Six associations activant dans le domaine de l'environnement en Algérie ont bénéficié de micro-financements pour leurs projets respectifs dans le cadre d'un programme financé par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM), relevant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Six associations activant dans le domaine de l'environnement en Algérie ont bénéficié de micro-financements pour leurs projets respectifs dans le cadre d'un programme financé par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM), relevant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Ainsi, six mémorandums d'entente ont été signés dimanche à Alger par le représentant du PNUD en Algérie, Mamadou Mbaye, et les représentants des associations ayant passé avec succès les différentes étapes de sélection définie par le Programme micro-financements (PMF). Il s'agit de l'Association de développement rural (M'sila), l'Association Globe vert (Batna), l'Association pour la protection et l'amélioration de l'environnement (Naâma), l'Association Phenicia (Oran), l'Association Ifassen N'ksar (Ouargla) et l'Association écologie (Boumerdès). Lors de la cérémonie de signature organisée au siège du ministère des Affaires étrangères, M. Mbaye a mis en exergue "l'importance de la société civile dans la préservation de l'environnement mondial et la promotion du développement durable", saluant l'importance accordée par l'Etat algérien à cette question, selon l'APS. Il a fait part, à cet effet, de l'engagement du FEM à développer le rôle de la société civile dans la protection de l'environnement et à favoriser sa participation à la réalisation de projets aux échelons régional, national et mondial. Le représentant du PNUD en Algérie a insisté dans le même cadre sur l'importance de la facilitation de l'accès des populations locales et des organisations de la société civile aux ressources du FEM à travers le Programme micro-financements. La directrice de l'Environnement et du développement au ministère des Affaires étrangères, Mme Latifa Bouazza, a relevé, elle aussi, l'importance de ce programme auquel, a-t-elle précisé, toutes les associations ont été invitées à y participer. Elle a indiqué que le processus se poursuivra avec le lancement d'une deuxième phase du programme d'ici au mois de septembre prochain, mettant en exergue l'impact qu'auront les projets retenus sur les populations locales, non seulement en matière de développement durable, mais aussi en matière de sensibilisation sur la préservation de l'environnement. Le PMF/FEM est un mécanisme mis en œuvre par le PNUD pour apporter un appui technique et financier aux ONG et aux associations pour la réalisation de projets communautaires qui "contribuent à la fois à la protection de l'environnement mondial, à l'autonomisation des communautés et à l'amélioration des conditions de vie des populations". Son objectif est de développer des stratégies à petite échelle, tirer les enseignements des expériences au niveau communautaire, créer des liens de partenariat et des réseaux pour renforcer les capacités de la communauté des ONG/associations et des structures de l'Etat pour promouvoir le développement durable et répondre aux problèmes environnementaux. Ainsi, six mémorandums d'entente ont été signés dimanche à Alger par le représentant du PNUD en Algérie, Mamadou Mbaye, et les représentants des associations ayant passé avec succès les différentes étapes de sélection définie par le Programme micro-financements (PMF). Il s'agit de l'Association de développement rural (M'sila), l'Association Globe vert (Batna), l'Association pour la protection et l'amélioration de l'environnement (Naâma), l'Association Phenicia (Oran), l'Association Ifassen N'ksar (Ouargla) et l'Association écologie (Boumerdès). Lors de la cérémonie de signature organisée au siège du ministère des Affaires étrangères, M. Mbaye a mis en exergue "l'importance de la société civile dans la préservation de l'environnement mondial et la promotion du développement durable", saluant l'importance accordée par l'Etat algérien à cette question, selon l'APS. Il a fait part, à cet effet, de l'engagement du FEM à développer le rôle de la société civile dans la protection de l'environnement et à favoriser sa participation à la réalisation de projets aux échelons régional, national et mondial. Le représentant du PNUD en Algérie a insisté dans le même cadre sur l'importance de la facilitation de l'accès des populations locales et des organisations de la société civile aux ressources du FEM à travers le Programme micro-financements. La directrice de l'Environnement et du développement au ministère des Affaires étrangères, Mme Latifa Bouazza, a relevé, elle aussi, l'importance de ce programme auquel, a-t-elle précisé, toutes les associations ont été invitées à y participer. Elle a indiqué que le processus se poursuivra avec le lancement d'une deuxième phase du programme d'ici au mois de septembre prochain, mettant en exergue l'impact qu'auront les projets retenus sur les populations locales, non seulement en matière de développement durable, mais aussi en matière de sensibilisation sur la préservation de l'environnement. Le PMF/FEM est un mécanisme mis en œuvre par le PNUD pour apporter un appui technique et financier aux ONG et aux associations pour la réalisation de projets communautaires qui "contribuent à la fois à la protection de l'environnement mondial, à l'autonomisation des communautés et à l'amélioration des conditions de vie des populations". Son objectif est de développer des stratégies à petite échelle, tirer les enseignements des expériences au niveau communautaire, créer des liens de partenariat et des réseaux pour renforcer les capacités de la communauté des ONG/associations et des structures de l'Etat pour promouvoir le développement durable et répondre aux problèmes environnementaux.