers qui seront plantés sur 45.000 ha (quarante-cinq mille hectares). Le choix des zones est presque fini car la Direction générale des forêts (la DGF) à travers ses conservations aux niveaux des wilayas maîtrisent bien le terrain. Cela ne concerne pas l'ensemble des 58 wilayas et plus. Il y a d'abord les parcelles et zones à l'intérieur du Barrage vert et ensuite les riverains des massifs forestiers. Ce programme concerne les wilayas du Barrage vert. Djelfa est indiquée pour quelle soit l'épicentre du programme de développement. Dans les normes des statistiques, chaque hectare en intensif emploie trois personnes. Ainsi, l'un dans l'autre, ce programme va générer cent-trente-cinq mille emplois en permanence. Pour l'impact corollaire, c'est presque le double. Il serait judicieux de réfléchir aux différentes formules de fonctions. Ne serait-il pas judicieux d'encourager la création de coopératives familiales ou un organisme issu des futurs propriétaires des vergers fruiticoles (oliveraies, amanderaies, pistacheraies et carrouberaies) ? Ce sont tous des arbres à fleurs, donc des arbres mellifères, d'où une production spécifique de chaque miel dont les ruches peuvent fournir jusqu'à 50 kilogrammes de miel chacune. Elles peuvent donner beaucoup plus. Gardons cette moyenne et calculons ensemble la future production nationale de cet alicament à raison de dix ruches par hectare : (45.000*10*50), on aura 25 millions de kilogrammes. Le monde sera moins amer.