La nouvelle station de transport des voyageurs de Chlef mise en exploitation lundi a été désertée mardi par les transporteurs, obligeant indirectement les usagers à réagir en formant des attroupements sur plusieurs axes de la RN 19 reliant Chlef à Ténès. Dès 09 heures, aucun bus à destination des localités du nord de la wilaya, telles que Ténès, Bouzaghaïa, Chettia, Ouled Farès ne se trouvait au niveau de la station en question. Des voyageurs rencontrés sur place affirment avoir été "trahis" par les transporteurs qui "auraient dû nous prévenir qu'ils n'assuraient pas le retour et, dans ce cas, nous aurions pris nos précautions'', déplorent-ils. A Haï el-houria, non loin de la station, des dizaines de voyageurs se sont regroupés pour tenter de barrer la route aux usagers de la RN19 dans l'espoir d'attirer l'attention des responsables locaux sur une telle situation. De même qu'à Chettia, la plus grande agglomération de la wilaya, où plusieurs dizaines de citoyens ont manifesté leur mécontentement. Devant cette situation, les usagers de la RN19 se sont vus contraints de contourner la localité de Chettia où des actes de violence ont été signalés, assurent des citoyens. La mise en exploitation de la nouvelle station de transport a été contestée par les transporteurs et les voyageurs qui estiment que cette structure est située loin du centre de la ville de Chlef (près d'un kilomètre), en plus du fait que le voyageur est contraint de prendre un autre bus pour se rendre au centre-ville. L'Entreprise des transports urbains de Chlef (ETUC) avait depuis lundi affecté des bus pour assurer des navettes entre le centre-ville de Chlef et la nouvelle station. Des jeunes affirment qu'ils déboursaient auparavant "15 dinars" pour se rendre de Chettia à Chlef, et qu'ils paient aujourd'hui le double, soit 30 dinars, pour le même itinéraire, sachant qu'ils doivent changer de bus pour atteindre le centre-ville. La nouvelle station, conçue pour alléger la pression sur le centre-ville, concerne, signale-t-on, les transports en provenance et à destination des communes du nord et nord-ouest de la wilaya, rappelle-t-on. La nouvelle station de transport des voyageurs de Chlef mise en exploitation lundi a été désertée mardi par les transporteurs, obligeant indirectement les usagers à réagir en formant des attroupements sur plusieurs axes de la RN 19 reliant Chlef à Ténès. Dès 09 heures, aucun bus à destination des localités du nord de la wilaya, telles que Ténès, Bouzaghaïa, Chettia, Ouled Farès ne se trouvait au niveau de la station en question. Des voyageurs rencontrés sur place affirment avoir été "trahis" par les transporteurs qui "auraient dû nous prévenir qu'ils n'assuraient pas le retour et, dans ce cas, nous aurions pris nos précautions'', déplorent-ils. A Haï el-houria, non loin de la station, des dizaines de voyageurs se sont regroupés pour tenter de barrer la route aux usagers de la RN19 dans l'espoir d'attirer l'attention des responsables locaux sur une telle situation. De même qu'à Chettia, la plus grande agglomération de la wilaya, où plusieurs dizaines de citoyens ont manifesté leur mécontentement. Devant cette situation, les usagers de la RN19 se sont vus contraints de contourner la localité de Chettia où des actes de violence ont été signalés, assurent des citoyens. La mise en exploitation de la nouvelle station de transport a été contestée par les transporteurs et les voyageurs qui estiment que cette structure est située loin du centre de la ville de Chlef (près d'un kilomètre), en plus du fait que le voyageur est contraint de prendre un autre bus pour se rendre au centre-ville. L'Entreprise des transports urbains de Chlef (ETUC) avait depuis lundi affecté des bus pour assurer des navettes entre le centre-ville de Chlef et la nouvelle station. Des jeunes affirment qu'ils déboursaient auparavant "15 dinars" pour se rendre de Chettia à Chlef, et qu'ils paient aujourd'hui le double, soit 30 dinars, pour le même itinéraire, sachant qu'ils doivent changer de bus pour atteindre le centre-ville. La nouvelle station, conçue pour alléger la pression sur le centre-ville, concerne, signale-t-on, les transports en provenance et à destination des communes du nord et nord-ouest de la wilaya, rappelle-t-on.