L'Organisation mondiale du tourisme a choisi de célébrer la 54e Journée mondiale du tourisme, cette année en Espagne, sous le thème de «Tourisme, énergies durables : Propulser le développement durable». Cette date est célébrée le 27 septembre chaque année à travers le monde. Chez nous, cette occasion a été couronnée, jeudi dernier à l'hôtel Aurassi, par une cérémonie officielle, présidée par le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Mohamed Benmeradi, accompagné du ministre de la pêche et le secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, au cours de laquelle un hommage a été rendu aux anciens cadres du secteur qui ont contribué, de manière efficiente, aux démarches adoptées depuis l'Indépendance dans le cadre du développement des ressources touristiques. Celles-ci, faut-il le rappeler, bénéficient d'une réputation extra frontalières indéniable qui faisait du tourisme la 5e source économique du pays, il y a quelques décennies de cela. S'agissant du thème retenu en ce 27 septembre, le ministre du Tourisme et de l'Artisanat a affirmé que « Cette proclamation semble être une excellente opportunité d'attirer l'attention sur la nécessité d'assurer une collaboration plus étroite entre les acteurs du tourisme et de l'énergie afin d'accroître la contribution du tourisme à la durabilité ». En fait, l'Algérie s'apprête à entreprendre une nouvelle politique de l'économie éco-touristique basée sur les énergies propres et à même de promouvoir le cadre de vie d'une grande tranche de la société. Le tourisme algérien enclenche une nouvelle mutation qui survient dans la culture du tourisme mondial. Un récent communiqué de l'organisation mondiale du tourisme annonce, qu'avec un record de 467 millions de touristes au premier semestre 2012, le tourisme international reste résolument sur la voie d'atteindre le milliard de touristes d'ici la fin de l'année. Les recettes, quant à elles, ont totalisé 930 milliards de dollars à fin 2010 soit 6% des exportations mondiales. Ce chiffre est appelé à dépasser la barre des mille milliards de dollars en 2012. Ceci confirme le principe que l'émergence d'un tourisme durable facteur de propulsion du développement durable dans le monde. A ce propos, le premier responsable du secteur en question a soutenu que « l'Algérie se tourne aujourd'hui résolument vers le développement de son tourisme dans le cadre d'une stratégie tout aussi ambitieuse que réaliste » soulignant que « le concept de développement durable ne doit pas être un simple emballage marketing ou une notion abstraite, il doit être naturellement traduit à travers des actes tangibles et des mesures transparentes et courageuses vérifiables sur le terrain. La nécessité d'œuvrer à la mise en place de politiques de développement qui obéissent à une planification rigoureuse avec des objectifs précis et un mode opératoire maitrisé ; l'élaboration périodiquement par des parties neutres, d'études d'impact du processus de développement touristique sur l'environnement et sur les populations locales ; l'implication des populations d'accueil dans les programmes de développement locaux. Ilest question de l'adhésion des acteurs et professionnels du tourisme dans les grands choix relatifs aux différentes phases de développement du tourisme ; la concertation permanente avec les secteurs dont l'activité se rapporte directement ou indirectement au tourisme et l'introduction du concept de développement durable dans le cursus de formation. L'éducation en permanence du regard des touristes en direction des régions et populations d'accueil et la mobilisation des médias autour de cette thématique sont deux conditions incontournables. » Désormais, affirmera Mohamed Benmeradi, « le processus de relance de notre tourisme, obéira à une planification rigoureuse et une exploitation rationnelle des ressources et des moyens ». Et d'ajouter, « cette approche nous permettra d'éviter toute dérive d'un développement touristique anarchique et incontrôlé ». Selon ce même intervenant, cette nouvelle politique permettra de prendre, en toute sérénité, suffisamment de recul pour éviter les expériences extérieures malheureuses, remises en cause aujourd'hui. L'Organisation mondiale du tourisme a choisi de célébrer la 54e Journée mondiale du tourisme, cette année en Espagne, sous le thème de «Tourisme, énergies durables : Propulser le développement durable». Cette date est célébrée le 27 septembre chaque année à travers le monde. Chez nous, cette occasion a été couronnée, jeudi dernier à l'hôtel Aurassi, par une cérémonie officielle, présidée par le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Mohamed Benmeradi, accompagné du ministre de la pêche et le secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, au cours de laquelle un hommage a été rendu aux anciens cadres du secteur qui ont contribué, de manière efficiente, aux démarches adoptées depuis l'Indépendance dans le cadre du développement des ressources touristiques. Celles-ci, faut-il le rappeler, bénéficient d'une réputation extra frontalières indéniable qui faisait du tourisme la 5e source économique du pays, il y a quelques décennies de cela. S'agissant du thème retenu en ce 27 septembre, le ministre du Tourisme et de l'Artisanat a affirmé que « Cette proclamation semble être une excellente opportunité d'attirer l'attention sur la nécessité d'assurer une collaboration plus étroite entre les acteurs du tourisme et de l'énergie afin d'accroître la contribution du tourisme à la durabilité ». En fait, l'Algérie s'apprête à entreprendre une nouvelle politique de l'économie éco-touristique basée sur les énergies propres et à même de promouvoir le cadre de vie d'une grande tranche de la société. Le tourisme algérien enclenche une nouvelle mutation qui survient dans la culture du tourisme mondial. Un récent communiqué de l'organisation mondiale du tourisme annonce, qu'avec un record de 467 millions de touristes au premier semestre 2012, le tourisme international reste résolument sur la voie d'atteindre le milliard de touristes d'ici la fin de l'année. Les recettes, quant à elles, ont totalisé 930 milliards de dollars à fin 2010 soit 6% des exportations mondiales. Ce chiffre est appelé à dépasser la barre des mille milliards de dollars en 2012. Ceci confirme le principe que l'émergence d'un tourisme durable facteur de propulsion du développement durable dans le monde. A ce propos, le premier responsable du secteur en question a soutenu que « l'Algérie se tourne aujourd'hui résolument vers le développement de son tourisme dans le cadre d'une stratégie tout aussi ambitieuse que réaliste » soulignant que « le concept de développement durable ne doit pas être un simple emballage marketing ou une notion abstraite, il doit être naturellement traduit à travers des actes tangibles et des mesures transparentes et courageuses vérifiables sur le terrain. La nécessité d'œuvrer à la mise en place de politiques de développement qui obéissent à une planification rigoureuse avec des objectifs précis et un mode opératoire maitrisé ; l'élaboration périodiquement par des parties neutres, d'études d'impact du processus de développement touristique sur l'environnement et sur les populations locales ; l'implication des populations d'accueil dans les programmes de développement locaux. Ilest question de l'adhésion des acteurs et professionnels du tourisme dans les grands choix relatifs aux différentes phases de développement du tourisme ; la concertation permanente avec les secteurs dont l'activité se rapporte directement ou indirectement au tourisme et l'introduction du concept de développement durable dans le cursus de formation. L'éducation en permanence du regard des touristes en direction des régions et populations d'accueil et la mobilisation des médias autour de cette thématique sont deux conditions incontournables. » Désormais, affirmera Mohamed Benmeradi, « le processus de relance de notre tourisme, obéira à une planification rigoureuse et une exploitation rationnelle des ressources et des moyens ». Et d'ajouter, « cette approche nous permettra d'éviter toute dérive d'un développement touristique anarchique et incontrôlé ». Selon ce même intervenant, cette nouvelle politique permettra de prendre, en toute sérénité, suffisamment de recul pour éviter les expériences extérieures malheureuses, remises en cause aujourd'hui.