"Nous n'avons pas d'information crédible qui nous permette de parler de la mort ou non de M. Touati», a déclaré lundi dernier, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. Questionné sur la position officielle de l'Algérie quant à l'information relayée par certains médias annonçant l'exécution de l'otage algérien, Medelci a soutenu que «nous n'avons pas aujourd'hui la preuve matérielle que cette personne ait été tuée» et d'ajouter, la position officielle de l'Etat algérien est que «nous n'avons pas encore réuni toutes les informations qui nous permettent de confirmer l'exécution de Tahar Touati». A cet effet, il a révélé que l'Etat algérien «nourrit toujours un espoir, lequel a été transmis à la famille du diplomate». «Nous sommes en contact avec la famille jusqu'à ce que nous sachions la vérité, quelle qu'elle soit», a-t-il déclaré. S'exprimant lors de la conférence de presse qu'il a animée conjointement avec la Haut-Commissaire des Nations unies des droits de l'Homme, Mme Navanethem Pillay en visite à Alger lundi dernier, Mourad Medelci a indiqué «avoir des informations régulières sur nos frères diplomates qui sont aujourd'hui détenus». «Leurs conditions de détention n'ont pas évolué et sont suivies», a-t-il ajouté. Révélant que les informations dont il dispose sont les mêmes que celles remontant au début de la prise d'otages, Medelci a révélé que, jusqu'à l'heure actuelle, «aucun problème particulier de santé ou d'absence de médicaments n'ont été signalés». Par ailleurs, Medelci a exprimé son espoir de voir les personnes en relation avec cet acte de prise d'otages œuvrer sur le plan humanitaire, rappelant, dans ce même sillage, que nos diplomates étaient en mission humanitaire au Mali. Il est à rappeler que le consulat d'Algérie à Gao avait été la cible d'une attaque le 5 avril dernier par un groupe inconnu qui a pris en otage le consul et six fonctionnaires algériens. Les otages ont été emmenés vers une destination inconnue. Quelques semaines après, trois otages avaient été libérés puis rapatriés vers le pays. Le 2 septembre dernier, certains médias, notamment, ceux du Web, ont rapporté l'information que le fonctionnaire consulaire, Tahar Touati, avait été exécuté par ses ravisseurs dans la soirée du 1er septembre 2012, évoquant l'expiration des délais limité par les ravisseurs des fonctionnaires algériens. Le ministère des Affaires étrangères avait affirmé, dans un communiqué de presse que des démarches ont été opérées pour vérifier cette information. Le MAE avait affirmé que les contacts avec les ravisseurs n'étaient pas rompus en vue de trouver une issue à cette situation. "Nous n'avons pas d'information crédible qui nous permette de parler de la mort ou non de M. Touati», a déclaré lundi dernier, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. Questionné sur la position officielle de l'Algérie quant à l'information relayée par certains médias annonçant l'exécution de l'otage algérien, Medelci a soutenu que «nous n'avons pas aujourd'hui la preuve matérielle que cette personne ait été tuée» et d'ajouter, la position officielle de l'Etat algérien est que «nous n'avons pas encore réuni toutes les informations qui nous permettent de confirmer l'exécution de Tahar Touati». A cet effet, il a révélé que l'Etat algérien «nourrit toujours un espoir, lequel a été transmis à la famille du diplomate». «Nous sommes en contact avec la famille jusqu'à ce que nous sachions la vérité, quelle qu'elle soit», a-t-il déclaré. S'exprimant lors de la conférence de presse qu'il a animée conjointement avec la Haut-Commissaire des Nations unies des droits de l'Homme, Mme Navanethem Pillay en visite à Alger lundi dernier, Mourad Medelci a indiqué «avoir des informations régulières sur nos frères diplomates qui sont aujourd'hui détenus». «Leurs conditions de détention n'ont pas évolué et sont suivies», a-t-il ajouté. Révélant que les informations dont il dispose sont les mêmes que celles remontant au début de la prise d'otages, Medelci a révélé que, jusqu'à l'heure actuelle, «aucun problème particulier de santé ou d'absence de médicaments n'ont été signalés». Par ailleurs, Medelci a exprimé son espoir de voir les personnes en relation avec cet acte de prise d'otages œuvrer sur le plan humanitaire, rappelant, dans ce même sillage, que nos diplomates étaient en mission humanitaire au Mali. Il est à rappeler que le consulat d'Algérie à Gao avait été la cible d'une attaque le 5 avril dernier par un groupe inconnu qui a pris en otage le consul et six fonctionnaires algériens. Les otages ont été emmenés vers une destination inconnue. Quelques semaines après, trois otages avaient été libérés puis rapatriés vers le pays. Le 2 septembre dernier, certains médias, notamment, ceux du Web, ont rapporté l'information que le fonctionnaire consulaire, Tahar Touati, avait été exécuté par ses ravisseurs dans la soirée du 1er septembre 2012, évoquant l'expiration des délais limité par les ravisseurs des fonctionnaires algériens. Le ministère des Affaires étrangères avait affirmé, dans un communiqué de presse que des démarches ont été opérées pour vérifier cette information. Le MAE avait affirmé que les contacts avec les ravisseurs n'étaient pas rompus en vue de trouver une issue à cette situation.