Plus de deux cents (200) contrats de performance ont été signés entre le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et de la Ville et des entreprises pour la réalisation d'un programme de dépollution dans le cadre d'une gestion environnementale durable, a indiqué, hier, à Alger un représentant de ce ministère. "Le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement a commencé depuis 2006 à réaliser des contrats de performance, un outil de gestion environnementale, avec des entreprises privées et publiques afin qu'elles réalisent des programmes de dépollution", a expliqué Ahmed Akli, cadre dans ce ministère lors de la tenue du 1er symposium international sur la gestion durable des entreprises. Il a ajouté que ces entreprises s'engagent en vertu de ces contrats à réaliser, une station d'épuration, un filtre ou tout autre moyen de dépollution afin de répondre aux normes environnementales internationales. Belabdelouahab Mohamed Mounir, secrétaire général du Club des entrepreneurs et industriels (CEIMI), organisatrice de ce 1er symposium international, a considéré ces contrats de performance comme des contrats "modèles". Selon lui, ces contrats tirent les entreprises vers le haut pour se mettre en conformité avec les standards internationaux en matière de respect de l'environnement. Citant d'autres outils de gestion environnementale durable, M. Akli a relevé l'importance de l'étude préalable de "l'impact d'un projet sur l'environnement". "Une étude sur l'impact du projet industriel sur l'environnement est exigée par le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement avant la mise en place de ce projet", a-t-il dit. Il a ajouté, d'autre part, que pour sensibiliser au maximum les industriels afin qu'ils prennent en charge leur environnement, un poste de délégué de l'environnement a été créé au niveau de chaque entreprise. "Ces délégués de l'environnement qui sont des ingénieurs de formation prennent en charge la gestion environnementale au niveau de chaque entreprise", a-t-il ajouté. Le Pr Benabdelli Khéloufi a indiqué dans ce sens que les différents programmes de gestion environnementale mis en place en Algérie permettent aujourd'hui de créer "des emplois permanents" permettant de confirmer que la protection de l'environnement est un concept "économiquement intéressant". "Ce n'est qu'à travers un encouragement à l'investissement vert qu'il sera possible de rentabiliser et d'intégrer la protection de l'environnement dans le développement économique et social", a-t-il considéré. Un 1er symposium international sur la gestion durable des entreprises s'est ouvert lundi matin à Alger avec la participation d'experts algériens et étrangers. Ce symposium, dont les travaux s'étaleront sur deux jours, examinera les enjeux de la globalisation des pays du Maghreb, à l'image de l'Algérie, du Maroc et de la Tunisie, qui se sont engagés dans des processus de développement économique, faisant appel à d'importants programmes de mise à niveau de leurs entreprises, ont indiqué les organisateurs. Plus de deux cents (200) contrats de performance ont été signés entre le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et de la Ville et des entreprises pour la réalisation d'un programme de dépollution dans le cadre d'une gestion environnementale durable, a indiqué, hier, à Alger un représentant de ce ministère. "Le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement a commencé depuis 2006 à réaliser des contrats de performance, un outil de gestion environnementale, avec des entreprises privées et publiques afin qu'elles réalisent des programmes de dépollution", a expliqué Ahmed Akli, cadre dans ce ministère lors de la tenue du 1er symposium international sur la gestion durable des entreprises. Il a ajouté que ces entreprises s'engagent en vertu de ces contrats à réaliser, une station d'épuration, un filtre ou tout autre moyen de dépollution afin de répondre aux normes environnementales internationales. Belabdelouahab Mohamed Mounir, secrétaire général du Club des entrepreneurs et industriels (CEIMI), organisatrice de ce 1er symposium international, a considéré ces contrats de performance comme des contrats "modèles". Selon lui, ces contrats tirent les entreprises vers le haut pour se mettre en conformité avec les standards internationaux en matière de respect de l'environnement. Citant d'autres outils de gestion environnementale durable, M. Akli a relevé l'importance de l'étude préalable de "l'impact d'un projet sur l'environnement". "Une étude sur l'impact du projet industriel sur l'environnement est exigée par le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement avant la mise en place de ce projet", a-t-il dit. Il a ajouté, d'autre part, que pour sensibiliser au maximum les industriels afin qu'ils prennent en charge leur environnement, un poste de délégué de l'environnement a été créé au niveau de chaque entreprise. "Ces délégués de l'environnement qui sont des ingénieurs de formation prennent en charge la gestion environnementale au niveau de chaque entreprise", a-t-il ajouté. Le Pr Benabdelli Khéloufi a indiqué dans ce sens que les différents programmes de gestion environnementale mis en place en Algérie permettent aujourd'hui de créer "des emplois permanents" permettant de confirmer que la protection de l'environnement est un concept "économiquement intéressant". "Ce n'est qu'à travers un encouragement à l'investissement vert qu'il sera possible de rentabiliser et d'intégrer la protection de l'environnement dans le développement économique et social", a-t-il considéré. Un 1er symposium international sur la gestion durable des entreprises s'est ouvert lundi matin à Alger avec la participation d'experts algériens et étrangers. Ce symposium, dont les travaux s'étaleront sur deux jours, examinera les enjeux de la globalisation des pays du Maghreb, à l'image de l'Algérie, du Maroc et de la Tunisie, qui se sont engagés dans des processus de développement économique, faisant appel à d'importants programmes de mise à niveau de leurs entreprises, ont indiqué les organisateurs.