Dans le cadre du cinquantenaire de l'indépendance nationale, la Cinémathèque Algérienne organise, le mardi 10 juillet 2012 à 18H00 à la Cinémathèque d'Alger, une séance de projection-débat autour du film documentaire Ils ont rejoint le Front , réalisé par Jean Asselmeyer en présence du réalisateur qui animera un débat à cette occasion. Le cinéaste Jean Asselmeyer, invité à l'occasion de cette projection effectuera par la suite une tournée à travers les salles de répertoire de la Cinémathèque algérienne afin de présenter son dernier film et animera des débats lors de cette tournée. Cette tournée s'achèvera le 17 juillet à Bejaia. Dans le cadre du cinquantenaire de l'indépendance nationale, la Cinémathèque Algérienne organise, le mardi 10 juillet 2012 à 18H00 à la Cinémathèque d'Alger, une séance de projection-débat autour du film documentaire Ils ont rejoint le Front , réalisé par Jean Asselmeyer en présence du réalisateur qui animera un débat à cette occasion. Le cinéaste Jean Asselmeyer, invité à l'occasion de cette projection effectuera par la suite une tournée à travers les salles de répertoire de la Cinémathèque algérienne afin de présenter son dernier film et animera des débats lors de cette tournée. Cette tournée s'achèvera le 17 juillet à Bejaia. La moudjahida Annie Steiner, Felix Colozzi, Pierre Chaulet et Roberto Muniz nous expliquent à travers ce documentaire ce qui les a amenés à se solidariser avec le combat du peuple algérien pour arracher son indépendance sous le joug colonial et risquer de perdre leur liberté et leur vie. Ces quatre grands témoins qui vivent toujours en Algérie, nous montrent ce qu'a été réellement cette colonisation, qu'ils ont, eux, perçue comme l'oppression d'un peuple par un autre. «Mon précédent film Ils ont choisi l'Algérie était essentiellement consacré à des personnes qui vivaient en Algérie au moment de la guerre de Libération. Je me propose ici de poursuivre cette thématique afin de présenter d'autres personnes qui, venus d'ailleurs, ont décidé de s'associer au formidable effort du peuple algérien dans sa lutte pour son indépendance», anonne le réalisateur, Jean Asselmeyer. Dans l'une de ses interventions, le réalisateur avait souligné qu' «un article du Monde diplomatique avait consacré une double page à la thématique de ceux qui sont restés, prouvant là aussi un intérêt pour ces personnes auxquelles il est temps de rendre hommage. Certains figurent déjà dans mon film ». Aujourd'hui, celles et ceux qui sont devenus des Algériens d'origine européenne ou autre, peuvent contribuer significativement, et la plupart le font avec conviction à l'élaboration d'un espace méditerranéen fraternel et solidaire. Une mer qui unit et non un gouffre qui sépare les peuples. Un espace où les cultures s'échangent, sans que l'une domine ou encore moins assimile l'autre. «Ces personnes, celles présentées dans mon précédent film et celles présentées dans celui-ci, sont des relais vivants entre des peuples qui se sont affrontées par le passé, loin des nostalgiques d'un passé tragique, elles font parti du camp de ceux qui, en ces temps de crises, variées, multiformes investissent dans l'espoir et prennent le risque de gagner une société plus humaine, sur les deux rives" , conclut Jean Asselmeyer. Après une formation pratique de deux ans à la télévision de la Bayerische Rundfunk à Munich, où il collabore à de nombreux téléfilms et sujets d'informations, il se lie avec le jeune cinéma allemand en particulier Fassbinder, Alexander Kluge, et Volker Schlöndorff, Jean Asselmeyer collabore à de nombreux téléfilms. Il réalise, en 1998 un premier documentaire : La Bataille de la production, suivi de Regards d'en face (2003) et de Ilsont choisi l'Algérie en 2007. Son premier film à été diffusé en France : De qui dépend que l'oppression demeure coréalisé avec Pierre-André Boutang en 1975. Il a à son actif plusieurs publications, en particulier sur l'Allemagne dans la revue Les Temps Modernes « Le Nouvel Observateur, Le Monde diplomatique. Cofondateur à Munich des éditions Trikont-Verlag... Il est fondateur de la première télévision associative autorisée à émettre en France « Ondes sans Frontières » (OSF). La moudjahida Annie Steiner, Felix Colozzi, Pierre Chaulet et Roberto Muniz nous expliquent à travers ce documentaire ce qui les a amenés à se solidariser avec le combat du peuple algérien pour arracher son indépendance sous le joug colonial et risquer de perdre leur liberté et leur vie. Ces quatre grands témoins qui vivent toujours en Algérie, nous montrent ce qu'a été réellement cette colonisation, qu'ils ont, eux, perçue comme l'oppression d'un peuple par un autre. «Mon précédent film Ils ont choisi l'Algérie était essentiellement consacré à des personnes qui vivaient en Algérie au moment de la guerre de Libération. Je me propose ici de poursuivre cette thématique afin de présenter d'autres personnes qui, venus d'ailleurs, ont décidé de s'associer au formidable effort du peuple algérien dans sa lutte pour son indépendance», anonne le réalisateur, Jean Asselmeyer. Dans l'une de ses interventions, le réalisateur avait souligné qu' «un article du Monde diplomatique avait consacré une double page à la thématique de ceux qui sont restés, prouvant là aussi un intérêt pour ces personnes auxquelles il est temps de rendre hommage. Certains figurent déjà dans mon film ». Aujourd'hui, celles et ceux qui sont devenus des Algériens d'origine européenne ou autre, peuvent contribuer significativement, et la plupart le font avec conviction à l'élaboration d'un espace méditerranéen fraternel et solidaire. Une mer qui unit et non un gouffre qui sépare les peuples. Un espace où les cultures s'échangent, sans que l'une domine ou encore moins assimile l'autre. «Ces personnes, celles présentées dans mon précédent film et celles présentées dans celui-ci, sont des relais vivants entre des peuples qui se sont affrontées par le passé, loin des nostalgiques d'un passé tragique, elles font parti du camp de ceux qui, en ces temps de crises, variées, multiformes investissent dans l'espoir et prennent le risque de gagner une société plus humaine, sur les deux rives" , conclut Jean Asselmeyer. Après une formation pratique de deux ans à la télévision de la Bayerische Rundfunk à Munich, où il collabore à de nombreux téléfilms et sujets d'informations, il se lie avec le jeune cinéma allemand en particulier Fassbinder, Alexander Kluge, et Volker Schlöndorff, Jean Asselmeyer collabore à de nombreux téléfilms. Il réalise, en 1998 un premier documentaire : La Bataille de la production, suivi de Regards d'en face (2003) et de Ilsont choisi l'Algérie en 2007. Son premier film à été diffusé en France : De qui dépend que l'oppression demeure coréalisé avec Pierre-André Boutang en 1975. Il a à son actif plusieurs publications, en particulier sur l'Allemagne dans la revue Les Temps Modernes « Le Nouvel Observateur, Le Monde diplomatique. Cofondateur à Munich des éditions Trikont-Verlag... Il est fondateur de la première télévision associative autorisée à émettre en France « Ondes sans Frontières » (OSF).