Les rebelles opposaient, dimanche, une résistance farouche aux troupes du régime à Alep, bombardée sans relâche par air et terre, de même que dans d'autres villes de Syrie ensanglantées par les violences. Les rebelles opposaient, dimanche, une résistance farouche aux troupes du régime à Alep, bombardée sans relâche par air et terre, de même que dans d'autres villes de Syrie ensanglantées par les violences. Les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL, formée de déserteurs et de civils ayant pris les armes) ont affirmé avoir repris à l'armée des positions "stratégiques" à Salaheddine après que l'armée a dit contrôler totalement le quartier mercredi. L'escalade est alimentée par l'impuissance de la communauté internationale à s'accorder sur les moyens de régler le conflit, les Occidentaux et certains pays arabes d'un côté appuyant la rébellion et réclamant un départ de M. Assad, et les Russes et les Iraniens refusant tout changement de régime par la force. Cette réunion survient au lendemain des déclarations en Turquie de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton qui s'est engagée à "accélérer" la fin du pouvoir syrien en soulignant que son pays tentait de "casser les liens entre l'Iran, le Hezbollah (mouvement libanais) et la Syrie qui prolongent la vie du régime Assad". Turquie et USA discutent de zones d'exclusion aérienne en Syrie Les Etats-Unis et la Turquie envisagent d'imposer des zones d'exclusion aérienne et d'autres mesures pour aider les forces rebelles en Syrie à l'heure où le conflit s'intensifie, a annoncé samedi à Istanbul Hillary Clinton. Après avoir rencontré son homologue turc, Ahmet Davutoglu, la secrétaire d'Etat a déclaré à des journalistes qu'Ankara et Washington devaient entrer dans les détails d'une planification opérationnelle sur les moyens de porter assistance aux insurgés qui se battent pour renverser le président Bachar al Assad. Alors qu'on lui demandait si lors de ces discussions, l'hypothèse de zones d'exclusion aérienne au-dessus du territoire syrien avait été envisagée, elle a répondu par l'affirmative. Son hôte turc, en réponse à une question similaire, a déclaré qu'il était temps pour les puissances extérieures de prendre des mesures décisives afin de résoudre la crise humanitaire frappant des villes comme Alep, qui est soumise à des bombardements quotidiens de la part des forces gouvernementales. Les rebelles de l'Armée syrienne libre (ASL, formée de déserteurs et de civils ayant pris les armes) ont affirmé avoir repris à l'armée des positions "stratégiques" à Salaheddine après que l'armée a dit contrôler totalement le quartier mercredi. L'escalade est alimentée par l'impuissance de la communauté internationale à s'accorder sur les moyens de régler le conflit, les Occidentaux et certains pays arabes d'un côté appuyant la rébellion et réclamant un départ de M. Assad, et les Russes et les Iraniens refusant tout changement de régime par la force. Cette réunion survient au lendemain des déclarations en Turquie de la secrétaire d'Etat Hillary Clinton qui s'est engagée à "accélérer" la fin du pouvoir syrien en soulignant que son pays tentait de "casser les liens entre l'Iran, le Hezbollah (mouvement libanais) et la Syrie qui prolongent la vie du régime Assad". Turquie et USA discutent de zones d'exclusion aérienne en Syrie Les Etats-Unis et la Turquie envisagent d'imposer des zones d'exclusion aérienne et d'autres mesures pour aider les forces rebelles en Syrie à l'heure où le conflit s'intensifie, a annoncé samedi à Istanbul Hillary Clinton. Après avoir rencontré son homologue turc, Ahmet Davutoglu, la secrétaire d'Etat a déclaré à des journalistes qu'Ankara et Washington devaient entrer dans les détails d'une planification opérationnelle sur les moyens de porter assistance aux insurgés qui se battent pour renverser le président Bachar al Assad. Alors qu'on lui demandait si lors de ces discussions, l'hypothèse de zones d'exclusion aérienne au-dessus du territoire syrien avait été envisagée, elle a répondu par l'affirmative. Son hôte turc, en réponse à une question similaire, a déclaré qu'il était temps pour les puissances extérieures de prendre des mesures décisives afin de résoudre la crise humanitaire frappant des villes comme Alep, qui est soumise à des bombardements quotidiens de la part des forces gouvernementales.