Akrour Mohand Sadek, candidat sur la liste du Parti socialiste des travailleurs (PST) aux élections locales s'est vu rejeter son dossier de candidature pour l'APC de Berbacha dans la wilaya de Bejaia à en croire un communiqué du PST parvenu à notre rédaction. «Alors que le PST avait déposé les listes de ses candidats dans la wilaya de Béjaïa, dans les délais fixés par la loi et sans la moindre réserve comme l'atteste le récépissé de dépôt, voilà que le wali de Béjaïa use de sa fonction, pour s'ériger en censeur politique, et décide le rejet de la liste de nos camarades candidats pour l'APC de Barbacha», s'insurge le parti de Mahmoud Rechidi. Selon le PST, la cause du rejet officiel se trouve dans le non dépôt par une des candidates du parti de «son attestation d'inscription sur le fichier électoral de la circonscription concernée». Chose que réfute le communiqué. «Preuve à l'appui, notre candidate a déposé un dossier complet, aucune réserve n'a été signalée à ce sujet par les services concernés par le dépôt des dossiers. Mieux, l'original de son attestation est joint à la requête du recours judiciaire que nous avons déposée aujourd'hui même», poursuit le communiqué. Le PST croit savoir que la motivation réelle de ce rejet qui cible l'une de ses candidates, tient à la volonté «d'empêcher le PST et barrer la route à son candidat Akrour Mohand Sadek, de continuer son combat politique et son engagement auprès de la population de Barbacha, qui l'a élu Président de l'APC en 2007 et lui a renouvelé sa confiance lors des législatives de Mai 2012 où le PST s'est révélé encore une fois la première force politique de cette commune». Et le PST de poursuivre : «Le wali écrit noir sur blanc, à notre surprise et notre étonnement, que les activités politiques de notre camarade et tête de liste Akrour Mohand Sadek, notamment sa participation et sa solidarité active avec les mobilisations sociales de la population de Barbacha qui l'a élue, constituent un motif de rejet». Conformément à l'article 77 de la loi organique relative au régime électoral, le PST pourrait introduire un recours devant le tribunal administratif territorialement compétent dans un délai de trois (3) jours francs à compter de la date de notification de la décision. Le tribunal administratif territorialement compétent est tenu de statuer dans un délai de cinq (5) jours francs, à compter de la date d'introduction du recours, mais le jugement qu'il est appelé à rendre n'est susceptible d'aucune voie de recours. A notre connaissance, le cas Akrour est pour l'instant le seul rejet précis affectant une personnalité connue qui ait été signalée pour les prochaines locales. Des cas de rejet de candidatures de sénateurs ont été également signalés mais ces rejets ont été appuyés par le ministère de l'Intérieur qui avait enjoint par instruction les walis à ne pas prendre en considération les candidatures de personnalités siégeant au Conseil de la nation conformément à la loi. D'autres partis, à l'image des formations islamistes de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) avaient déploré également le rejet de leur dossiers de candidature dans certaines wilayas. En tous état de cause "on ne peut parler maintenant de listes acceptées ou refusées tant que l'examen des recours n'est pas achevé», avait noté il y a quelque jours Ould Kablia. Notons que 8 560 listes pour les Assemblées populaires communales (APC) et près de 600 pour les Assemblées populaires de wilaya (APW) ont été déposées par 52 partis en lice. Akrour Mohand Sadek, candidat sur la liste du Parti socialiste des travailleurs (PST) aux élections locales s'est vu rejeter son dossier de candidature pour l'APC de Berbacha dans la wilaya de Bejaia à en croire un communiqué du PST parvenu à notre rédaction. «Alors que le PST avait déposé les listes de ses candidats dans la wilaya de Béjaïa, dans les délais fixés par la loi et sans la moindre réserve comme l'atteste le récépissé de dépôt, voilà que le wali de Béjaïa use de sa fonction, pour s'ériger en censeur politique, et décide le rejet de la liste de nos camarades candidats pour l'APC de Barbacha», s'insurge le parti de Mahmoud Rechidi. Selon le PST, la cause du rejet officiel se trouve dans le non dépôt par une des candidates du parti de «son attestation d'inscription sur le fichier électoral de la circonscription concernée». Chose que réfute le communiqué. «Preuve à l'appui, notre candidate a déposé un dossier complet, aucune réserve n'a été signalée à ce sujet par les services concernés par le dépôt des dossiers. Mieux, l'original de son attestation est joint à la requête du recours judiciaire que nous avons déposée aujourd'hui même», poursuit le communiqué. Le PST croit savoir que la motivation réelle de ce rejet qui cible l'une de ses candidates, tient à la volonté «d'empêcher le PST et barrer la route à son candidat Akrour Mohand Sadek, de continuer son combat politique et son engagement auprès de la population de Barbacha, qui l'a élu Président de l'APC en 2007 et lui a renouvelé sa confiance lors des législatives de Mai 2012 où le PST s'est révélé encore une fois la première force politique de cette commune». Et le PST de poursuivre : «Le wali écrit noir sur blanc, à notre surprise et notre étonnement, que les activités politiques de notre camarade et tête de liste Akrour Mohand Sadek, notamment sa participation et sa solidarité active avec les mobilisations sociales de la population de Barbacha qui l'a élue, constituent un motif de rejet». Conformément à l'article 77 de la loi organique relative au régime électoral, le PST pourrait introduire un recours devant le tribunal administratif territorialement compétent dans un délai de trois (3) jours francs à compter de la date de notification de la décision. Le tribunal administratif territorialement compétent est tenu de statuer dans un délai de cinq (5) jours francs, à compter de la date d'introduction du recours, mais le jugement qu'il est appelé à rendre n'est susceptible d'aucune voie de recours. A notre connaissance, le cas Akrour est pour l'instant le seul rejet précis affectant une personnalité connue qui ait été signalée pour les prochaines locales. Des cas de rejet de candidatures de sénateurs ont été également signalés mais ces rejets ont été appuyés par le ministère de l'Intérieur qui avait enjoint par instruction les walis à ne pas prendre en considération les candidatures de personnalités siégeant au Conseil de la nation conformément à la loi. D'autres partis, à l'image des formations islamistes de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) avaient déploré également le rejet de leur dossiers de candidature dans certaines wilayas. En tous état de cause "on ne peut parler maintenant de listes acceptées ou refusées tant que l'examen des recours n'est pas achevé», avait noté il y a quelque jours Ould Kablia. Notons que 8 560 listes pour les Assemblées populaires communales (APC) et près de 600 pour les Assemblées populaires de wilaya (APW) ont été déposées par 52 partis en lice.