Les sit-in, prévus chaque lundi devant le siège de l'AADL, situé à Saïd-Hamdine, ont été suspendus momentanément et ce, jusqu'à la tenue d'une rencontre avec le tout nouveau ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme. Rencontre en cours de programmation, annoncent les souscripteurs dans un communiqué rendu public, hier. En effet, la rencontre prévue avec le ministre a redonné espoir aux souscripteurs qui entrevoient les prémices d'une volonté du nouveau ministre du secteur de l'Habitat de régler la problématique des premiers (1ers) souscripteurs 2001 (18 août au 31 décembre 2001) non encore satisfaits. L'autre espoir, qui a motivé la suspension des sit-in, c'est la demande du directeur général de l'AADL, lors de la dernière réunion tenue le mercredi 12 septembre 2012, soulignant la nécessité d'emprunter la voie d'un dialogue responsable, sur de nouvelles bases, conformément aux directives de la tutelle Les souscripteurs à la formule AADL décèlent la volonté confirmée, de la nouvelle tutelle, de prendre en charge réellement la problématique des souscripteurs de l'AADL, non honorés. Ceci les pousse à accorder une durée minimale de deux (02) mois au nouveau ministre de l'Habitat pour qu'il puisse examiner et envisager les différentes formules et solutions permettant de répondre favorablement aux légitimes doléances des souscripteurs de l'AADL et ce, dans le cadre d'une solution globale, ne se limitant pas au programme des 4.000 logements, prévus actuellement au niveau des sites de Rouiba et de Réghaïa. Les « laissés-pour- compte », c'est ainsi qu'ils se qualifient, estiment n'avoir pas le droit de laisser le doute s'éterniser quant aux efforts déployés dans le cadre de la construction d'un Etat de droit. Ces familles aspirent et visent, en permanence, l'établissement d'une justice sociale et l'édification d'une société garantissant une vie digne dans un climat de sérénité qui devrait impérativement prévaloir. Dans cette optique, elles estiment avoir été contraintes de sortir dans la rue après des années de confiance et de patience et espèrent que leur décision (suspension des sit-in, NDLR) permettra aux deux parties (ministère/ AADL et manifestants) de relancer le dialogue dans la sérénité souhaitée. Enfin les signataires du communiqué espèrent que l'engagement du nouveau ministre soit suffisant pour dissiper et lever toute équivoque pouvant remettre en cause tous les efforts déployés, à ce jour, par l'Etat dans le cadre du redressement et du développement du secteur de l'Habitat. Les sit-in, prévus chaque lundi devant le siège de l'AADL, situé à Saïd-Hamdine, ont été suspendus momentanément et ce, jusqu'à la tenue d'une rencontre avec le tout nouveau ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme. Rencontre en cours de programmation, annoncent les souscripteurs dans un communiqué rendu public, hier. En effet, la rencontre prévue avec le ministre a redonné espoir aux souscripteurs qui entrevoient les prémices d'une volonté du nouveau ministre du secteur de l'Habitat de régler la problématique des premiers (1ers) souscripteurs 2001 (18 août au 31 décembre 2001) non encore satisfaits. L'autre espoir, qui a motivé la suspension des sit-in, c'est la demande du directeur général de l'AADL, lors de la dernière réunion tenue le mercredi 12 septembre 2012, soulignant la nécessité d'emprunter la voie d'un dialogue responsable, sur de nouvelles bases, conformément aux directives de la tutelle Les souscripteurs à la formule AADL décèlent la volonté confirmée, de la nouvelle tutelle, de prendre en charge réellement la problématique des souscripteurs de l'AADL, non honorés. Ceci les pousse à accorder une durée minimale de deux (02) mois au nouveau ministre de l'Habitat pour qu'il puisse examiner et envisager les différentes formules et solutions permettant de répondre favorablement aux légitimes doléances des souscripteurs de l'AADL et ce, dans le cadre d'une solution globale, ne se limitant pas au programme des 4.000 logements, prévus actuellement au niveau des sites de Rouiba et de Réghaïa. Les « laissés-pour- compte », c'est ainsi qu'ils se qualifient, estiment n'avoir pas le droit de laisser le doute s'éterniser quant aux efforts déployés dans le cadre de la construction d'un Etat de droit. Ces familles aspirent et visent, en permanence, l'établissement d'une justice sociale et l'édification d'une société garantissant une vie digne dans un climat de sérénité qui devrait impérativement prévaloir. Dans cette optique, elles estiment avoir été contraintes de sortir dans la rue après des années de confiance et de patience et espèrent que leur décision (suspension des sit-in, NDLR) permettra aux deux parties (ministère/ AADL et manifestants) de relancer le dialogue dans la sérénité souhaitée. Enfin les signataires du communiqué espèrent que l'engagement du nouveau ministre soit suffisant pour dissiper et lever toute équivoque pouvant remettre en cause tous les efforts déployés, à ce jour, par l'Etat dans le cadre du redressement et du développement du secteur de l'Habitat.