Au delà de toute autre considération la particularité de cette rentrée scolaire est qu'elle ne se déroulera pas, pour la première fois depuis 20 ans, sous la baguette de Benbouzid qui avait en main les rênes du secteur tout au long de cette longue période qui, d'ailleurs, aux yeux de plus d'un, paraissait interminable. Hier, huit millions d'élèves, inscrits dans les trois paliers de l'enseignement, sont attendus ce dimanche dans les établissements au niveau du territoire national au titre de la rentrée scolaire 2012-2013. Ainsi, ils seront 8.300.000 élèves dont 700.000 nouveaux à rejoindre les bancs d'école, primaires, moyens et secondaires. S'exprimant à la veille de cette reprise scolaire, le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, a indiqué que la rentrée scolaire 2012-2013, prévue dimanche, se fera dans de "bonnes conditions". M. Baba Ahmed a affirmé que toutes les conditions, matérielles et humaines "sont réunies pour assurer une bonne rentrée en dépit des problèmes de surcharge des classes qui peuvent surgir". Pour cette année, le passage de deux groupes d'élèves (ceux ayant achevé le cycle moyen de l'ancien système et ceux du nouveau) et la non réception de projets de réalisation de lycées et de CEM posera un problème de surcharge dans les classes, selon le ministère de l'Education nationale. Le nombre d'élèves se situera entre 40 et 45 élèves par classe dans 10 wilayas en raison du passage de deux groupes d'élèves au secondaire, a-t-on indiqué, citant plus précisément les wilayas de Biskra, Blida, Tiaret, Alger est, Djelfa, Jijel, Ain Defla et Tébessa. Parmi les mesures prises pour résorber le problème de surcharge, figure la réception de 609 nouveaux lycées à travers le pays. Intervenant à propos de cette situation, Le ministre de l'Education nationale, a affirmé que des solutions palliatives ont été envisagées pour faire face au problème de surcharge des classes. "Le (dossier) a été préparé et des solutions palliatives ont été retenues pour faire face à la surcharge des effectifs qui n'est pas très importante car elle ne touche que quelques wilayas qui accusent un retard dans la réception des établissements du cycle secondaire", a déclaré M. Baba Ahmed. D'autre part, une enveloppe de 50 milliards de dinars s'inscrivant dans le cadre de la solidarité scolaire, a été débloquée afin de couvrir les besoins de 8.300.000 élèves inscrits. Les actions de solidarité scolaire comportent la prime de scolarité, la gratuité du manuel scolaire pour les élèves de première année primaire et le cours préparatoire ainsi que la restauration, le transport et la santé scolaire. Ainsi, trois millions d'élèves issus de familles démunies bénéficieront de la prime de scolarité ou ce qui a été appelé prime du président de la République estimée à 3.000 dinars et pour laquelle une enveloppe de 9 milliards dinars a été allouée. En outre, la gratuité du manuel scolaire concerne cette année 4 millions d'élèves, soit la moitié du total des élèves. L'enveloppe financière allouée à cet effet est de 6,5 milliards dinars. Des instructions ont été données pour que les manuels scolaires soient vendus pendant les trois premiers jours de la rentrée scolaire. Par ailleurs, la Gendarmerie nationale a mis en place un programme en préparation de la rentrée scolaire et sociale, pour "garantir les conditions et mesures sécuritaires adéquates au profit des institutions éducatives". Les procédures adoptées pour les services de gendarmerie au niveau de toutes les wilayas du pays ont pour but d'assurer la sécurité autour des établissements scolaires, et ce à travers une meilleure sécurisation par l'intensification et le renforcement des patrouilles de la gendarmerie. Ces procédures visent "la surveillance des alentours proches et des périphérie de ces institutions notamment aux heures d'entrées et sorties de classes afin de faciliter la circulation routière à proximité des institutions afin de préserver la sécurité des enfants scolarisés, des étudiants ainsi que des enseignants et professeurs de tout éventuel cas d'agression". Au delà de toute autre considération la particularité de cette rentrée scolaire est qu'elle ne se déroulera pas, pour la première fois depuis 20 ans, sous la baguette de Benbouzid qui avait en main les rênes du secteur tout au long de cette longue période qui, d'ailleurs, aux yeux de plus d'un, paraissait interminable. Hier, huit millions d'élèves, inscrits dans les trois paliers de l'enseignement, sont attendus ce dimanche dans les établissements au niveau du territoire national au titre de la rentrée scolaire 2012-2013. Ainsi, ils seront 8.300.000 élèves dont 700.000 nouveaux à rejoindre les bancs d'école, primaires, moyens et secondaires. S'exprimant à la veille de cette reprise scolaire, le ministre de l'Education nationale, Abdelatif Baba Ahmed, a indiqué que la rentrée scolaire 2012-2013, prévue dimanche, se fera dans de "bonnes conditions". M. Baba Ahmed a affirmé que toutes les conditions, matérielles et humaines "sont réunies pour assurer une bonne rentrée en dépit des problèmes de surcharge des classes qui peuvent surgir". Pour cette année, le passage de deux groupes d'élèves (ceux ayant achevé le cycle moyen de l'ancien système et ceux du nouveau) et la non réception de projets de réalisation de lycées et de CEM posera un problème de surcharge dans les classes, selon le ministère de l'Education nationale. Le nombre d'élèves se situera entre 40 et 45 élèves par classe dans 10 wilayas en raison du passage de deux groupes d'élèves au secondaire, a-t-on indiqué, citant plus précisément les wilayas de Biskra, Blida, Tiaret, Alger est, Djelfa, Jijel, Ain Defla et Tébessa. Parmi les mesures prises pour résorber le problème de surcharge, figure la réception de 609 nouveaux lycées à travers le pays. Intervenant à propos de cette situation, Le ministre de l'Education nationale, a affirmé que des solutions palliatives ont été envisagées pour faire face au problème de surcharge des classes. "Le (dossier) a été préparé et des solutions palliatives ont été retenues pour faire face à la surcharge des effectifs qui n'est pas très importante car elle ne touche que quelques wilayas qui accusent un retard dans la réception des établissements du cycle secondaire", a déclaré M. Baba Ahmed. D'autre part, une enveloppe de 50 milliards de dinars s'inscrivant dans le cadre de la solidarité scolaire, a été débloquée afin de couvrir les besoins de 8.300.000 élèves inscrits. Les actions de solidarité scolaire comportent la prime de scolarité, la gratuité du manuel scolaire pour les élèves de première année primaire et le cours préparatoire ainsi que la restauration, le transport et la santé scolaire. Ainsi, trois millions d'élèves issus de familles démunies bénéficieront de la prime de scolarité ou ce qui a été appelé prime du président de la République estimée à 3.000 dinars et pour laquelle une enveloppe de 9 milliards dinars a été allouée. En outre, la gratuité du manuel scolaire concerne cette année 4 millions d'élèves, soit la moitié du total des élèves. L'enveloppe financière allouée à cet effet est de 6,5 milliards dinars. Des instructions ont été données pour que les manuels scolaires soient vendus pendant les trois premiers jours de la rentrée scolaire. Par ailleurs, la Gendarmerie nationale a mis en place un programme en préparation de la rentrée scolaire et sociale, pour "garantir les conditions et mesures sécuritaires adéquates au profit des institutions éducatives". Les procédures adoptées pour les services de gendarmerie au niveau de toutes les wilayas du pays ont pour but d'assurer la sécurité autour des établissements scolaires, et ce à travers une meilleure sécurisation par l'intensification et le renforcement des patrouilles de la gendarmerie. Ces procédures visent "la surveillance des alentours proches et des périphérie de ces institutions notamment aux heures d'entrées et sorties de classes afin de faciliter la circulation routière à proximité des institutions afin de préserver la sécurité des enfants scolarisés, des étudiants ainsi que des enseignants et professeurs de tout éventuel cas d'agression".