Le groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) à l'Assemblée populaire nationale (APN) a affirmé lundi, son attachement à un "changement démocratique et pacifique du régime" qui ne saura intervenir qu'à travers "l'ouverture d'un dialogue véritable et sérieux" avec tous les courants de la classe politique, indique un communiqué du parti publié en marge de l'ouverture de la session d'automne de l'APN. Le groupe parlementaire FFS qui détient 27 sièges sur les 462 que compte l'actuelle assemblée, a précisé que l'ouverture de ce dialogue sera "un prélude à une période de transition qui ouvrira grand le champ politique et médiatique et qui sera sanctionnée par l'élection d'une assemblée constituante souveraine qui jettera les fondements d'une nouvelle république à travers une Constitution qui consacrera la souveraineté du peuple et la suprématie de la loi". Le groupe estime qu'une participation tactique au Parlement actuel exige "la mise au point d'un agenda indépendant de celui du régime afin d'oeuvrer à la réhabilitation de l'action politique et la mobilisation des citoyennes et citoyens pour apporter le changement pacifique et démocratique". Le groupe parlementaire du FFS dénonce "toute forme de pression visant les militants, syndicalistes et journalistes", souligne le communiqué. D'autre part, le FFS estime que "la rentrée sociale de cette année porte en son sein moult craintes et appréhensions car tous les secteurs annoncent une rentrée chaude qui menace la paix sociale si les autorités n'interviennent pas pour trouver des solutions rapides et sérieuses". Il a déploré par ailleurs, "la politique de bricolage suivie par le gouvernement dans la gestion des affaires publiques et qui a été mise à nu cet été à travers la non intervention rapide pour l'extinction des incendies qui ont ravagé des dizaines de milliers d'hectares de forêt." Le FFS n'a pas manqué de souligner à ce propos, "les fréquentes coupures de courant cet été... sans évoquer la crise de l'eau qui a touché toutes les régions du pays en dépit des milliards investis dans ce secteur", a-t-il enfin conclu. Le groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) à l'Assemblée populaire nationale (APN) a affirmé lundi, son attachement à un "changement démocratique et pacifique du régime" qui ne saura intervenir qu'à travers "l'ouverture d'un dialogue véritable et sérieux" avec tous les courants de la classe politique, indique un communiqué du parti publié en marge de l'ouverture de la session d'automne de l'APN. Le groupe parlementaire FFS qui détient 27 sièges sur les 462 que compte l'actuelle assemblée, a précisé que l'ouverture de ce dialogue sera "un prélude à une période de transition qui ouvrira grand le champ politique et médiatique et qui sera sanctionnée par l'élection d'une assemblée constituante souveraine qui jettera les fondements d'une nouvelle république à travers une Constitution qui consacrera la souveraineté du peuple et la suprématie de la loi". Le groupe estime qu'une participation tactique au Parlement actuel exige "la mise au point d'un agenda indépendant de celui du régime afin d'oeuvrer à la réhabilitation de l'action politique et la mobilisation des citoyennes et citoyens pour apporter le changement pacifique et démocratique". Le groupe parlementaire du FFS dénonce "toute forme de pression visant les militants, syndicalistes et journalistes", souligne le communiqué. D'autre part, le FFS estime que "la rentrée sociale de cette année porte en son sein moult craintes et appréhensions car tous les secteurs annoncent une rentrée chaude qui menace la paix sociale si les autorités n'interviennent pas pour trouver des solutions rapides et sérieuses". Il a déploré par ailleurs, "la politique de bricolage suivie par le gouvernement dans la gestion des affaires publiques et qui a été mise à nu cet été à travers la non intervention rapide pour l'extinction des incendies qui ont ravagé des dizaines de milliers d'hectares de forêt." Le FFS n'a pas manqué de souligner à ce propos, "les fréquentes coupures de courant cet été... sans évoquer la crise de l'eau qui a touché toutes les régions du pays en dépit des milliards investis dans ce secteur", a-t-il enfin conclu.