Deux importants projets énergétiques ont été réalisés et mis en exploitation, ces trois dernières années, à travers la wilaya de Béchar, dans le but d'améliorer les conditions de vie du citoyen. Deux importants projets énergétiques ont été réalisés et mis en exploitation, ces trois dernières années, à travers la wilaya de Béchar, dans le but d'améliorer les conditions de vie du citoyen. Le premier projet a porté sur la connexion en mai 2009 de la wilaya de Béchar au réseau national électrique, à travers la réalisation d'une ligne de 400 KV Naâma-Béchar, longue de 350 km, qui a totalement sécurisé la production et la distribution de cette énergie dans la wilaya. Auparavant, les 21 communes de la wilaya étaient confrontées aux contraintes des coupures de courant et des perturbations des réseaux de distribution, notamment en période estivale, avant la mise en service de cette ligne qui a nécessité un investissement de 960 millions de dinars pour sa réalisation et son équipement, en plus de l'installation de trois postes blindés pour la distribution de cette énergie dans la ville de Béchar. Cette réalisation a été suivie par la rénovation partielle des réseaux de distribution à travers la commune du chef-lieu de wilaya, pour un coût de plus de 200 millions de dinars, dans le but de mieux répondre aux besoins des habitants en énergie électrique, a-t-on indiqué à la Direction locale du secteur de l'énergie et des mines (DME). Mise en service de la ligne 60 KV Béchar-Béni-Ounif En marge de cette opération d'envergure, il a été également procédé à la réalisation et la mise en service d'une ligne de 60 KV Béchar-Béni-Ounif sur un linéaire de 110 km, pour mettre fin aussi aux contraintes des coupures et perturbations sur le réseau de distribution des habitants de cette commune frontalière. Un montant de plus de 250 millions de dinars a été dégagé pour la concrétisation de cette ligne, mise également en service en mai 2009. Ce qui s'est traduit par une nette amélioration de l'offre en la matière et aussi par le renforcement et l'extension du réseau de distribution de l'énergie électrique aux zones rurales et éloignées de la région située en proximité des frontières sud-ouest du pays. Impact du gazoduc Labiodh Sidi Cheikh- Béchar Le deuxième grand projet énergétique dont a bénéficié la wilaya est celui relatif à l'approvisionnement en gaz de ville de la région à partir du gazoduc Labiodh Sidi-Cheikh-Béchar sur une distance de 352 km. Ce projet d'un coût global de 17,89 milliards de dinars a déjà permis le raccordement de plus de 15.000 foyers au réseau de distribution public de gaz de ville, à travers les communes de Béchar, Béni-Ounif, Abadla, Béni-Abbès et Taghit. Au niveau des quatre dernières communes, les réseaux de distribution qui développent un linéaire de 300 km sont en cours de réalisation, tel le cas de celui de Béni-Ounif, d'une consistance de 40 km, lancé durant la première quinzaine de février 2012 pour un coût de 106 millions de dinars En plus de son apport aux besoins domestiques des habitants des communes bénéficiaires, la distribution de cette énergie gazière est appelée à constituer aussi un support de développement économique de la wilaya, à travers sa mise à la disposition d'éventuels investisseurs dans le secteur industriel, estime-t-on la DME. Le premier projet a porté sur la connexion en mai 2009 de la wilaya de Béchar au réseau national électrique, à travers la réalisation d'une ligne de 400 KV Naâma-Béchar, longue de 350 km, qui a totalement sécurisé la production et la distribution de cette énergie dans la wilaya. Auparavant, les 21 communes de la wilaya étaient confrontées aux contraintes des coupures de courant et des perturbations des réseaux de distribution, notamment en période estivale, avant la mise en service de cette ligne qui a nécessité un investissement de 960 millions de dinars pour sa réalisation et son équipement, en plus de l'installation de trois postes blindés pour la distribution de cette énergie dans la ville de Béchar. Cette réalisation a été suivie par la rénovation partielle des réseaux de distribution à travers la commune du chef-lieu de wilaya, pour un coût de plus de 200 millions de dinars, dans le but de mieux répondre aux besoins des habitants en énergie électrique, a-t-on indiqué à la Direction locale du secteur de l'énergie et des mines (DME). Mise en service de la ligne 60 KV Béchar-Béni-Ounif En marge de cette opération d'envergure, il a été également procédé à la réalisation et la mise en service d'une ligne de 60 KV Béchar-Béni-Ounif sur un linéaire de 110 km, pour mettre fin aussi aux contraintes des coupures et perturbations sur le réseau de distribution des habitants de cette commune frontalière. Un montant de plus de 250 millions de dinars a été dégagé pour la concrétisation de cette ligne, mise également en service en mai 2009. Ce qui s'est traduit par une nette amélioration de l'offre en la matière et aussi par le renforcement et l'extension du réseau de distribution de l'énergie électrique aux zones rurales et éloignées de la région située en proximité des frontières sud-ouest du pays. Impact du gazoduc Labiodh Sidi Cheikh- Béchar Le deuxième grand projet énergétique dont a bénéficié la wilaya est celui relatif à l'approvisionnement en gaz de ville de la région à partir du gazoduc Labiodh Sidi-Cheikh-Béchar sur une distance de 352 km. Ce projet d'un coût global de 17,89 milliards de dinars a déjà permis le raccordement de plus de 15.000 foyers au réseau de distribution public de gaz de ville, à travers les communes de Béchar, Béni-Ounif, Abadla, Béni-Abbès et Taghit. Au niveau des quatre dernières communes, les réseaux de distribution qui développent un linéaire de 300 km sont en cours de réalisation, tel le cas de celui de Béni-Ounif, d'une consistance de 40 km, lancé durant la première quinzaine de février 2012 pour un coût de 106 millions de dinars En plus de son apport aux besoins domestiques des habitants des communes bénéficiaires, la distribution de cette énergie gazière est appelée à constituer aussi un support de développement économique de la wilaya, à travers sa mise à la disposition d'éventuels investisseurs dans le secteur industriel, estime-t-on la DME.