Un nouveau médicament antidiabétique avec moins d'effets secondaires que les hypoglycémiants actuels, sera commercialisé au début de l'année prochaine, ont annoncé samedi à Alger des diabétologues et des représentants des laboratoires qui le commercialise. Les laboratoires Novartis Algérie attendent l'autorisation du ministère de la Santé où il a déjà déposé le dossier pour pouvoir introduire le médicament sur le marché algérien. "Cet hypoglycémiant est plus avantageux que les précédents car il a moins de contraintes pour le patient, agit plus vite et est administré oralement, contrairement à l'insuline qui est administrée par injection", a expliqué le Pr Slimane Khalfa, diabétologue et président de l'association algérienne de diabétologie, lors d'un workshop sur le diabète. Les contradictions relatives aux prises de poids, nausées, vomissements, hypoglycémies récurrentes et troubles digestifs, sont atténuées avec cette nouvelle molécule, assure-t-on. "Cet antidiabétique est commercialisé depuis 7 ans en Europe et a donné de bons résultats en monothérapie comme en bithérapie", a affirmé de son côté le Pr Alfred Penfornis, diabétologue au CHU de Besançon (France). Ce médicament "améliore fortement" la sécrétion d'insuline chez les malades souffrant de diabète de type 2 et peut être administré à tous les stades de la maladie, affirme-t-il encore. Les spécialistes par ailleurs avertissent qu'il appartient évidement aux médecins de prescrire tel ou tel hypoglycémiant selon le degré du diabète et les symptômes que présente chaque patient. Toutefois, assurent-ils encore, la nouvelle molécule (Vildagliptine) peut être associée à d'autres antidiabétiques pour un meilleur résultat thérapeutique. Un nouveau médicament antidiabétique avec moins d'effets secondaires que les hypoglycémiants actuels, sera commercialisé au début de l'année prochaine, ont annoncé samedi à Alger des diabétologues et des représentants des laboratoires qui le commercialise. Les laboratoires Novartis Algérie attendent l'autorisation du ministère de la Santé où il a déjà déposé le dossier pour pouvoir introduire le médicament sur le marché algérien. "Cet hypoglycémiant est plus avantageux que les précédents car il a moins de contraintes pour le patient, agit plus vite et est administré oralement, contrairement à l'insuline qui est administrée par injection", a expliqué le Pr Slimane Khalfa, diabétologue et président de l'association algérienne de diabétologie, lors d'un workshop sur le diabète. Les contradictions relatives aux prises de poids, nausées, vomissements, hypoglycémies récurrentes et troubles digestifs, sont atténuées avec cette nouvelle molécule, assure-t-on. "Cet antidiabétique est commercialisé depuis 7 ans en Europe et a donné de bons résultats en monothérapie comme en bithérapie", a affirmé de son côté le Pr Alfred Penfornis, diabétologue au CHU de Besançon (France). Ce médicament "améliore fortement" la sécrétion d'insuline chez les malades souffrant de diabète de type 2 et peut être administré à tous les stades de la maladie, affirme-t-il encore. Les spécialistes par ailleurs avertissent qu'il appartient évidement aux médecins de prescrire tel ou tel hypoglycémiant selon le degré du diabète et les symptômes que présente chaque patient. Toutefois, assurent-ils encore, la nouvelle molécule (Vildagliptine) peut être associée à d'autres antidiabétiques pour un meilleur résultat thérapeutique.