Le chef de l'exécutif de la wilaya de Médéa craint "une forte pression" sur l'université lors de la rentrée 2012-2013, a-t-il relevé en marge d'une rencontre mardi dernier regroupant les membres de l'exécutif et des élus locaux, consacrée à l'amélioration du cadre de vie des citoyens. "Une forte pression est à craindre lors de la rentrée universitaire 2012-2013 en matière de capacité d'accueil et la situation devrait encore s'aggraver, au cours des deux prochaines années, si rien n'est fait pour combler en urgence le déficit qu'accuse actuellement le secteur de l'enseignement supérieur dans la wilaya", a déclaré Brahim Merad. Le wali a déploré, dans ce cadre, "l'énorme" retard enregistré dans le lancement des travaux de nombreux projets affectés au secteur de l'enseignement supérieur et dont certains auraient dû être entamés, selon lui, depuis plusieurs mois. Il a estimé que la pression sera "très forte durant la prochaine rentrée universitaire et qu'elle va s'accentuer encore davantage durant les deux années à venir" en raison, a-t-il expliqué, "du retard mis dans le lancement des travaux de ces projets, censés absorber , graduellement, le flux d'étudiants attendus dans les toutes prochaines années". Il s'agit, notamment, des projets de réalisation, sur le site du nouveau campus universitaire de Médéa, situé à la périphérie nord de la ville, de 8.000 places pédagogiques et d'une résidence universitaire d'une capacité de 4.000 lits, ainsi que d'un ensemble de structures administratives annexes, qui "peinent encore à sortir du sol, faute d'une réelle prise en charge", a-t-il indiqué. Décision a été prise, à cet égard, pour "revoir" les conditions d'attribution des marchés de réalisation et leur affectation au profit de nouveaux soumissionnaires, plus qualifiés et aptes à réaliser ce type de projet, a fait savoir le wali, ajoutant que des instructions fermes ont été données au maître d'ouvrage, en l'occurrence la Direction du logement et des équipements publics (Dlep) pour suivre de près ces projets. L'effectif attendu, cette année, à l'université de Médéa devrait dépasser le seuil de 14.000 étudiants, chiffre appelé à être revu à la hausse au cours des deux prochaines années, a-t-on estimé. Le chef de l'exécutif de la wilaya de Médéa craint "une forte pression" sur l'université lors de la rentrée 2012-2013, a-t-il relevé en marge d'une rencontre mardi dernier regroupant les membres de l'exécutif et des élus locaux, consacrée à l'amélioration du cadre de vie des citoyens. "Une forte pression est à craindre lors de la rentrée universitaire 2012-2013 en matière de capacité d'accueil et la situation devrait encore s'aggraver, au cours des deux prochaines années, si rien n'est fait pour combler en urgence le déficit qu'accuse actuellement le secteur de l'enseignement supérieur dans la wilaya", a déclaré Brahim Merad. Le wali a déploré, dans ce cadre, "l'énorme" retard enregistré dans le lancement des travaux de nombreux projets affectés au secteur de l'enseignement supérieur et dont certains auraient dû être entamés, selon lui, depuis plusieurs mois. Il a estimé que la pression sera "très forte durant la prochaine rentrée universitaire et qu'elle va s'accentuer encore davantage durant les deux années à venir" en raison, a-t-il expliqué, "du retard mis dans le lancement des travaux de ces projets, censés absorber , graduellement, le flux d'étudiants attendus dans les toutes prochaines années". Il s'agit, notamment, des projets de réalisation, sur le site du nouveau campus universitaire de Médéa, situé à la périphérie nord de la ville, de 8.000 places pédagogiques et d'une résidence universitaire d'une capacité de 4.000 lits, ainsi que d'un ensemble de structures administratives annexes, qui "peinent encore à sortir du sol, faute d'une réelle prise en charge", a-t-il indiqué. Décision a été prise, à cet égard, pour "revoir" les conditions d'attribution des marchés de réalisation et leur affectation au profit de nouveaux soumissionnaires, plus qualifiés et aptes à réaliser ce type de projet, a fait savoir le wali, ajoutant que des instructions fermes ont été données au maître d'ouvrage, en l'occurrence la Direction du logement et des équipements publics (Dlep) pour suivre de près ces projets. L'effectif attendu, cette année, à l'université de Médéa devrait dépasser le seuil de 14.000 étudiants, chiffre appelé à être revu à la hausse au cours des deux prochaines années, a-t-on estimé.