Certains événements de la guerre de Libération nationale, dont celui du 1er juillet 1961 sont encore méconnus de la plupart des Algériens, a indiqué samedi à Alger, le journaliste-historien Amar Belkhodja. "Les manifestations du 1er juillet 1961 qui se sont déroulées dans plusieurs régions de l'Algérois, faisant une dizaine de martyrs sont jusqu'à aujourd'hui ignorées par les Algériens", a précisé M. Belkhodja, lors d'une conférence organisée par le forum du quotidien DK News, sur le thème : "Les martyrs oubliés de l'histoire". L'historien a, dans ce sens, précisé que c'est suite à plusieurs investigations et recherches de longue haleine qu'il est parvenu rassembler les différents éléments se rapportant à cet événement. Le déclenchement de ces manifestations a eu lieu après que "l'Armée de libération nationale (ALN) et le Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) ait donné l'ordre d'entamer une grève générale sur l'ensemble du territoire algérien", a souligné M. Belkhodja. Sur la base de comptes-rendus des journaux de l'époque, à l'instar de la Dépêche d'Algérie, M. Belkhodja, a mis en exergue le destin tragique de Nadjia Khoudja, jeune fille âgée de 12 ans, qui tomba sous les balles assassines de soldats français, l'emblème national entre ses mains. "D'autres martyrs, à l'exemple de Nadjia Khoudja, sont des oubliés des mémoires collectifs, d'où la nécessité de réhabiliter l'histoire", a-t-il insisté. L'intervenant a, en outre, lancé un message en direction des jeunes pour qu'ils ne s'attardent pas sur des idées reçues, véhiculées par certains historiens, qui font croire faussement que: "le FLN a usé de la terreur pour mobiliser les Algériens" où encore que: "les deux forces, l'armée de l'ALN et l'armée coloniale française (soutenue par l'Otan) étaient, en puissance, sur le même pied d'égalité". De son côté, l'écrivain, Kamel Bouchama, a parlé de "l'écriture de l'histoire de manière pointilleuse et originelle". À ses yeux, "les déballages médiatiques et insipides sur le thème de la révolution algérienne n'intéressent pas les jeunes, créent des situations conflictuelles et jettent le désarroi dans leurs esprits". Il a, à la même occasion, appelé à montrer "le visage réel" du long processus de décolonisation, entamé depuis les temps anciens par de grands guerriers tels que : Massinissa, Jugurtha et tant d'autres figures de l'histoire de l'Algérie. Certains événements de la guerre de Libération nationale, dont celui du 1er juillet 1961 sont encore méconnus de la plupart des Algériens, a indiqué samedi à Alger, le journaliste-historien Amar Belkhodja. "Les manifestations du 1er juillet 1961 qui se sont déroulées dans plusieurs régions de l'Algérois, faisant une dizaine de martyrs sont jusqu'à aujourd'hui ignorées par les Algériens", a précisé M. Belkhodja, lors d'une conférence organisée par le forum du quotidien DK News, sur le thème : "Les martyrs oubliés de l'histoire". L'historien a, dans ce sens, précisé que c'est suite à plusieurs investigations et recherches de longue haleine qu'il est parvenu rassembler les différents éléments se rapportant à cet événement. Le déclenchement de ces manifestations a eu lieu après que "l'Armée de libération nationale (ALN) et le Gouvernement provisoire de la république algérienne (GPRA) ait donné l'ordre d'entamer une grève générale sur l'ensemble du territoire algérien", a souligné M. Belkhodja. Sur la base de comptes-rendus des journaux de l'époque, à l'instar de la Dépêche d'Algérie, M. Belkhodja, a mis en exergue le destin tragique de Nadjia Khoudja, jeune fille âgée de 12 ans, qui tomba sous les balles assassines de soldats français, l'emblème national entre ses mains. "D'autres martyrs, à l'exemple de Nadjia Khoudja, sont des oubliés des mémoires collectifs, d'où la nécessité de réhabiliter l'histoire", a-t-il insisté. L'intervenant a, en outre, lancé un message en direction des jeunes pour qu'ils ne s'attardent pas sur des idées reçues, véhiculées par certains historiens, qui font croire faussement que: "le FLN a usé de la terreur pour mobiliser les Algériens" où encore que: "les deux forces, l'armée de l'ALN et l'armée coloniale française (soutenue par l'Otan) étaient, en puissance, sur le même pied d'égalité". De son côté, l'écrivain, Kamel Bouchama, a parlé de "l'écriture de l'histoire de manière pointilleuse et originelle". À ses yeux, "les déballages médiatiques et insipides sur le thème de la révolution algérienne n'intéressent pas les jeunes, créent des situations conflictuelles et jettent le désarroi dans leurs esprits". Il a, à la même occasion, appelé à montrer "le visage réel" du long processus de décolonisation, entamé depuis les temps anciens par de grands guerriers tels que : Massinissa, Jugurtha et tant d'autres figures de l'histoire de l'Algérie.
