Pénuries d'eau, routes en piteux état, problèmes d'assinissement, espaces verts squattées, les problèmes soulevées sont nombreux. Mais la méthode pour s'exprimer est la même : barrage des routes et fermeture des sièges des APC et des dairas. La wilaya de Tizi Ouzou est en train de vivre un mois de Ramadhan et un été au rythme de la protestation. Plusieurs localités ont enregistré des actions de rues initiées soit par les citoyens directement, soit par les comités des villages. C'est le cas des citoyens du village Ath Ahmed de la commune de Maâtkas. Dans cette localité, sise à 25 kilomètres au sud du chef lieu de la wilaya, la colère des citoyens est montée d'un cran car l'état de la route qui mène de Lekhmis, chef lieu communal, vers le village est quasiment impraticable. Les démarches entreprises par les citoyens et le comité du village auprès des autorités concernées sont restées sans écho. C'est pourquoi avant-hier, lundi, les citoyens ont décidé de barrer la route et de fermer les sièges de la municpalité et de la daira. Seul moyen, aux yeux des protestataires pour se faire entendre. Dans la ville de Drâa Ben Khedda, ce sont les habitants da cité des 400 logements qui ont barricadé les routes pour dénoncer le squatte de leurs espaces verts. Des espaces qui ont été attribués à un ancien joueur de la JSK en vue d'y ériger une construction individuelle. Ceci n'a pas manqué de générer l'ire des habitants du quartier qui paraissent décidés à ne pas lacher du leste tant que la décision d'attribution n'est pas retirée. C'est du moins ce qu'ils disent. D'ailleurs l'action de protestation en question qui a donné lieu à des affrontements violents ayant fait de nombreux blessés. Ce qui rend le problème plus compliqué, c'est le fait que le bénéficiaire du terrain en litige possède un permis de construire en du et bonne forme. Les protestataires ont même observé un sit-in devant le siège de la wilaya pour attirer l'attention des directions des exécutifs concernées. L'affaire risque d'attérir au niveau de la justice. Par ailleurs, et toujours dans le sillage des actions de protestation de rue, les citoyens du village Tala Toughrast dans la commune de Mizrana, près de Tigzirt sur mer, ont fermé avant-hier le siège de l'assemblée populaire communale. L'origine de cette grogne est le refus essuyé quant au vœu de mettre sur pied un nouveau comité de village. Les citoyens en question ont été orientés vers l'APC pour créer ledit comité et ce, conformément à la nouvelle loi en la matière. Rappelons que le mandat de l'ancien comité de village avait expiré en 2003 et il n'a pas été renouvelé depuis cette date. Les citoyens qui se dirigeaient vers le chef-lieu de wilaya ont été surpris car la route passant par M'douha était barrée avant-hier au niveau du barrage dit de la Pompe Chabane, à l'entrée est de la ville. Il s'agissait des habitants de la cité des cent logements de M'douha qui ont barricadé la route à divers endroits pour exprimer leur niet quant à la construction d'un nouvel immeuble au niveau d'un espace vert sis au milieu de ladite cité. Les concernés ont, par ailleurs, dénoncé la décisison des autorités qui ont délivré un permis de construire sur un espace vert. Enfin, le siège de la daira des Ouadhias a été fermé par des citoyens du village Drâa El-Kaïd qui comptent ainsi protester par leur geste contre les coupures fréquentes du courant électrique dans leur localité. Les habitants de ce village dépendant administrativement de la commune d'Agouni Gueghrane sont constamment confronté à ce problème. D'autres préoccupations inhérentes au cadre de vie quotidienne ont été également exprimées à cette occasion. Pénuries d'eau, routes en piteux état, problèmes d'assinissement, espaces verts squattées, les problèmes soulevées sont nombreux. Mais la méthode pour s'exprimer est la même : barrage des routes et fermeture des sièges des APC et des dairas. La wilaya de Tizi Ouzou est en train de vivre un mois de Ramadhan et un été au rythme de la protestation. Plusieurs localités ont enregistré des actions de rues initiées soit par les citoyens directement, soit par les comités des villages. C'est le cas des citoyens du village Ath Ahmed de la commune de Maâtkas. Dans cette localité, sise à 25 kilomètres au sud du chef lieu de la wilaya, la colère des citoyens est montée d'un cran car l'état de la route qui mène de Lekhmis, chef lieu communal, vers le village est quasiment impraticable. Les démarches entreprises par les citoyens et le comité du village auprès des autorités concernées sont restées sans écho. C'est pourquoi avant-hier, lundi, les citoyens ont décidé de barrer la route et de fermer les sièges de la municpalité et de la daira. Seul moyen, aux yeux des protestataires pour se faire entendre. Dans la ville de Drâa Ben Khedda, ce sont les habitants da cité des 400 logements qui ont barricadé les routes pour dénoncer le squatte de leurs espaces verts. Des espaces qui ont été attribués à un ancien joueur de la JSK en vue d'y ériger une construction individuelle. Ceci n'a pas manqué de générer l'ire des habitants du quartier qui paraissent décidés à ne pas lacher du leste tant que la décision d'attribution n'est pas retirée. C'est du moins ce qu'ils disent. D'ailleurs l'action de protestation en question qui a donné lieu à des affrontements violents ayant fait de nombreux blessés. Ce qui rend le problème plus compliqué, c'est le fait que le bénéficiaire du terrain en litige possède un permis de construire en du et bonne forme. Les protestataires ont même observé un sit-in devant le siège de la wilaya pour attirer l'attention des directions des exécutifs concernées. L'affaire risque d'attérir au niveau de la justice. Par ailleurs, et toujours dans le sillage des actions de protestation de rue, les citoyens du village Tala Toughrast dans la commune de Mizrana, près de Tigzirt sur mer, ont fermé avant-hier le siège de l'assemblée populaire communale. L'origine de cette grogne est le refus essuyé quant au vœu de mettre sur pied un nouveau comité de village. Les citoyens en question ont été orientés vers l'APC pour créer ledit comité et ce, conformément à la nouvelle loi en la matière. Rappelons que le mandat de l'ancien comité de village avait expiré en 2003 et il n'a pas été renouvelé depuis cette date. Les citoyens qui se dirigeaient vers le chef-lieu de wilaya ont été surpris car la route passant par M'douha était barrée avant-hier au niveau du barrage dit de la Pompe Chabane, à l'entrée est de la ville. Il s'agissait des habitants de la cité des cent logements de M'douha qui ont barricadé la route à divers endroits pour exprimer leur niet quant à la construction d'un nouvel immeuble au niveau d'un espace vert sis au milieu de ladite cité. Les concernés ont, par ailleurs, dénoncé la décisison des autorités qui ont délivré un permis de construire sur un espace vert. Enfin, le siège de la daira des Ouadhias a été fermé par des citoyens du village Drâa El-Kaïd qui comptent ainsi protester par leur geste contre les coupures fréquentes du courant électrique dans leur localité. Les habitants de ce village dépendant administrativement de la commune d'Agouni Gueghrane sont constamment confronté à ce problème. D'autres préoccupations inhérentes au cadre de vie quotidienne ont été également exprimées à cette occasion.