L'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) a exprimé son soutien aux mesures prises par les services du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour lutter contre le commerce informel, plaidant par la même occasion pour l'ouverture de nouveaux espaces commerciaux. L'UGCAA exprime dans un communiqué son« soutien aux mesures prises par les services du ministère de l'Intérieur pour lutter contre le commerce anarchique, au regard des pertes subies par l'économie nationale et du danger qu'il représente pour les consommateurs et le commerce formel ». A cet effet, l'UGCAA cite les pertes financières importantes essuyées par l'Etat, en raison de l'expansion du commerce parallèle. Quelque 765 sites de commerce informel dans lesquels activent plus de 75.000 commerçants occasionnels ont été recensés par le ministère du Commerce à la fin mars 2011. Pour mener à bien l'opération de lutte contre le commerce informel, l'Union propose une série de mesures, dont l'accélération de l'ouverture de nouveaux espaces commerciaux et la concrétisation du réseau national de distribution prévu dans le plan quinquennal 2010-2014. L'ouverture de 30 marchés de gros et de 800 marchés de détail et 1.000 marchés de proximité est prévue dans le cadre de ce réseau national, a déclaré à l'APS le porte-parole de l'UGCAA, Boulanouar Hadj Tahar. L'Union propose également la formation d'une commission interministérielle regroupant les ministères des Finances, du Travail, de l'Industrie, de la Santé et de l'Environnement pour arrêter un programme commun, en vue de faire face au commerce parallèle, préconisant une révision du système fiscal pour la réduction des impôts, en vue d'encourager le commerce formel. L'Union a, par ailleurs, plaidé pour la dynamisation du rôle des APC et des collectivités locales en matière de promotion des projets locaux d'investissement pour générer des postes d'emploi, afin d'éviter la prolifération des marchés informels. Dans ce sens, M. Boulanouar a déploré «la lenteur » enregistrée dans la réalisation et la réception des locaux prévus dans le cadre du projet de 100 locaux pour chaque commune. L'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) a exprimé son soutien aux mesures prises par les services du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales pour lutter contre le commerce informel, plaidant par la même occasion pour l'ouverture de nouveaux espaces commerciaux. L'UGCAA exprime dans un communiqué son« soutien aux mesures prises par les services du ministère de l'Intérieur pour lutter contre le commerce anarchique, au regard des pertes subies par l'économie nationale et du danger qu'il représente pour les consommateurs et le commerce formel ». A cet effet, l'UGCAA cite les pertes financières importantes essuyées par l'Etat, en raison de l'expansion du commerce parallèle. Quelque 765 sites de commerce informel dans lesquels activent plus de 75.000 commerçants occasionnels ont été recensés par le ministère du Commerce à la fin mars 2011. Pour mener à bien l'opération de lutte contre le commerce informel, l'Union propose une série de mesures, dont l'accélération de l'ouverture de nouveaux espaces commerciaux et la concrétisation du réseau national de distribution prévu dans le plan quinquennal 2010-2014. L'ouverture de 30 marchés de gros et de 800 marchés de détail et 1.000 marchés de proximité est prévue dans le cadre de ce réseau national, a déclaré à l'APS le porte-parole de l'UGCAA, Boulanouar Hadj Tahar. L'Union propose également la formation d'une commission interministérielle regroupant les ministères des Finances, du Travail, de l'Industrie, de la Santé et de l'Environnement pour arrêter un programme commun, en vue de faire face au commerce parallèle, préconisant une révision du système fiscal pour la réduction des impôts, en vue d'encourager le commerce formel. L'Union a, par ailleurs, plaidé pour la dynamisation du rôle des APC et des collectivités locales en matière de promotion des projets locaux d'investissement pour générer des postes d'emploi, afin d'éviter la prolifération des marchés informels. Dans ce sens, M. Boulanouar a déploré «la lenteur » enregistrée dans la réalisation et la réception des locaux prévus dans le cadre du projet de 100 locaux pour chaque commune.