oUn don de 120.000 dollars a été octroyé par le gouvernement brésilien pour soutenir les activités du haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) dans les camps de réfugiés du Sahara occidental à Tindouf. Une cérémonie de remise symbolique de ce don a été organisée mercredi au siège de l'UNHCR à Alger en présence de l'ambassadeur du Brésil, Henrique Sardinha Pinto et le représentant du Programme alimentaire mondial (PAM) Ussama Osman. L'ambassadeur brésilien a indiqué, dans une brève allocution, que ce don vise à "renforcer le programme de fourniture de repas scolaires et d'autres services en faveur des étudiants sahraouis réfugiés". Il a ajouté que durant les dernières quatre années, le gouvernement brésilien s'est fait représenter lors des visites organisées aux camps de réfugiés sahraouis à Tindouf et qu'il lui a été possible de "vérifier les conditions difficiles de vie des populations installées". "A partir des demandes présentées par le HCR et le PAM, le Brésil a décidé de contribuer, à chaque fois que possible, à cette opération humanitaire", a-t-il souligné. "A partir de notre propre expérience, au Brésil, nous reconnaissons l'importance des programmes de cantines scolaires et leur rôle dans la réduction de la malnutrition des populations démunies. C'est pour cela que nous manifestons notre souhait pour que ce don soit employé dans cette activité", a encore précisé le diplomate brésilien. De son côté, le représentant de l'UNHCR, Rolf Gruenert, a indiqué que l'UNHCR, en collaboration avec ses partenaires dans les camps des réfugiés sahraouis, "va utiliser cette donation pour soutenir la scolarité des enfants et des étudiants sahraouis qui vivent dans un environnement difficile". "Cette occasion nous rappelle les besoins des réfugiés sahraouis qui vivent depuis 36 ans dans des camps de réfugiés et qui constituent l'une des plus anciennes situations de réfugiés au monde", a-t-il relevé. Il a estimé, à ce propos, que "cette généreuse contribution constitue, bien évidemment, un investissement pour le futur de ces enfants sahraouis". oUn don de 120.000 dollars a été octroyé par le gouvernement brésilien pour soutenir les activités du haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) dans les camps de réfugiés du Sahara occidental à Tindouf. Une cérémonie de remise symbolique de ce don a été organisée mercredi au siège de l'UNHCR à Alger en présence de l'ambassadeur du Brésil, Henrique Sardinha Pinto et le représentant du Programme alimentaire mondial (PAM) Ussama Osman. L'ambassadeur brésilien a indiqué, dans une brève allocution, que ce don vise à "renforcer le programme de fourniture de repas scolaires et d'autres services en faveur des étudiants sahraouis réfugiés". Il a ajouté que durant les dernières quatre années, le gouvernement brésilien s'est fait représenter lors des visites organisées aux camps de réfugiés sahraouis à Tindouf et qu'il lui a été possible de "vérifier les conditions difficiles de vie des populations installées". "A partir des demandes présentées par le HCR et le PAM, le Brésil a décidé de contribuer, à chaque fois que possible, à cette opération humanitaire", a-t-il souligné. "A partir de notre propre expérience, au Brésil, nous reconnaissons l'importance des programmes de cantines scolaires et leur rôle dans la réduction de la malnutrition des populations démunies. C'est pour cela que nous manifestons notre souhait pour que ce don soit employé dans cette activité", a encore précisé le diplomate brésilien. De son côté, le représentant de l'UNHCR, Rolf Gruenert, a indiqué que l'UNHCR, en collaboration avec ses partenaires dans les camps des réfugiés sahraouis, "va utiliser cette donation pour soutenir la scolarité des enfants et des étudiants sahraouis qui vivent dans un environnement difficile". "Cette occasion nous rappelle les besoins des réfugiés sahraouis qui vivent depuis 36 ans dans des camps de réfugiés et qui constituent l'une des plus anciennes situations de réfugiés au monde", a-t-il relevé. Il a estimé, à ce propos, que "cette généreuse contribution constitue, bien évidemment, un investissement pour le futur de ces enfants sahraouis".