Deux cents (200) à 300 nouveaux cas de leucémie myéloïde chronique sont enregistrés chaque année en Algérie, a indiqué samedi à Alger le Pr Bekadja Mohamed Amine président de la Société algérienne d'hématologie et de transfusion sanguine. A l'occasion d'un colloque national sur : "Leucémie Miéloïde Chronique, diagnostic et les perspectives", le Pr Bekadja a souligné que la prise en charge et le diagnostic de cette maladie "était très difficile par le passé et que les patients atteints de cette maladie se rendaient dans un pays voisin pour se soigner". "Grâce aux efforts déployés par les pouvoirs publics ces dernières années, il est devenu possible de soigner à 100% cette maladie complexe" dans les grands hôpitaux universitaires, a ajouté le Pr Bekadja, précisant que la prévalence de cette maladie est estimée à 0,44 cas pour mille habitants, selon les registres du cancer, et touche principalement les personnes d'une moyenne d'âge de 44 ans. Le Pr Bekadja qui dirige le service d'hématologie de l'établissement hospitalier universitaire "1er Novembre" d'Oran a classé cette maladie au 5ème rang des cancers répandus en Algérie, et insisté pour que les médicaments soient disponibles en permanence pour assurer une thérapeutique efficiente. Il a déploré le fait que les facteurs de propagation de cette maladie ne soient pas encore découverts, mais souligné que ses symptômes se manifestent par le gonflement de la rate et des douleurs très fortes. Le directeur de Novartis Algérie, le Dr Yazid Hadjadj, a souligné pour sa part qu'un partenariat a été conclu entre ces laboratoires et le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans le but d'introduire de nouvelles techniques thérapeutiques pour la prise en charge de la leucémie myéloïde chronique dans les grands hôpitaux d'Algérie. L'hôpital "Hassani Isaad" de Béni-Messous d'Alger a été le premier établissement à adopter cette technique appelée "Tasmax". Elle consiste à recourir à la biologie moléculaire dans le diagnostic précoce et le suivi de la leucémie myéloïde chronique conformément aux critères internationaux. Elle permet également aux patients de bénéficier de consultations avancées de nature à leur épargner les complications de la maladie, 90% des cas commençaient le traitement après avoir atteint un stade avancé de la maladie. Près de 200 spécialistes algériens et étrangers ont participé à cette rencontre scientifique. Deux cents (200) à 300 nouveaux cas de leucémie myéloïde chronique sont enregistrés chaque année en Algérie, a indiqué samedi à Alger le Pr Bekadja Mohamed Amine président de la Société algérienne d'hématologie et de transfusion sanguine. A l'occasion d'un colloque national sur : "Leucémie Miéloïde Chronique, diagnostic et les perspectives", le Pr Bekadja a souligné que la prise en charge et le diagnostic de cette maladie "était très difficile par le passé et que les patients atteints de cette maladie se rendaient dans un pays voisin pour se soigner". "Grâce aux efforts déployés par les pouvoirs publics ces dernières années, il est devenu possible de soigner à 100% cette maladie complexe" dans les grands hôpitaux universitaires, a ajouté le Pr Bekadja, précisant que la prévalence de cette maladie est estimée à 0,44 cas pour mille habitants, selon les registres du cancer, et touche principalement les personnes d'une moyenne d'âge de 44 ans. Le Pr Bekadja qui dirige le service d'hématologie de l'établissement hospitalier universitaire "1er Novembre" d'Oran a classé cette maladie au 5ème rang des cancers répandus en Algérie, et insisté pour que les médicaments soient disponibles en permanence pour assurer une thérapeutique efficiente. Il a déploré le fait que les facteurs de propagation de cette maladie ne soient pas encore découverts, mais souligné que ses symptômes se manifestent par le gonflement de la rate et des douleurs très fortes. Le directeur de Novartis Algérie, le Dr Yazid Hadjadj, a souligné pour sa part qu'un partenariat a été conclu entre ces laboratoires et le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière dans le but d'introduire de nouvelles techniques thérapeutiques pour la prise en charge de la leucémie myéloïde chronique dans les grands hôpitaux d'Algérie. L'hôpital "Hassani Isaad" de Béni-Messous d'Alger a été le premier établissement à adopter cette technique appelée "Tasmax". Elle consiste à recourir à la biologie moléculaire dans le diagnostic précoce et le suivi de la leucémie myéloïde chronique conformément aux critères internationaux. Elle permet également aux patients de bénéficier de consultations avancées de nature à leur épargner les complications de la maladie, 90% des cas commençaient le traitement après avoir atteint un stade avancé de la maladie. Près de 200 spécialistes algériens et étrangers ont participé à cette rencontre scientifique.