Le receveur du bureau de poste de la localité de Chebli et son épouse viennent d'être interpellés par les gendarmes de la section de recherche de Blida, dans le cadre du vol de 1,6 milliard de centimes qui s'est produit le 17 novembre passé, rapporte un communiqué de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale. Tout a commencé donc le 17 novembre passé, le jour où la somme de 1, 6 milliard de centimes se trouvant dans un coffre-fort a été dérobée de la poste de Chebli. Le receveur de ladite poste, répondant aux initiales C. M., âgé de 44 ans, a été entendu par les gendarmes, dans le cadre de l'enquête menée par la section de recherches de Blida, lequel avait déclaré que deux hommes armés, portant des cagoules, ont menacé de le tuer, à l'aide d'armes blanches, s'il ne remettait pas la totalité de la somme dans des sacs. Il avait même affirmé, lors de son interrogatoire, que l'un des deux braqueurs avait utilisé son couteau en le portant sur son cou s'il ne coopérait pas avec eux. Alors, selon toujours le receveur de la poste de Chebli, il a été contraint de leur livrer la somme de 1,6 milliard de centimes, et ce, avant qu'ils ne prennent la fuite, ajoute le receveur. Partant de ses déclarations, les gendarmes ont poursuivi leur enquête. Ils se sont déplacés vers la poste de Chebli au cœur de la scène du crime. Après avoir passé au crible le lieu où s'était produit le vol, les enquêteurs de la section de recherches sont arrivés à déterminer que le vol a été commis par un réseau criminel bien structuré. Les gendarmes ont pu récolter plusieurs indices et preuves qui mènaient tout droit à l'auteur qui n'est autre que le receveur. D'ailleurs, les empreintes digitales de ce dernier se trouvaient toujours sur la scène du crime et c'est ce qui a confirmé sa culpabilité. Ce dernier a été réentendu par les enquêteurs et il a fini par craquer. Le receveur a reconnu avoir orchestré le «hold-up» avec l'aide de sa femme qui, elle, a planifié le plan du vol des 1,6 milliards de centimes. Mieux, l'enquête menée par la section de recherches a pu dévoiler d'autres secrets. En fait, le receveur avait à maintes reprises retiré des sommes d'argent considérables du coffre-fort de la poste de Chebli avant de les livrer à un certain M. A., commerçant à Alger, âgé de 35 ans. Ce dernier a utilisé ces sommes d'argent dans le cadre de son activité commerciale avant de les rembourser au receveur avec des intérêts allant de 40.000 à 60.000 DA pour chaque opération de remboursement. Le 17 novembre passé, le receveur avait livré la somme de 1,6 milliard de centimes au profit de son complice, le commerçant d'Alger, mais ce dernier n'a donné aucune signe de vie depuis. C'est la raison pour laquelle le receveur a été contraint de trouver une issue salutaire pour pouvoir justifier la disparition de ladite somme. Il a fini par trouver celle du «hold-up» avec la complicité de sa femme qui lui a soufflé cette idée. Ainsi, le receveur et sa femme ont été interpellés par les gendarmes alors que les recherches sont lancées en vue d'arrêter le commerçant, actuellement en fuite avec les 1, 6 milliard de centimes. Le receveur du bureau de poste de la localité de Chebli et son épouse viennent d'être interpellés par les gendarmes de la section de recherche de Blida, dans le cadre du vol de 1,6 milliard de centimes qui s'est produit le 17 novembre passé, rapporte un communiqué de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale. Tout a commencé donc le 17 novembre passé, le jour où la somme de 1, 6 milliard de centimes se trouvant dans un coffre-fort a été dérobée de la poste de Chebli. Le receveur de ladite poste, répondant aux initiales C. M., âgé de 44 ans, a été entendu par les gendarmes, dans le cadre de l'enquête menée par la section de recherches de Blida, lequel avait déclaré que deux hommes armés, portant des cagoules, ont menacé de le tuer, à l'aide d'armes blanches, s'il ne remettait pas la totalité de la somme dans des sacs. Il avait même affirmé, lors de son interrogatoire, que l'un des deux braqueurs avait utilisé son couteau en le portant sur son cou s'il ne coopérait pas avec eux. Alors, selon toujours le receveur de la poste de Chebli, il a été contraint de leur livrer la somme de 1,6 milliard de centimes, et ce, avant qu'ils ne prennent la fuite, ajoute le receveur. Partant de ses déclarations, les gendarmes ont poursuivi leur enquête. Ils se sont déplacés vers la poste de Chebli au cœur de la scène du crime. Après avoir passé au crible le lieu où s'était produit le vol, les enquêteurs de la section de recherches sont arrivés à déterminer que le vol a été commis par un réseau criminel bien structuré. Les gendarmes ont pu récolter plusieurs indices et preuves qui mènaient tout droit à l'auteur qui n'est autre que le receveur. D'ailleurs, les empreintes digitales de ce dernier se trouvaient toujours sur la scène du crime et c'est ce qui a confirmé sa culpabilité. Ce dernier a été réentendu par les enquêteurs et il a fini par craquer. Le receveur a reconnu avoir orchestré le «hold-up» avec l'aide de sa femme qui, elle, a planifié le plan du vol des 1,6 milliards de centimes. Mieux, l'enquête menée par la section de recherches a pu dévoiler d'autres secrets. En fait, le receveur avait à maintes reprises retiré des sommes d'argent considérables du coffre-fort de la poste de Chebli avant de les livrer à un certain M. A., commerçant à Alger, âgé de 35 ans. Ce dernier a utilisé ces sommes d'argent dans le cadre de son activité commerciale avant de les rembourser au receveur avec des intérêts allant de 40.000 à 60.000 DA pour chaque opération de remboursement. Le 17 novembre passé, le receveur avait livré la somme de 1,6 milliard de centimes au profit de son complice, le commerçant d'Alger, mais ce dernier n'a donné aucune signe de vie depuis. C'est la raison pour laquelle le receveur a été contraint de trouver une issue salutaire pour pouvoir justifier la disparition de ladite somme. Il a fini par trouver celle du «hold-up» avec la complicité de sa femme qui lui a soufflé cette idée. Ainsi, le receveur et sa femme ont été interpellés par les gendarmes alors que les recherches sont lancées en vue d'arrêter le commerçant, actuellement en fuite avec les 1, 6 milliard de centimes.