L'économie nationale est sous les feux de la rampe : Le premier ministre a décidé de fouetter le secteur en lui donnant plus d'épaisseur, pour in fine ,aller vers un contenu économique plus rentable renforcé et conforté par un contenant ad hoc. L'économie nationale est sous les feux de la rampe : Le premier ministre a décidé de fouetter le secteur en lui donnant plus d'épaisseur, pour in fine ,aller vers un contenu économique plus rentable renforcé et conforté par un contenant ad hoc. Explication .Sellal est déterminé a tarer les fondamentaux de tout les maillons de « La chaîne trophique » .Pour y arriver il compte lancer un pacte de croissance lequel repose « sur un climat de confiance entre ceux qui sont chargés de créer la croissance et ceux qui sont chargés de veiller à la gouvernance de ce pays ».Pour y arriver il a convoqué une rencontre entre gouvernement le patronat , le syndicat . Le but étant de sortir avec tous ses acteurs sur un même ordre d'idée ou mot d'ordre. Y ont été invités aussi à cette rencontre les patrons respectifs du FCE, de la CGOEA et de l'ABEF .Chacun son optique à savoir promouvoir le production nationale via Le développement du tissu industriel. Si l'idée est simple son application reste des plus ardues .Elle demande la conjugaison de plusieurs efforts. Pour le SG de l'UGTA, le la sera donné par une conférence nationale sur le développement de la production industrielle tous secteurs confondu .Elle aboutira sur une plate forme de recommandations pour développer l'outil national de la production formulée par la centrale syndicale. Il est question de renforcer le partenariat entre la formation professionnelle et l'entreprise, développer le tissu local des PME pour lutter contre l'exode des populations, dépénaliser l'acte de gestion et la libérer l'initiative des gestionnaires publics. Il en va de la restauration du crédit à la consommation orienté vers les produits locaux, la révision du code des marchés publics, la création d'un observatoire national du commerce et le soutien aux entreprises exportatrices. Pour rappel au dernier Conseil interministériel (CIM) tenu la semaine dernière, le gouvernement a instruit la Banque d'Algérie, l'ABEF et les banques de la place, D'aller "immédiatement" vers des facilitations en termes d'octroi de crédits et de gestion bancaire quotidienne. A la rencontre entre gouvernement le patronat et le syndicat le gouverneur de la banque d'Alger a été très rassurant sur les nouvelles volontés du gouvernement .Il a annoncé la bonne santé de nos finances extérieures .Pour le futur M.Lakcaci n' y voit que du vert : « La position financière extérieure de l'Algérie devrait rester "soutenable" à moyen et long termes » Il ne fait aucun doute pour lui que la solvabilité financière de l'Algérie est un "ancrage appréciable comparé à ce qui se passe dans le monde" surtout que le "retour à l'équilibre macroéconomique s'est accompagné d'un développement de l'épargne nationale" ;En bref l'état de ces indices macroéconomiques reflète ,selon l'intervenant de la stabilité du taux de change effectif réel du Dinar, qui est de son taux d'équilibre depuis 2004.La conséquences immédiate est de favoriser le climat des affaires et d'investissement. M .Laksaci appelle à emprofiter .En ligne de mire la promotion de la croissance hors hydrocarbures en développant les crédits à l'investissement .Pour mieux illustrer ses propos il est revenu sur l'écart entre l'épargne des ménages et des entreprises. En 2011, la croissance de l'épargne a été supérieure de 10,5 points par rapport à la croissance de l'investissement en Algérie. Il était de l'ordre de 22% en 2000 .Cela traduit une avancée. Grâce aux programmes d'investissement public, selon M. Laksaci qui encourage à les élargir à toutes les entreprises et à tous les secteurs .Sur la même lancée le président de la CGOEA M. Habib Yousfi a proposé de créer une ''Task force'' pour l'audit de secteur industriel pour lui assurer un bon démarrage. De son côté le patron du FCE a appelé à ''évaluer les étapes précédentes en matière de développement industriel et de corriger les imperfections constatées notamment en ce qui concerne la mise à niveau des entreprises, qui traîne toujours''. Mais avant M .Hamiani demande d'assainir '' la sphère commerciale de toutes les mauvaises pratiques comme l'informel''. Ce qui nous renvoies vers ce qu'a été déjà fait. Sur de rééchelonnement des dettes bancaires des entreprises déstructurées a atteint "un niveau de traitement de près de 70%", soit "près de 127 milliards de DA" traités, a indiqué jeudi à Alger le ministre des Finances, M. Karim Djoudi, Il est en outre revenus sur les concessions faites par son département dont l' l'annulation des agios réservés pour ces entreprises .Elle ont coûté à nos banques "35 mds de DA" depuis l'entrée en vigueur de cette mesure prise lors de la tripartite économique Gouvernement UGTA patronat de fin mai 2011. Al 'issue de la quelle l'équipe d' Ouyahia a été décidé De rééchelonner les créances des entreprises en difficulté avec un différé de trois ans durant lesquels le Trésor public prendra en charge les intérêts. Si ce rééchelonnement des dettes a été couronné de succès celui de la dette fiscale des opérateurs patauge. "Il y a à ce jour 17.274 opérations pour près de 92 mds de DA traités"Pour information le soutien fiscal apporté par l'Etat aux entreprises nationales coûte annuellement au Trésor public quelque 450 milliards de DA. Pour sa part le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'rakech a, quant à lui, appelé à la "légifération" du pacte économique et social signé en 2006. Il a en outre recommandé de faciliter aux entreprises algériennes l'accès aux commandes publiques. Explication .Sellal est déterminé a tarer les fondamentaux de tout les maillons de « La chaîne trophique » .Pour y arriver il compte lancer un pacte de croissance lequel repose « sur un climat de confiance entre ceux qui sont chargés de créer la croissance et ceux qui sont chargés de veiller à la gouvernance de ce pays ».Pour y arriver il a convoqué une rencontre entre gouvernement le patronat , le syndicat . Le but étant de sortir avec tous ses acteurs sur un même ordre d'idée ou mot d'ordre. Y ont été invités aussi à cette rencontre les patrons respectifs du FCE, de la CGOEA et de l'ABEF .Chacun son optique à savoir promouvoir le production nationale via Le développement du tissu industriel. Si l'idée est simple son application reste des plus ardues .Elle demande la conjugaison de plusieurs efforts. Pour le SG de l'UGTA, le la sera donné par une conférence nationale sur le développement de la production industrielle tous secteurs confondu .Elle aboutira sur une plate forme de recommandations pour développer l'outil national de la production formulée par la centrale syndicale. Il est question de renforcer le partenariat entre la formation professionnelle et l'entreprise, développer le tissu local des PME pour lutter contre l'exode des populations, dépénaliser l'acte de gestion et la libérer l'initiative des gestionnaires publics. Il en va de la restauration du crédit à la consommation orienté vers les produits locaux, la révision du code des marchés publics, la création d'un observatoire national du commerce et le soutien aux entreprises exportatrices. Pour rappel au dernier Conseil interministériel (CIM) tenu la semaine dernière, le gouvernement a instruit la Banque d'Algérie, l'ABEF et les banques de la place, D'aller "immédiatement" vers des facilitations en termes d'octroi de crédits et de gestion bancaire quotidienne. A la rencontre entre gouvernement le patronat et le syndicat le gouverneur de la banque d'Alger a été très rassurant sur les nouvelles volontés du gouvernement .Il a annoncé la bonne santé de nos finances extérieures .Pour le futur M.Lakcaci n' y voit que du vert : « La position financière extérieure de l'Algérie devrait rester "soutenable" à moyen et long termes » Il ne fait aucun doute pour lui que la solvabilité financière de l'Algérie est un "ancrage appréciable comparé à ce qui se passe dans le monde" surtout que le "retour à l'équilibre macroéconomique s'est accompagné d'un développement de l'épargne nationale" ;En bref l'état de ces indices macroéconomiques reflète ,selon l'intervenant de la stabilité du taux de change effectif réel du Dinar, qui est de son taux d'équilibre depuis 2004.La conséquences immédiate est de favoriser le climat des affaires et d'investissement. M .Laksaci appelle à emprofiter .En ligne de mire la promotion de la croissance hors hydrocarbures en développant les crédits à l'investissement .Pour mieux illustrer ses propos il est revenu sur l'écart entre l'épargne des ménages et des entreprises. En 2011, la croissance de l'épargne a été supérieure de 10,5 points par rapport à la croissance de l'investissement en Algérie. Il était de l'ordre de 22% en 2000 .Cela traduit une avancée. Grâce aux programmes d'investissement public, selon M. Laksaci qui encourage à les élargir à toutes les entreprises et à tous les secteurs .Sur la même lancée le président de la CGOEA M. Habib Yousfi a proposé de créer une ''Task force'' pour l'audit de secteur industriel pour lui assurer un bon démarrage. De son côté le patron du FCE a appelé à ''évaluer les étapes précédentes en matière de développement industriel et de corriger les imperfections constatées notamment en ce qui concerne la mise à niveau des entreprises, qui traîne toujours''. Mais avant M .Hamiani demande d'assainir '' la sphère commerciale de toutes les mauvaises pratiques comme l'informel''. Ce qui nous renvoies vers ce qu'a été déjà fait. Sur de rééchelonnement des dettes bancaires des entreprises déstructurées a atteint "un niveau de traitement de près de 70%", soit "près de 127 milliards de DA" traités, a indiqué jeudi à Alger le ministre des Finances, M. Karim Djoudi, Il est en outre revenus sur les concessions faites par son département dont l' l'annulation des agios réservés pour ces entreprises .Elle ont coûté à nos banques "35 mds de DA" depuis l'entrée en vigueur de cette mesure prise lors de la tripartite économique Gouvernement UGTA patronat de fin mai 2011. Al 'issue de la quelle l'équipe d' Ouyahia a été décidé De rééchelonner les créances des entreprises en difficulté avec un différé de trois ans durant lesquels le Trésor public prendra en charge les intérêts. Si ce rééchelonnement des dettes a été couronné de succès celui de la dette fiscale des opérateurs patauge. "Il y a à ce jour 17.274 opérations pour près de 92 mds de DA traités"Pour information le soutien fiscal apporté par l'Etat aux entreprises nationales coûte annuellement au Trésor public quelque 450 milliards de DA. Pour sa part le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP), Boualem M'rakech a, quant à lui, appelé à la "légifération" du pacte économique et social signé en 2006. Il a en outre recommandé de faciliter aux entreprises algériennes l'accès aux commandes publiques.