Le ministre des moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas, a affirmé mardi à Alger que les Algériens voulaient "une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre par le colonialisme français". Dans un entretien à l'APS, la veille de la célébration du 58e anniversaire du déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954, le ministre a indiqué qu'au "regard des crimes perpétrés par ce colonisateur contre un peuple sans défense et compte tenu de leur impact dans l'esprit même des générations qui n'ont pas vécu cette période, sachant que tout un chacun connait les affres subies par notre peuple du fait de la torture, des mutilations et de la destruction, les Algériens veulent une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre". Le ministre a estimé que la "reconnaissance des massacres du 17 octobre 1961 est d'abord politique vue la manière dont elle été conçue" considérant à cet égard que le message du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à son homologue français à l'occasion de la fête nationale de son pays était "noble dans son contenu, explicite et profond dans son approche", soulignant la nécessité de rester dans les termes de ce message qui laisse entendre en substance que "chaque partie a conscience de ce qu'elle attend de l'autre et de ce que l'autre attend d'elle" . Le ministre des moudjahidine, Mohamed Cherif Abbas, a affirmé mardi à Alger que les Algériens voulaient "une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre par le colonialisme français". Dans un entretien à l'APS, la veille de la célébration du 58e anniversaire du déclenchement de la révolution du 1er novembre 1954, le ministre a indiqué qu'au "regard des crimes perpétrés par ce colonisateur contre un peuple sans défense et compte tenu de leur impact dans l'esprit même des générations qui n'ont pas vécu cette période, sachant que tout un chacun connait les affres subies par notre peuple du fait de la torture, des mutilations et de la destruction, les Algériens veulent une reconnaissance franche des crimes perpétrés à leur encontre". Le ministre a estimé que la "reconnaissance des massacres du 17 octobre 1961 est d'abord politique vue la manière dont elle été conçue" considérant à cet égard que le message du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à son homologue français à l'occasion de la fête nationale de son pays était "noble dans son contenu, explicite et profond dans son approche", soulignant la nécessité de rester dans les termes de ce message qui laisse entendre en substance que "chaque partie a conscience de ce qu'elle attend de l'autre et de ce que l'autre attend d'elle" .