Hier, à minuit, les partis prenant part aux élections des APW et APC du 29 novembre prochain devaient déposer leurs listes et dossiers de candidature. La course contre la montre est bel et bien terminée pour toutes les formations politiques. Le délai devait être impérativement respecté. Hier encore les états-majors des partis s'affairaient à mettre les dernières retouches aux listes. Certains, les grosses pointures, ont pu boucler à temps cette opération. Hier, à minuit, les partis prenant part aux élections des APW et APC du 29 novembre prochain devaient déposer leurs listes et dossiers de candidature. La course contre la montre est bel et bien terminée pour toutes les formations politiques. Le délai devait être impérativement respecté. Hier encore les états-majors des partis s'affairaient à mettre les dernières retouches aux listes. Certains, les grosses pointures, ont pu boucler à temps cette opération. D'autres ont eu certaines difficultés à placer des hommes ou femmes ayant des critères à faire valoir. D'autres ont procédé simplement à du « remplissage » des listes. Ce sont les partis, nouvellement agréés, qui n'ont pas de base militante ou ne disposant pas d'ancrage au niveau des masses populaires. Au niveau du Front national algérien, on avoue que le parti a rencontré des difficultés pour confectionner des listes de candidats devant postuler pour les locales. Le président du parti, Moussa Touati dénonce certaines lois qui sont « venues de nulle part et qui ne mènent finalement à nulle part ». Le premier responsable parle, bien sûr, de la loi sur le code électoral et celle des codes communal et de wilaya. Ces deux textes ont été faits, selon lui, « à la tête du client », sans tenir compte de la Constitution, des mentalités et des traditions du peuple algérien. Les réformes promises ont été « déviées » de leur chemin, a-t-il souligné. Le président du FNA avoue également ne pas avoir le nombre exact de listes de candidats déposés au niveau des wilayas. Il est trop tôt, au jour d'aujourd'hui, pour connaître le chiffre, a-t-il assuré. Toujours est-il que Moussa Touati dit que dans 30% des wilayas du pays, le FNA a déjà déposé les listes des candidats le représentant. Il confie que le parti sera présent dans 45 wilayas. « 600 listes » sont déjà au niveau des wilayas. Dans les trois wilayas où il sera absent, Tizi-Ouzou, Tissemsilt et Tiaret, Moussa Touati fera part de « problèmes organiques » qui n'ont pas permis l'établissement de listes de candidats du parti. « L'administration n'est aucunement responsable », a-t-il soutenu. Au Front de libération national, il semble que les listes soient finalisées. Les responsables du parti de Abdelaziz Belkhadem font dans la « discrétion ». Ils « travaillent » dans l'ombre pour ne pas soulever des vagues de contestation des militants qui aspirent à figurer dans la liste de postulant à devenir « maire » ou président de l'APW. Même cas de figure au RND de l'ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia. Le parti, lui aussi, est secoué par un mouvement de redressement mené par Mohamed Zitouni et Nouara Hafsi. Les deux ailes travaillent eux aussi dans la « discrétion ». Ils n'iront pas jusqu'à présenter deux listes distinctes. Les craintes d'une implosion du parti ont eu raison de leurs velléités. D'ailleurs Les Zitouni et Hafsi ne parlent pas de « redressement », mais il s'agit selon eux de « remettre sur rail le RND qui risque d'être emporté par les dérivés de son secrétaire général Ahmed Ouyahia. Le PT, le MPA et l'Alliance Algérie Verte étaient « en réunion » pour faire le point. Aucune information n'a filtré sur l'opération de dépôt des listes des candidats. D'autres partis, nouvellement agréés à la faveur des réformes politiques initiées par le président de la République, ont annoncé leur intention de participer au scrutin du 29 novembre prochain. Une dernière fournée de quatre autres partis politiques est venue se joindre à plus de cinquante partis déjà sur le terrain. Ils ont été agréés le 1er octobre 2012, à savoir le Front du militantisme national (FMN) ; l'Union pour le rassemblement national (URN) ; le Front des jeunes démocrates pour la citoyenneté (FJDC) et le parti Tajamoua Amel El Jazair (TAJ) d'Amar Ghoul. Il faut savoir qu'après la phase de dépôt des listes de candidature, les dossiers seront minutieusement examinés en vue de leur validation. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a fait savoir, dans une déclaration accordée à la presse en marge des réponses du Premier ministre aux interventions des membres de l'APN sur le plan d'action du gouvernement, que les noms des personnes « ayant des problèmes avec la justice » seront rayés des listes de candidature. Il a souligné, dans ce contexte, que le choix de candidats compétents incombe aux partis politiques qui ont décidé de participer aux prochaines élections communales et de wilaya. D'autres ont eu certaines difficultés à placer des hommes ou femmes ayant des critères à faire valoir. D'autres ont procédé simplement à du « remplissage » des listes. Ce sont les partis, nouvellement agréés, qui n'ont pas de base militante ou ne disposant pas d'ancrage au niveau des masses populaires. Au niveau du Front national algérien, on avoue que le parti a rencontré des difficultés pour confectionner des listes de candidats devant postuler pour les locales. Le président du parti, Moussa Touati dénonce certaines lois qui sont « venues de nulle part et qui ne mènent finalement à nulle part ». Le premier responsable parle, bien sûr, de la loi sur le code électoral et celle des codes communal et de wilaya. Ces deux textes ont été faits, selon lui, « à la tête du client », sans tenir compte de la Constitution, des mentalités et des traditions du peuple algérien. Les réformes promises ont été « déviées » de leur chemin, a-t-il souligné. Le président du FNA avoue également ne pas avoir le nombre exact de listes de candidats déposés au niveau des wilayas. Il est trop tôt, au jour d'aujourd'hui, pour connaître le chiffre, a-t-il assuré. Toujours est-il que Moussa Touati dit que dans 30% des wilayas du pays, le FNA a déjà déposé les listes des candidats le représentant. Il confie que le parti sera présent dans 45 wilayas. « 600 listes » sont déjà au niveau des wilayas. Dans les trois wilayas où il sera absent, Tizi-Ouzou, Tissemsilt et Tiaret, Moussa Touati fera part de « problèmes organiques » qui n'ont pas permis l'établissement de listes de candidats du parti. « L'administration n'est aucunement responsable », a-t-il soutenu. Au Front de libération national, il semble que les listes soient finalisées. Les responsables du parti de Abdelaziz Belkhadem font dans la « discrétion ». Ils « travaillent » dans l'ombre pour ne pas soulever des vagues de contestation des militants qui aspirent à figurer dans la liste de postulant à devenir « maire » ou président de l'APW. Même cas de figure au RND de l'ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia. Le parti, lui aussi, est secoué par un mouvement de redressement mené par Mohamed Zitouni et Nouara Hafsi. Les deux ailes travaillent eux aussi dans la « discrétion ». Ils n'iront pas jusqu'à présenter deux listes distinctes. Les craintes d'une implosion du parti ont eu raison de leurs velléités. D'ailleurs Les Zitouni et Hafsi ne parlent pas de « redressement », mais il s'agit selon eux de « remettre sur rail le RND qui risque d'être emporté par les dérivés de son secrétaire général Ahmed Ouyahia. Le PT, le MPA et l'Alliance Algérie Verte étaient « en réunion » pour faire le point. Aucune information n'a filtré sur l'opération de dépôt des listes des candidats. D'autres partis, nouvellement agréés à la faveur des réformes politiques initiées par le président de la République, ont annoncé leur intention de participer au scrutin du 29 novembre prochain. Une dernière fournée de quatre autres partis politiques est venue se joindre à plus de cinquante partis déjà sur le terrain. Ils ont été agréés le 1er octobre 2012, à savoir le Front du militantisme national (FMN) ; l'Union pour le rassemblement national (URN) ; le Front des jeunes démocrates pour la citoyenneté (FJDC) et le parti Tajamoua Amel El Jazair (TAJ) d'Amar Ghoul. Il faut savoir qu'après la phase de dépôt des listes de candidature, les dossiers seront minutieusement examinés en vue de leur validation. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a fait savoir, dans une déclaration accordée à la presse en marge des réponses du Premier ministre aux interventions des membres de l'APN sur le plan d'action du gouvernement, que les noms des personnes « ayant des problèmes avec la justice » seront rayés des listes de candidature. Il a souligné, dans ce contexte, que le choix de candidats compétents incombe aux partis politiques qui ont décidé de participer aux prochaines élections communales et de wilaya.