Les paires algériennes Islam Laid-Lagsir Sannah et Katia Kessaci-Naseri Yasmine se sont contentées de deux médailles de bronze dans l'épreuve du doublette juniors du 6e circuit international (jeunes), comptant pour la troisième journée disputée samedi soir à la salle Hammamet (Tunisie). La première doublette (Islam-Lagsir) s'est inclinée en demi-finale face à son homologue française Pfefer Laura-Chomis Marion 3-0, alors que Kessaci-Naseri n'ont pas pu faire mieux devant la paire espagnole composée de Escartin Nota et Zhang Xuan 3-0. Dans la matinée, Islam Laid a été éliminé en quart de finale du simple junior, en perdant face à l'Espagnole Escartin Nora (3-0). Islam avait auparavant battu aux 8ès de finale sa compatriote Nasri Yasmine (4-0). Dans la même épreuve, le chemin de Katia Kessaci s'est arrêté au premier tour face à l'Egyptienne Khaled Selma (4-1). Pour les jeunes mini-cadets (garçons et filles), la compétition était quelques peu difficile et leur parcours n'a pas dépassé les premiers tours. « Le plus important pour ces jeunes c'est de leur procurer un environnement compétitif adéquat pour pouvoir les juger et retirer des enseignements qui nous sont très utiles pour l'avenir », a déclaré l'entraîneur national, Salim Hamani. Les résultats obtenus lors de cette 6e édition du circuit international de Hammamet de tennis de table des jeunes (médaille d'or et deux bronze), sont estimés « largement positifs », selon le staff technique national. « Nos jeunes ne peuvent aller aussi loin avec le rythme de travail effectué actuellement dans leurs clubs. Je crois qu'un minimum de sérieux est exigé dès maintenant si on veut élever le niveau technique et physique de cette relève du tennis de table algérien, surtout qu'elle possède des potentialités indéniables et dont l'avenir peut s'avérer radieux pour eux et cette discipline en Algérie », a expliqué l'entraîneur des juniors, Mustapha Bellahsene. Il s'est dit très satisfait du rendement de ses pongistes qui, pourtant, n'ont pas atteint le rythme de compétition voulu. De l'avis des coachs algériens ressort, surtout l'absence d'un volume de travail et d'entraînement qui est « dérisoire et loin de la réalité du terrain », ont-ils soulevé. Cette situation concerne toutes les catégories des jeunes qui, depuis le mois d'avril dernier (après le circuit mondial et le championnat d'Afrique d'Alger), n'ont pris part à aucun open ou toutes autres tournois. S'ajoute à cela, le fait qu'ils viennent juste de reprendre les entraînements dans leurs clubs respectifs. « Le travail dans nos clubs est très insuffisant. Il faudrait donner une moyenne de 10 heures/Jour de travail pour nos pongistes pour leur permettre de résister déjà dans un match. Ailleurs, c'est nettement plus que ça, et les fruits et résultats viendront par la suite », a souligné Salim Hamani, qui souhaite également que les pongistes algériens soient inscrits dans des Opens, non coûteux dans des pays limitrophes (Italie, Egypte, Tunisie, Maroc, France). Les paires algériennes Islam Laid-Lagsir Sannah et Katia Kessaci-Naseri Yasmine se sont contentées de deux médailles de bronze dans l'épreuve du doublette juniors du 6e circuit international (jeunes), comptant pour la troisième journée disputée samedi soir à la salle Hammamet (Tunisie). La première doublette (Islam-Lagsir) s'est inclinée en demi-finale face à son homologue française Pfefer Laura-Chomis Marion 3-0, alors que Kessaci-Naseri n'ont pas pu faire mieux devant la paire espagnole composée de Escartin Nota et Zhang Xuan 3-0. Dans la matinée, Islam Laid a été éliminé en quart de finale du simple junior, en perdant face à l'Espagnole Escartin Nora (3-0). Islam avait auparavant battu aux 8ès de finale sa compatriote Nasri Yasmine (4-0). Dans la même épreuve, le chemin de Katia Kessaci s'est arrêté au premier tour face à l'Egyptienne Khaled Selma (4-1). Pour les jeunes mini-cadets (garçons et filles), la compétition était quelques peu difficile et leur parcours n'a pas dépassé les premiers tours. « Le plus important pour ces jeunes c'est de leur procurer un environnement compétitif adéquat pour pouvoir les juger et retirer des enseignements qui nous sont très utiles pour l'avenir », a déclaré l'entraîneur national, Salim Hamani. Les résultats obtenus lors de cette 6e édition du circuit international de Hammamet de tennis de table des jeunes (médaille d'or et deux bronze), sont estimés « largement positifs », selon le staff technique national. « Nos jeunes ne peuvent aller aussi loin avec le rythme de travail effectué actuellement dans leurs clubs. Je crois qu'un minimum de sérieux est exigé dès maintenant si on veut élever le niveau technique et physique de cette relève du tennis de table algérien, surtout qu'elle possède des potentialités indéniables et dont l'avenir peut s'avérer radieux pour eux et cette discipline en Algérie », a expliqué l'entraîneur des juniors, Mustapha Bellahsene. Il s'est dit très satisfait du rendement de ses pongistes qui, pourtant, n'ont pas atteint le rythme de compétition voulu. De l'avis des coachs algériens ressort, surtout l'absence d'un volume de travail et d'entraînement qui est « dérisoire et loin de la réalité du terrain », ont-ils soulevé. Cette situation concerne toutes les catégories des jeunes qui, depuis le mois d'avril dernier (après le circuit mondial et le championnat d'Afrique d'Alger), n'ont pris part à aucun open ou toutes autres tournois. S'ajoute à cela, le fait qu'ils viennent juste de reprendre les entraînements dans leurs clubs respectifs. « Le travail dans nos clubs est très insuffisant. Il faudrait donner une moyenne de 10 heures/Jour de travail pour nos pongistes pour leur permettre de résister déjà dans un match. Ailleurs, c'est nettement plus que ça, et les fruits et résultats viendront par la suite », a souligné Salim Hamani, qui souhaite également que les pongistes algériens soient inscrits dans des Opens, non coûteux dans des pays limitrophes (Italie, Egypte, Tunisie, Maroc, France).