Une très grande partie des produits de large consommation écoulés sur le marché national est "contrôlée" par les services du ministère du Commerce, a indiqué le directeur du contrôle de la qualité et de la répression de la fraude au ministère, Noureddine Laouar."La majorité des produits écoulés sur le marché national, notamment ceux de large consommation, sont soumis au contrôle de nos services", a-t-il expliqué dans une déclaration à l'APS à la veille du mois de Ramadhan. Concernant les produits de consommation qui échappent au contrôle des services du ministère, il a précisé qu'il s'agit essentiellement des "marchandises écoulées sur le marché informel".Selon lui, le manque d'effectifs en agents de contrôle, qui ne dépasse actuellement pas les 3.500 employés, entrave un contrôle plus pointu des produits de large consommation à travers l'ensemble du territoire national. Pour remédier à cette situation, le ministère a décidé de recruter 2.500 agents supplémentaires pour renforcer le dispositif de contrôle de qualité durant ce mois de Ramadhan, a-t-il indiqué.Il a, par ailleurs, affirmé que les abattoirs et les ''tueries'' sont supervisés par des agents du ministère du Commerce et des vétérinaires du ministère de l'Agriculture. M. Laouar a, à cet effet, appelé les citoyens à contribuer au contrôle des produits qu'ils consomment en vérifiant l'étiquetage et les dates de fabrication et de péremption figurant sur les emballages.Il a également incité les consommateurs, durant le mois de Ramadhan, a signaler "tous dépassements ou anomalies qui mettent en danger la santé publique". Marbre La capacité de production de Filfila sera portée à 28.000 m3/an en 2016 L'Entreprise nationale du marbre (ENMARBRE) entend atteindre en 2016 une capacité de 28.000 mètres cubes produits par le gisement de Filfila (est de Skikda), a indiqué à l'APS un de ses directeurs centraux. Selon Farouk Daiboun-Sahel, le gisement de Filfila produit actuellement entre 10 et 12.000 m3 par an, un volume jugé "insuffisant" par rapport à la demande et aux besoins croissants en matériaux de construction.Cette entreprise nationale compte produire 36.000 m3 par an grâce à l'ensemble des gisements nationaux en vue de réduire la facture d'importation, a souligné Daiboun-Sahel, ajoutant que le gisement de Filfila alimente 40 industriels marbriers nationaux qui trouvent du mal à s'approvisionner régulièrement et recourent souvent à l'importation.Le gisement de Filfila qui s'étend sur une superficie de 100 hectares n'est exploité actuellement qu'à 30% de ses capacités, a estimé le même responsable, précisant, par ailleurs, que cette région recèle "un important filon de bonne qualité", notamment les marbres blanc et gris, connus sur tout le pourtour méditerranéen. Des études ont révélé que le marbre de Filfila a été abondamment exploité à l'époque romaine pour la sculpture et l'édification de palais, il peut être encore exploité pour une période dépassant les 110 ans, a-t-on soutenu. Daiboun-Sahel a indiqué, en outre, qu'un projet d'exploitation du granit de la même région est actuellement à l'étude dans un chantier expérimental, pendant que se poursuit, à l'étranger, des séminaires en vue de permettre d'acquérir la technologie spécifique à ce matériau "qui constitue une nouveauté en Algérie". La première phase du projet granit consiste à développer les carrières, a-t-il ajouté. Une très grande partie des produits de large consommation écoulés sur le marché national est "contrôlée" par les services du ministère du Commerce, a indiqué le directeur du contrôle de la qualité et de la répression de la fraude au ministère, Noureddine Laouar."La majorité des produits écoulés sur le marché national, notamment ceux de large consommation, sont soumis au contrôle de nos services", a-t-il expliqué dans une déclaration à l'APS à la veille du mois de Ramadhan. Concernant les produits de consommation qui échappent au contrôle des services du ministère, il a précisé qu'il s'agit essentiellement des "marchandises écoulées sur le marché informel".Selon lui, le manque d'effectifs en agents de contrôle, qui ne dépasse actuellement pas les 3.500 employés, entrave un contrôle plus pointu des produits de large consommation à travers l'ensemble du territoire national. Pour remédier à cette situation, le ministère a décidé de recruter 2.500 agents supplémentaires pour renforcer le dispositif de contrôle de qualité durant ce mois de Ramadhan, a-t-il indiqué.Il a, par ailleurs, affirmé que les abattoirs et les ''tueries'' sont supervisés par des agents du ministère du Commerce et des vétérinaires du ministère de l'Agriculture. M. Laouar a, à cet effet, appelé les citoyens à contribuer au contrôle des produits qu'ils consomment en vérifiant l'étiquetage et les dates de fabrication et de péremption figurant sur les emballages.Il a également incité les consommateurs, durant le mois de Ramadhan, a signaler "tous dépassements ou anomalies qui mettent en danger la santé publique". Marbre La capacité de production de Filfila sera portée à 28.000 m3/an en 2016 L'Entreprise nationale du marbre (ENMARBRE) entend atteindre en 2016 une capacité de 28.000 mètres cubes produits par le gisement de Filfila (est de Skikda), a indiqué à l'APS un de ses directeurs centraux. Selon Farouk Daiboun-Sahel, le gisement de Filfila produit actuellement entre 10 et 12.000 m3 par an, un volume jugé "insuffisant" par rapport à la demande et aux besoins croissants en matériaux de construction.Cette entreprise nationale compte produire 36.000 m3 par an grâce à l'ensemble des gisements nationaux en vue de réduire la facture d'importation, a souligné Daiboun-Sahel, ajoutant que le gisement de Filfila alimente 40 industriels marbriers nationaux qui trouvent du mal à s'approvisionner régulièrement et recourent souvent à l'importation.Le gisement de Filfila qui s'étend sur une superficie de 100 hectares n'est exploité actuellement qu'à 30% de ses capacités, a estimé le même responsable, précisant, par ailleurs, que cette région recèle "un important filon de bonne qualité", notamment les marbres blanc et gris, connus sur tout le pourtour méditerranéen. Des études ont révélé que le marbre de Filfila a été abondamment exploité à l'époque romaine pour la sculpture et l'édification de palais, il peut être encore exploité pour une période dépassant les 110 ans, a-t-on soutenu. Daiboun-Sahel a indiqué, en outre, qu'un projet d'exploitation du granit de la même région est actuellement à l'étude dans un chantier expérimental, pendant que se poursuit, à l'étranger, des séminaires en vue de permettre d'acquérir la technologie spécifique à ce matériau "qui constitue une nouveauté en Algérie". La première phase du projet granit consiste à développer les carrières, a-t-il ajouté.