la commission économique de l'APN, chambre basse du Parlement, a auditionné le plus fortuné des ministères, celui de l'énergie et des Mines. Lundi,Youcef Yousfi est revenu sur les potentialités minières nationales lors de la présentation du projet de loi sur les hydrocarbures. Il n'est pas passé par quatre chemins pour plaider le retour des « gueules noires». En bref Youcef Yousfi propose l'utilisation du charbon comme source génératrice d'électricité. Et pour cause, son département aurait établi un audit sur les réserves de charbon de Kenadssa (Béchar). Elle seraient toujours, selon la même source, appréciables. Pour les exploiter et, sans toutefois trancher définitivement sur le modus opérandi, le ministre a évoqué le plus récent « Il existe deux méthodes pour l'exploiter dans la production d'électricité, dont la plus récente est la gazéification du charbon» dixit Youcef Yousfi. Il a ajouté que pour y arriver des centrales à charbon pourraient être lancées dans les dix prochaines années. Face à la demande nationale croissante en électricité, en augmentation annuelle de 16 à 18%, le département Yousfi table sur un doublement de la croissance en jus tous les cinq ans. Pour information la production actuelle d'électricité nationale tourne autour de 12.000 MW. L'urgence, selon le ministre de l'énergie et des Mines est de devoir « d'ici à 2020 développer de nouvelles sources d'énergie» Pour y répondre le département de Yousfi réfléchit à une diversification de ses sources d'énergie. L'idée étant des plus rationnelles dans le sens où elle est d'ordre sécuritaire et retire des vieux tiroirs la question de l'impact des énergies fossiles sur l'environnement. En l'occurrence, l'émission des gaz à effet de serre qui sont incriminés dans le réchauffement climatique contre lequel l'Algérie est partie prenante dans le protocole de Kyoto. Toujours sur la lancée, Yousfi rassure. Il existerait de nouvelles centrales électriques au charbon dites de génération verte dont la production en gaz à effet de serre est réduite presque à zéro. Ce qui pourrait donner à long terme de la valeur au charbon. Pour information le charbon est l'une des réserves énergétiques mondiales les plus abondantes. Il est tombé en désuétude le siècle dernier pour des raisons de pollution. Pourtant sa consommation n'a jamais cessé notamment dans les pays émergents comme la Chine dont la production en électricité repose sur 80% de l'exploitation du charbon. la commission économique de l'APN, chambre basse du Parlement, a auditionné le plus fortuné des ministères, celui de l'énergie et des Mines. Lundi,Youcef Yousfi est revenu sur les potentialités minières nationales lors de la présentation du projet de loi sur les hydrocarbures. Il n'est pas passé par quatre chemins pour plaider le retour des « gueules noires». En bref Youcef Yousfi propose l'utilisation du charbon comme source génératrice d'électricité. Et pour cause, son département aurait établi un audit sur les réserves de charbon de Kenadssa (Béchar). Elle seraient toujours, selon la même source, appréciables. Pour les exploiter et, sans toutefois trancher définitivement sur le modus opérandi, le ministre a évoqué le plus récent « Il existe deux méthodes pour l'exploiter dans la production d'électricité, dont la plus récente est la gazéification du charbon» dixit Youcef Yousfi. Il a ajouté que pour y arriver des centrales à charbon pourraient être lancées dans les dix prochaines années. Face à la demande nationale croissante en électricité, en augmentation annuelle de 16 à 18%, le département Yousfi table sur un doublement de la croissance en jus tous les cinq ans. Pour information la production actuelle d'électricité nationale tourne autour de 12.000 MW. L'urgence, selon le ministre de l'énergie et des Mines est de devoir « d'ici à 2020 développer de nouvelles sources d'énergie» Pour y répondre le département de Yousfi réfléchit à une diversification de ses sources d'énergie. L'idée étant des plus rationnelles dans le sens où elle est d'ordre sécuritaire et retire des vieux tiroirs la question de l'impact des énergies fossiles sur l'environnement. En l'occurrence, l'émission des gaz à effet de serre qui sont incriminés dans le réchauffement climatique contre lequel l'Algérie est partie prenante dans le protocole de Kyoto. Toujours sur la lancée, Yousfi rassure. Il existerait de nouvelles centrales électriques au charbon dites de génération verte dont la production en gaz à effet de serre est réduite presque à zéro. Ce qui pourrait donner à long terme de la valeur au charbon. Pour information le charbon est l'une des réserves énergétiques mondiales les plus abondantes. Il est tombé en désuétude le siècle dernier pour des raisons de pollution. Pourtant sa consommation n'a jamais cessé notamment dans les pays émergents comme la Chine dont la production en électricité repose sur 80% de l'exploitation du charbon.