Le programme du festival, qui comprend une exposition de documents, d'instruments et de matériels liés au thème et aux activités de ses participants, prévoit également une série de conférences animées par des spécialistes, ainsi que des ateliers et des séances d'observation. Le programme du festival, qui comprend une exposition de documents, d'instruments et de matériels liés au thème et aux activités de ses participants, prévoit également une série de conférences animées par des spécialistes, ainsi que des ateliers et des séances d'observation. La 11e édition du Festival national d‘astronomie populaire, organisé annuellement par l‘association Sirius, a été ouverte jeudi à la maison de jeunes Ahmed-Sâadi de Constantine, réunissant 20 associations et structures nationales et neuf participants étrangers. Comme de tradition, le programme du festival, qui comprend une exposition de documents, d‘instruments et de matériels liés au thème et aux activités de ses participants, prévoit également une série de conférences animées par des spécialistes, ainsi que des ateliers et des séances d‘observation. Le "maximum solaire" sera le principal sujet des conférences et des débats prévus dans le cadre de cette rencontre qui s‘est choisie comme thème, cette année, "Le soleil, notre étoile". Le choix de ce thème n‘est pas fortuit, selon le professeur Djamel Mimouni, président de l‘association Sirius, mais se justifie, a-t-il dit, par la volonté de contribuer à éclairer l‘opinion publique sur le maximum solaire qui se produit tous les 11 ans et qui sera atteint en 2013. "Ce type d‘activités cycliques du soleil donne généralement lieu à des rumeurs catastrophistes de la part de charlatans qui font courir des bruits de séismes, de tsunamis et autres calamités, alors que le maximum solaire n‘a pas d‘incidence majeure sur la vie sur terre, celle-ci étant protégée par l‘atmosphère et le bouclier magnétique", a expliqué le professeur Mimouni. Le directeur du Centre national de la recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG), Chaouch Yelles, le premier chercheur algérien en astronomie, M. Belhocine (aujourd‘hui à la retraite), le directeur du planétarium de la bibliothèque d‘Alexandrie, Omar Fikri, et le président de la chaire de l‘Unesco à l‘université d‘El Qods à Ghaza, Souleiman Baraka, figurent parmi les invités d‘honneur de cette 11e édition du Festival. Ce dernier enregistre également la participation d‘un grand nombre d‘organismes et d‘associations internationales, à l‘instar de la SAF (Société astronomique de France), de l‘AUASS (Arab Union for Astronomy and Space Sciences) basée de l‘Unesco basé en Afrique du Sud, de la SAT (Société astronomique de Tunisie) et de la NDU (Lebanese Astronomical Society) qui viennent tous avec d‘importantes contributions scientifiques. La 11e édition du Festival national d‘astronomie populaire, organisé annuellement par l‘association Sirius, a été ouverte jeudi à la maison de jeunes Ahmed-Sâadi de Constantine, réunissant 20 associations et structures nationales et neuf participants étrangers. Comme de tradition, le programme du festival, qui comprend une exposition de documents, d‘instruments et de matériels liés au thème et aux activités de ses participants, prévoit également une série de conférences animées par des spécialistes, ainsi que des ateliers et des séances d‘observation. Le "maximum solaire" sera le principal sujet des conférences et des débats prévus dans le cadre de cette rencontre qui s‘est choisie comme thème, cette année, "Le soleil, notre étoile". Le choix de ce thème n‘est pas fortuit, selon le professeur Djamel Mimouni, président de l‘association Sirius, mais se justifie, a-t-il dit, par la volonté de contribuer à éclairer l‘opinion publique sur le maximum solaire qui se produit tous les 11 ans et qui sera atteint en 2013. "Ce type d‘activités cycliques du soleil donne généralement lieu à des rumeurs catastrophistes de la part de charlatans qui font courir des bruits de séismes, de tsunamis et autres calamités, alors que le maximum solaire n‘a pas d‘incidence majeure sur la vie sur terre, celle-ci étant protégée par l‘atmosphère et le bouclier magnétique", a expliqué le professeur Mimouni. Le directeur du Centre national de la recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG), Chaouch Yelles, le premier chercheur algérien en astronomie, M. Belhocine (aujourd‘hui à la retraite), le directeur du planétarium de la bibliothèque d‘Alexandrie, Omar Fikri, et le président de la chaire de l‘Unesco à l‘université d‘El Qods à Ghaza, Souleiman Baraka, figurent parmi les invités d‘honneur de cette 11e édition du Festival. Ce dernier enregistre également la participation d‘un grand nombre d‘organismes et d‘associations internationales, à l‘instar de la SAF (Société astronomique de France), de l‘AUASS (Arab Union for Astronomy and Space Sciences) basée de l‘Unesco basé en Afrique du Sud, de la SAT (Société astronomique de Tunisie) et de la NDU (Lebanese Astronomical Society) qui viennent tous avec d‘importantes contributions scientifiques.