Rencontré en marge de la séance photos de la Citroën C-Elysée, M. François Dabadie (chef de produit C-Elysée) nous décortique les qualités de cette berline tricorps de Citroën. Pour lui, la marque aux chevrons est ainsi bien armée pour une nouvelle aventure internationale. (Interviewé Par Hamid ABBASSEN) Rencontré en marge de la séance photos de la Citroën C-Elysée, M. François Dabadie (chef de produit C-Elysée) nous décortique les qualités de cette berline tricorps de Citroën. Pour lui, la marque aux chevrons est ainsi bien armée pour une nouvelle aventure internationale. (Interviewé Par Hamid ABBASSEN) Auto-utilitaire.com: - La Citroën C-Elysée est un véhicule à vocation ‘'internationale'', comment avez-vous trouvé un consensus sur la partie design ? François Dabadie : En tout premier lieu, on voulait que cette voiture soit une Citroën. On a beaucoup travaillé sur la face avant pour qu'elle ait tous les codes stylistiques de la marque, la calandre avec les chevrons chromés, le capot coiffant qui suggère beaucoup de robustesse et qui la rattache à la famille C4 notamment, et puis je dirais que l'exercice qui était un petit peu nouveau pour nous était de faire une silhouette tricorps. On a cherché la silhouette la plus harmonieuse possible parce que l'harmonie quelque part fait partie de nos racines stylistiques. Citroën s'attaque aujourd'hui au segment des tricorps, en progression depuis quelques années. Pourquoi avoir attendu 2012 pour adapter cette stratégie ? Il y a un petit moment que notre réflexion nous conduit à proposer une des offres dans le segment «C» tricorps qui est très important à l'international, notamment hors Europe. Ceci s'inscrit dans la stratégie de mondialisation et de globalisation de la marque et on avait besoin d'un ou de deux produits dans ce segment C, donc la C-Elysée vise l'accès au segment «C» et elle va arriver début 2013 pour nous permettre effectivement de proposer un véhicule adapté aux besoins du consommateur. Quels sont les points techniques forts de ce véhicule ? Je dirais que le premier que vous avez pu constater est son architecture, son empâtement de 2 m 72 notamment qui est le plus grand du segment et qui permet d'avoir une excellente habitabilité aux places arrières sans qu'elle se fasse au détriment du coffre. Pour le reste, c'est une voiture Citroën qui a donc une certaine dimension de créativité avec notamment son moteur 3 cylindres, sa structure spécialement adaptée à des conditions de roulage spécifiques ce qui explique qu'elle soit un peu plus haute mais cet aspect est bien caché par le design. La disponibilité avec de nombreux niveaux de dépollution, sa capacité à absorber des carburants de divers indices d'octanes. Quel a été l'impact de la C-Elysée après la divulgation des premiers clichés ? Pour le moment on est plutôt content des retours, aujourd'hui les clients ne l'on pas encore vu mais on est très optimistes. Un dernier mot ? La C-Elysée est une voiture qu'on a beaucoup travaillé en dehors de l'aspect habitabilité, précisément son aspect robustesse. C'est une voiture qu'on a conçu en Europe, testée sur quatre millions de kilomètres sur plusieurs types de routes et conditions climatiques rudes. Elle dispose d'atouts indéniables pour rouler dans des conditions spécifiques comme la présence d'un double joint de portières pour être plus étanche à la poussière par exemple. C'est une voiture destinée réellement à une clientèle mondiale. Auto-utilitaire.com: - La Citroën C-Elysée est un véhicule à vocation ‘'internationale'', comment avez-vous trouvé un consensus sur la partie design ? François Dabadie : En tout premier lieu, on voulait que cette voiture soit une Citroën. On a beaucoup travaillé sur la face avant pour qu'elle ait tous les codes stylistiques de la marque, la calandre avec les chevrons chromés, le capot coiffant qui suggère beaucoup de robustesse et qui la rattache à la famille C4 notamment, et puis je dirais que l'exercice qui était un petit peu nouveau pour nous était de faire une silhouette tricorps. On a cherché la silhouette la plus harmonieuse possible parce que l'harmonie quelque part fait partie de nos racines stylistiques. Citroën s'attaque aujourd'hui au segment des tricorps, en progression depuis quelques années. Pourquoi avoir attendu 2012 pour adapter cette stratégie ? Il y a un petit moment que notre réflexion nous conduit à proposer une des offres dans le segment «C» tricorps qui est très important à l'international, notamment hors Europe. Ceci s'inscrit dans la stratégie de mondialisation et de globalisation de la marque et on avait besoin d'un ou de deux produits dans ce segment C, donc la C-Elysée vise l'accès au segment «C» et elle va arriver début 2013 pour nous permettre effectivement de proposer un véhicule adapté aux besoins du consommateur. Quels sont les points techniques forts de ce véhicule ? Je dirais que le premier que vous avez pu constater est son architecture, son empâtement de 2 m 72 notamment qui est le plus grand du segment et qui permet d'avoir une excellente habitabilité aux places arrières sans qu'elle se fasse au détriment du coffre. Pour le reste, c'est une voiture Citroën qui a donc une certaine dimension de créativité avec notamment son moteur 3 cylindres, sa structure spécialement adaptée à des conditions de roulage spécifiques ce qui explique qu'elle soit un peu plus haute mais cet aspect est bien caché par le design. La disponibilité avec de nombreux niveaux de dépollution, sa capacité à absorber des carburants de divers indices d'octanes. Quel a été l'impact de la C-Elysée après la divulgation des premiers clichés ? Pour le moment on est plutôt content des retours, aujourd'hui les clients ne l'on pas encore vu mais on est très optimistes. Un dernier mot ? La C-Elysée est une voiture qu'on a beaucoup travaillé en dehors de l'aspect habitabilité, précisément son aspect robustesse. C'est une voiture qu'on a conçu en Europe, testée sur quatre millions de kilomètres sur plusieurs types de routes et conditions climatiques rudes. Elle dispose d'atouts indéniables pour rouler dans des conditions spécifiques comme la présence d'un double joint de portières pour être plus étanche à la poussière par exemple. C'est une voiture destinée réellement à une clientèle mondiale.