Après la chef de la diplomatie américaine, Hilary Clinton, c'est au tour de la haute représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, Catherine Ashton, de saluer les réformes engagées en l'Algérie par le président Bouteflika. Après la chef de la diplomatie américaine, Hilary Clinton, c'est au tour de la haute représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, Catherine Ashton, de saluer les réformes engagées en l'Algérie par le président Bouteflika. Au sortir de l'audience accordée ce mardi par le président Bouteflika, Catherine Ashton, haute représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, s'est dite «honorée» d'être en Algérie en dépit de son court passage. Pour la diplomate européenne, en effet, cette visite «a été très importante et très intéressante. C'était l'occasion de féliciter l'Algérie à la suite des réformes engagées pour aller de l'avant ». Une pareille annonce est d'autant plus importante, sur les plans politique et géostratégique, que L'UE (Union européenne), avait précisé dans un communiqué annonçant cette visite que «de par son importante position régionale et les liens étroits qu'elle entretient avec l'UE, l'Algérie est un partenaire d'importance stratégique et un interlocuteur incontournable dans la région méditerranéenne et en Afrique». Quelques «couacs» restent quand même à signaler sur le plan économique, au regard de la crise de l'euro que traverse présentement le Vieux continent. Catherine Ashton a également évoqué des relations économiques entre l'Algérie et l'Union européenne, mettant en exergue la possibilité de les renforcer, signalant au passage le souhait de l'Algérie d'intégrer l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Mme Ashton a indiqué, par ailleurs, le renforcement des relations entre l'UE et les pays du Maghreb, ajoutant que cette question «est en train d'être examinée à fond au niveau de l'UE». La haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité a également souligné que sa visite était une occasion pour discuter avec les responsables algériens des défis économiques et de l'importance d'apporter de l'appui aux petites et moyennes entreprises, tout en précisant que les PME étaient la «véritable» colonne vertébrale sur laquelle s'appuie une économie forte. Et en ce qui concerne les questions politiques, Catherine Ashton a indiqué avoir constaté avec plaisir que 17 sur les 38 recommandations contenues dans le rapport de la mission des observateurs de l'UE à l'occasion des élections législatives du 10 mai dernier ont été «déjà mises en œuvre». «Nous avons également abordé la question des droits de l'homme et de la nécessité de développer encore plus les institutions politiques du pays», a-t-elle ajouté. Mme Ashton a également procédé à la signature de trois conventions de financement de programmes de partenariat et de coopération réalisées avec le soutien financier de l'UE. Le premier programme, d'un montant de 23,5 millions d'euros, est en faveur de la jeunesse et de la lutte contre le chômage. Il était aussi question de culture par le biais d'un programme pour la protection et la valorisation du patrimoine culturel en Algérie. Avec une enveloppe de 21,5 millions d'euros, ce partenariat, vise le soutien aux «actions prioritaires» d'identification et d'inventaire de ce patrimoine, sa protection et sa mise en valeur. Ainsi qu'une convention pour l'appui au secteur des transports pour un montant de 13 millions. Selon le communiqué, ce programme contribuera à la mise en œuvre de la nouvelle stratégie des transports en Algérie, incluant un appui à la mise à jour législative et réglementaire dans le secteur, un soutien aux institutions en charge de la sécurité des transports, ainsi qu'à la professionnalisation des métiers du transport. Rappelons, par ailleurs, que l'Algérie avait signé à ses dépens un accord d'association avec l'UE, puisque l'abaissement des barrières tarifaires et douanières lui occasionne un manque à gagner annuel de l'ordre de deux milliards d'euros. Mais le sujet phare reste, comme de juste, la crise malienne, au moment où l'Algérie a remporté une grande victoire diplomatique en réussissant à ramener Ançar Eddine vers la table des négociations, le poussant jusqu'à se démarquer des terroristes d'AQMI (Al-Qaïda au Maghreb islamique) ainsi que le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest). A ce propos, donc, et comme l'avait également fait la secrétaire d'Etat US Hillary Clinton, Mme Ashton a indiqué avoir abordé, sur le plan international avec le président Bouteflika «les défis et problèmes» qui se posent au Mali et à la région du Sahel tout en affirmant qu'elle avait «beaucoup apprécié et bénéficié de la vision et du savoir du président Bouteflika en ce qui concerne la question malienne». Au sortir de l'audience accordée ce mardi par le président Bouteflika, Catherine Ashton, haute représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, s'est dite «honorée» d'être en Algérie en dépit de son court passage. Pour la diplomate européenne, en effet, cette visite «a été très importante et très intéressante. C'était l'occasion de féliciter l'Algérie à la suite des réformes engagées pour aller de l'avant ». Une pareille annonce est d'autant plus importante, sur les plans politique et géostratégique, que L'UE (Union européenne), avait précisé dans un communiqué annonçant cette visite que «de par son importante position régionale et les liens étroits qu'elle entretient avec l'UE, l'Algérie est un partenaire d'importance stratégique et un interlocuteur incontournable dans la région méditerranéenne et en Afrique». Quelques «couacs» restent quand même à signaler sur le plan économique, au regard de la crise de l'euro que traverse présentement le Vieux continent. Catherine Ashton a également évoqué des relations économiques entre l'Algérie et l'Union européenne, mettant en exergue la possibilité de les renforcer, signalant au passage le souhait de l'Algérie d'intégrer l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Mme Ashton a indiqué, par ailleurs, le renforcement des relations entre l'UE et les pays du Maghreb, ajoutant que cette question «est en train d'être examinée à fond au niveau de l'UE». La haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité a également souligné que sa visite était une occasion pour discuter avec les responsables algériens des défis économiques et de l'importance d'apporter de l'appui aux petites et moyennes entreprises, tout en précisant que les PME étaient la «véritable» colonne vertébrale sur laquelle s'appuie une économie forte. Et en ce qui concerne les questions politiques, Catherine Ashton a indiqué avoir constaté avec plaisir que 17 sur les 38 recommandations contenues dans le rapport de la mission des observateurs de l'UE à l'occasion des élections législatives du 10 mai dernier ont été «déjà mises en œuvre». «Nous avons également abordé la question des droits de l'homme et de la nécessité de développer encore plus les institutions politiques du pays», a-t-elle ajouté. Mme Ashton a également procédé à la signature de trois conventions de financement de programmes de partenariat et de coopération réalisées avec le soutien financier de l'UE. Le premier programme, d'un montant de 23,5 millions d'euros, est en faveur de la jeunesse et de la lutte contre le chômage. Il était aussi question de culture par le biais d'un programme pour la protection et la valorisation du patrimoine culturel en Algérie. Avec une enveloppe de 21,5 millions d'euros, ce partenariat, vise le soutien aux «actions prioritaires» d'identification et d'inventaire de ce patrimoine, sa protection et sa mise en valeur. Ainsi qu'une convention pour l'appui au secteur des transports pour un montant de 13 millions. Selon le communiqué, ce programme contribuera à la mise en œuvre de la nouvelle stratégie des transports en Algérie, incluant un appui à la mise à jour législative et réglementaire dans le secteur, un soutien aux institutions en charge de la sécurité des transports, ainsi qu'à la professionnalisation des métiers du transport. Rappelons, par ailleurs, que l'Algérie avait signé à ses dépens un accord d'association avec l'UE, puisque l'abaissement des barrières tarifaires et douanières lui occasionne un manque à gagner annuel de l'ordre de deux milliards d'euros. Mais le sujet phare reste, comme de juste, la crise malienne, au moment où l'Algérie a remporté une grande victoire diplomatique en réussissant à ramener Ançar Eddine vers la table des négociations, le poussant jusqu'à se démarquer des terroristes d'AQMI (Al-Qaïda au Maghreb islamique) ainsi que le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest). A ce propos, donc, et comme l'avait également fait la secrétaire d'Etat US Hillary Clinton, Mme Ashton a indiqué avoir abordé, sur le plan international avec le président Bouteflika «les défis et problèmes» qui se posent au Mali et à la région du Sahel tout en affirmant qu'elle avait «beaucoup apprécié et bénéficié de la vision et du savoir du président Bouteflika en ce qui concerne la question malienne».