Existantes et classiques, les relations économiques entre les deux parties ont évolué timidement en dépit des anciennes et amicales relations qu'ont su tisser les deux parties. A raison de 3,4 MDS USD en 2011, les deux parties ont décidé de les défroisser et les rendre plus rock and roll en les portant à plus loin de ces chiffres avec un préalable, le transfert des technologies Existantes et classiques, les relations économiques entre les deux parties ont évolué timidement en dépit des anciennes et amicales relations qu'ont su tisser les deux parties. A raison de 3,4 MDS USD en 2011, les deux parties ont décidé de les défroisser et les rendre plus rock and roll en les portant à plus loin de ces chiffres avec un préalable, le transfert des technologies Le représentant pour le partenariat économique avec l'Algérie est arrivé. Lord Risby, nouvellement promu à ce poste par son Premier ministre, a pour mission durant ces trois jours parmi nous de promouvoir les investissements britanniques en Algérie. Sur place, Lord Risby appréciera lui-même le suivi des projets en cours de réalisation. En outre, il se chargera d'identifier les autres marchés porteurs à même de consolider le partenariat entre les deux parties. Jeudi dernier, c'était le tour du secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli, qui s'est rendu au pays de la City et s'est entretenu avec l'Agence de l'immigration du Royaume-Uni. Objectif : promouvoir la circulation des hommes d'affaires britanniques et algériens entre les deux pays. A son retour, Belkacem Sahli a accordé un entretien à l'APS le 1er décembre dernier. Il est revenu sur le but de cette visite. "Il s'agit de promouvoir la coopération bilatérale à l'avenir de façon à suivre l'évolution remarquable des relations bilatérales enregistrée aux plans politique et économique" Etat de la coopération économique entre les deux parties L'axe Alger-Londres est en plein expansion .Même si les relations entres les deux parties sont historiques, reste que la coopération s'est renforcée depuis la visite du chef de l'Etat au Royaume-Uni en 2006. En 2011, le chiffre d'affaires entres les deux parties a été estimé à 3.4mds USD. Ces chiffres étaient à 2.4mds USD en 2010, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. Si bien qu à la même année (2010), la Grande-Bretagne a été classée 9ème client de l'Algérie en 2011 et 13e fournisseur en 2010. Pourquoi ce volume des échanges peine-t-il à prendre plus d'envol comparativement aux autres clients étrangers européens à l'Algérie à l'instar des Italiens, Espagnols et Allemands ? Pour l'ABBC et précisément de son conseil, Lady Olga Mainland , en dépit du feu vert du gouvernement britannique d'être un partenaire actif dans le développement de l'Algérie, la destination économique Algérie reste inconnue. En tenant compte de la décision commune de porter le chiffre d'affaires des échanges commerciaux au delà de 3 mds USD , une rencontre d'affaires sur l'Algérie a été organisé par l'ABBC en juin 2010. Elle a fédéré plus de 80 délégués ,des hommes d'affaires et de potentiels clients de la finance pour apprécier les opportunités d'affaires et le marché algérien . De son côté, le diplomate algérien à Londres a mis en exergue, en section partenariat, les potentialités d'investissements qu'offre le marché algérien et a appelé les Anglais à investir particulièrement dans les domaines du transfert de technologie, la finance et l'enseignement. Selon le Conseil d'affaires algéro-britannique sont nombreux les investisseurs du Royaume-Uni à être intéressés par le marché national.Parmi eux figurent JetAir, British Petroleum (BP), British Gas (BG), Astrazeneca, Independent Health Group, General Dynamics, Linguaphone. Les Britanniques sont aussi intéréssés par le marché agricole dont la production du lait .D'après l'ambassadeur britannique accrédité en Algérie, M. Martyn Roper, "les exportations britanniques ont doublé au cours des 5 dernières années alors que les exportations algériennes vers le Royaume-Uni ont enregistré une augmentation de près d'un tiers en 2010 comparativement à l'année 2009". Selon la même source, 50 entreprises britanniques ont déjà investi le marché algérien dans différents domaines, notamment les hydrocarbures et les produits pharmaceutiques dont HSBC, GSK, Unilever, British American Tobacco, Astrazeneca et Linguaphone, Language Solutions. Ce nombre est jugé insuffisant par la partie britannique qui, sur le plan commercial se considère sous-représentées au vu du plan quinquennal d'investissements en Algérie. Pendant le "UK Day in Oran" (journée du Royaume-Uni à Oran) organisé en septembre par le Conseil d'affaires algéro-britannique, l'ambassadeur avait insisté sur les opportunités à saisir dans divers segments tels ceux de l'énergie, de la machinerie industrielle, de la santé, de la construction, de l'éducation, de la formation et de l'enseignement de la langue anglaise. Faut-il rappeler que cette rencontre a permis un première échange entre les businessmen des deux parties pour mieux saisir les opportunités d'investissement. Il en est résulté des engagements et des investissements .Pour ce qui est du premier, la rencontre d'Oran a donné suite : en octobre a été organisée à Londres une rencontre entre les deux parties. Organisée par le Conseil d'affaires algéro-britannique , le wali d'Oran accompagné d'une délégation a rencontré des hommes d'affaires anglais en présence de l'ambassadeur d'Algérie à Londres. Le but étant d'impliquer les investisseurs britanniques dans le grand projet d'«Oran métropole méditerranéenne», développement de la ville d'Oran estimé à 14 milliards d'euros. 131 projets y sont inscrits. En font fait partie, l'extension du tramway, le projet du métro d'Oran, la réalisation de plusieurs hôpitaux et le secteur du bâtiment qui est en pleine croissance. A Oran, la partie britannique s'est déjà engagée dans l'épargne. Plus précisément cet engagement porte sur l'ouverture d'une nouvelle agence bancaire. Il s'agit de la première succursale de HSBC Bank Middle East (HBME) dans la capitale de l'Ouest et la troisième à l'échelle nationale. L'occasion a été pour HSBC de développer son épargne en Algérie en temps que "partenaire de référence" pour accompagner les entreprises algériennes dans leur développement international et les particuliers dans la gestion de leur épargne. En dehors de la Coquette, la banque ambitionne d'ouvrir deux autres succursales à Hassi Messaoud et à Sétif. A ce jour HSBC a recruté en Algérie près de 150 jeunes cadres issus des ressources humaines locales. Les autres secteurs dans lesquels les deux parties ont convenu officiellement de consolider le partenariat sont le sécuritaire et l'énergétique. En témoigne la visite du ministre britannique des Affaires étrangères,William Hague, l'année dernière en Algérie, reçu avec les honneurs par le chef de l'Etat. A l'issue de quoi le chef de la diplomatie britannique a déclaré à la presse, que cette visite sera l'occasion de renforcer la coopération algéro-britannique dans les secteurs de l'énergie et la lutte antiterroriste. Il faut dire que la conjoncture régionale et l'expérience algérienne requise dans la lutte anti-terroriste attire plus d'un. En juin 2011, pour la partie britannique la primauté était donc d'arriver à une "action effective" comme l'a déclaré le chef de la diplomatie britannique dans la coopération sécuritaire. Pour William Hague bien que cette coopération soit existante " il reste beaucoup de potentiel à développer entre les industries de la défense des deux pays". Toujours sur la lancée de la coopération, la partie britannique s'est intéressée un peu plus à la coopération énergétique. L'intérêt a été porté pour le gaz et les énergies renouvelables. S'exprimant sur la question, Son excellence Martyn Roper, a précisé que cet intérêt est marqué par le déclin des gisements de la mer du Nord. Sur le sujet, l'ambassadeur britannique sait bien de quoi il parle. L'Algérie en tant que fournisseur de gaz a su gagner ses galons en tant que distributeur et s'est toujours attelée et investie pour ne jamais faire siffler les tuyaux des clients. Ce n'est pas un hasard si sur ce sujet, le diplomate a qualifié l'Algérie de "pays stable". Par ailleurs, la partie britannique se propose client du groupe Sonelgaz pour l'accompagner dans son plan de développement. En langage des chiffres, ce plan est coté à 56 mds USD pour la période 2012-2022. S'agissant des énergies renouvelables, l'Algérie qui aspire à développer le créneau présente un marché qui courtise le pays de Sa Majesté. Selon M. Roper, un projet pilote dans ce secteur devrait être organisé. Pour information, le projet de développement des énergies renouvelables est à l'horizon 2030. Le groupe Sonelgaz ambitionne de produire un taux de 40% de production de l'électricité en 2030 à partir de l'énergie renouvelable, axé sur le solaire. La production de l'électricité à partir des énergies renouvelables sera de 540 MW entre 2014 et 2015 et atteindra 1950 MW entre 2016 et 2021 et enfin 9400 MG entre 2021 et 2030, selon la Sonelgaz. Le Royaume-Uni compte produire 60 MW à partir des énergies renouvelables en 2030 et se propose donc pour ce créneau. Réponse du berger à la bergère avec le préalable la formation des managers, l'étude de la politique énergétique britannique et le développement des réseaux intelligents .Comprendre donc, le transfert de technologie, le développement d'autres secteurs comme la formation et les services et le soutien des universités britanniques pour accompagner la Sonelgaz à faire sortir de terre un Institut supérieur de management, destiné aux futurs cadres et dont l'enseignement serait assuré en collaboration avec ces universités . Les propositions algériennes ne sont pas tombées dans une oreille sourde : le PDG du groupe énergétique Gallois Whessoe s'est dit preneur . Et comme le veut la tradition britannique avec autant de diplomatie que de précision, le diplomate britannique a avancé aussi les chiffres des visas délivrés par son ambassade en 2011. Ils sont de près de 13.000 visas. Le représentant pour le partenariat économique avec l'Algérie est arrivé. Lord Risby, nouvellement promu à ce poste par son Premier ministre, a pour mission durant ces trois jours parmi nous de promouvoir les investissements britanniques en Algérie. Sur place, Lord Risby appréciera lui-même le suivi des projets en cours de réalisation. En outre, il se chargera d'identifier les autres marchés porteurs à même de consolider le partenariat entre les deux parties. Jeudi dernier, c'était le tour du secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli, qui s'est rendu au pays de la City et s'est entretenu avec l'Agence de l'immigration du Royaume-Uni. Objectif : promouvoir la circulation des hommes d'affaires britanniques et algériens entre les deux pays. A son retour, Belkacem Sahli a accordé un entretien à l'APS le 1er décembre dernier. Il est revenu sur le but de cette visite. "Il s'agit de promouvoir la coopération bilatérale à l'avenir de façon à suivre l'évolution remarquable des relations bilatérales enregistrée aux plans politique et économique" Etat de la coopération économique entre les deux parties L'axe Alger-Londres est en plein expansion .Même si les relations entres les deux parties sont historiques, reste que la coopération s'est renforcée depuis la visite du chef de l'Etat au Royaume-Uni en 2006. En 2011, le chiffre d'affaires entres les deux parties a été estimé à 3.4mds USD. Ces chiffres étaient à 2.4mds USD en 2010, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. Si bien qu à la même année (2010), la Grande-Bretagne a été classée 9ème client de l'Algérie en 2011 et 13e fournisseur en 2010. Pourquoi ce volume des échanges peine-t-il à prendre plus d'envol comparativement aux autres clients étrangers européens à l'Algérie à l'instar des Italiens, Espagnols et Allemands ? Pour l'ABBC et précisément de son conseil, Lady Olga Mainland , en dépit du feu vert du gouvernement britannique d'être un partenaire actif dans le développement de l'Algérie, la destination économique Algérie reste inconnue. En tenant compte de la décision commune de porter le chiffre d'affaires des échanges commerciaux au delà de 3 mds USD , une rencontre d'affaires sur l'Algérie a été organisé par l'ABBC en juin 2010. Elle a fédéré plus de 80 délégués ,des hommes d'affaires et de potentiels clients de la finance pour apprécier les opportunités d'affaires et le marché algérien . De son côté, le diplomate algérien à Londres a mis en exergue, en section partenariat, les potentialités d'investissements qu'offre le marché algérien et a appelé les Anglais à investir particulièrement dans les domaines du transfert de technologie, la finance et l'enseignement. Selon le Conseil d'affaires algéro-britannique sont nombreux les investisseurs du Royaume-Uni à être intéressés par le marché national.Parmi eux figurent JetAir, British Petroleum (BP), British Gas (BG), Astrazeneca, Independent Health Group, General Dynamics, Linguaphone. Les Britanniques sont aussi intéréssés par le marché agricole dont la production du lait .D'après l'ambassadeur britannique accrédité en Algérie, M. Martyn Roper, "les exportations britanniques ont doublé au cours des 5 dernières années alors que les exportations algériennes vers le Royaume-Uni ont enregistré une augmentation de près d'un tiers en 2010 comparativement à l'année 2009". Selon la même source, 50 entreprises britanniques ont déjà investi le marché algérien dans différents domaines, notamment les hydrocarbures et les produits pharmaceutiques dont HSBC, GSK, Unilever, British American Tobacco, Astrazeneca et Linguaphone, Language Solutions. Ce nombre est jugé insuffisant par la partie britannique qui, sur le plan commercial se considère sous-représentées au vu du plan quinquennal d'investissements en Algérie. Pendant le "UK Day in Oran" (journée du Royaume-Uni à Oran) organisé en septembre par le Conseil d'affaires algéro-britannique, l'ambassadeur avait insisté sur les opportunités à saisir dans divers segments tels ceux de l'énergie, de la machinerie industrielle, de la santé, de la construction, de l'éducation, de la formation et de l'enseignement de la langue anglaise. Faut-il rappeler que cette rencontre a permis un première échange entre les businessmen des deux parties pour mieux saisir les opportunités d'investissement. Il en est résulté des engagements et des investissements .Pour ce qui est du premier, la rencontre d'Oran a donné suite : en octobre a été organisée à Londres une rencontre entre les deux parties. Organisée par le Conseil d'affaires algéro-britannique , le wali d'Oran accompagné d'une délégation a rencontré des hommes d'affaires anglais en présence de l'ambassadeur d'Algérie à Londres. Le but étant d'impliquer les investisseurs britanniques dans le grand projet d'«Oran métropole méditerranéenne», développement de la ville d'Oran estimé à 14 milliards d'euros. 131 projets y sont inscrits. En font fait partie, l'extension du tramway, le projet du métro d'Oran, la réalisation de plusieurs hôpitaux et le secteur du bâtiment qui est en pleine croissance. A Oran, la partie britannique s'est déjà engagée dans l'épargne. Plus précisément cet engagement porte sur l'ouverture d'une nouvelle agence bancaire. Il s'agit de la première succursale de HSBC Bank Middle East (HBME) dans la capitale de l'Ouest et la troisième à l'échelle nationale. L'occasion a été pour HSBC de développer son épargne en Algérie en temps que "partenaire de référence" pour accompagner les entreprises algériennes dans leur développement international et les particuliers dans la gestion de leur épargne. En dehors de la Coquette, la banque ambitionne d'ouvrir deux autres succursales à Hassi Messaoud et à Sétif. A ce jour HSBC a recruté en Algérie près de 150 jeunes cadres issus des ressources humaines locales. Les autres secteurs dans lesquels les deux parties ont convenu officiellement de consolider le partenariat sont le sécuritaire et l'énergétique. En témoigne la visite du ministre britannique des Affaires étrangères,William Hague, l'année dernière en Algérie, reçu avec les honneurs par le chef de l'Etat. A l'issue de quoi le chef de la diplomatie britannique a déclaré à la presse, que cette visite sera l'occasion de renforcer la coopération algéro-britannique dans les secteurs de l'énergie et la lutte antiterroriste. Il faut dire que la conjoncture régionale et l'expérience algérienne requise dans la lutte anti-terroriste attire plus d'un. En juin 2011, pour la partie britannique la primauté était donc d'arriver à une "action effective" comme l'a déclaré le chef de la diplomatie britannique dans la coopération sécuritaire. Pour William Hague bien que cette coopération soit existante " il reste beaucoup de potentiel à développer entre les industries de la défense des deux pays". Toujours sur la lancée de la coopération, la partie britannique s'est intéressée un peu plus à la coopération énergétique. L'intérêt a été porté pour le gaz et les énergies renouvelables. S'exprimant sur la question, Son excellence Martyn Roper, a précisé que cet intérêt est marqué par le déclin des gisements de la mer du Nord. Sur le sujet, l'ambassadeur britannique sait bien de quoi il parle. L'Algérie en tant que fournisseur de gaz a su gagner ses galons en tant que distributeur et s'est toujours attelée et investie pour ne jamais faire siffler les tuyaux des clients. Ce n'est pas un hasard si sur ce sujet, le diplomate a qualifié l'Algérie de "pays stable". Par ailleurs, la partie britannique se propose client du groupe Sonelgaz pour l'accompagner dans son plan de développement. En langage des chiffres, ce plan est coté à 56 mds USD pour la période 2012-2022. S'agissant des énergies renouvelables, l'Algérie qui aspire à développer le créneau présente un marché qui courtise le pays de Sa Majesté. Selon M. Roper, un projet pilote dans ce secteur devrait être organisé. Pour information, le projet de développement des énergies renouvelables est à l'horizon 2030. Le groupe Sonelgaz ambitionne de produire un taux de 40% de production de l'électricité en 2030 à partir de l'énergie renouvelable, axé sur le solaire. La production de l'électricité à partir des énergies renouvelables sera de 540 MW entre 2014 et 2015 et atteindra 1950 MW entre 2016 et 2021 et enfin 9400 MG entre 2021 et 2030, selon la Sonelgaz. Le Royaume-Uni compte produire 60 MW à partir des énergies renouvelables en 2030 et se propose donc pour ce créneau. Réponse du berger à la bergère avec le préalable la formation des managers, l'étude de la politique énergétique britannique et le développement des réseaux intelligents .Comprendre donc, le transfert de technologie, le développement d'autres secteurs comme la formation et les services et le soutien des universités britanniques pour accompagner la Sonelgaz à faire sortir de terre un Institut supérieur de management, destiné aux futurs cadres et dont l'enseignement serait assuré en collaboration avec ces universités . Les propositions algériennes ne sont pas tombées dans une oreille sourde : le PDG du groupe énergétique Gallois Whessoe s'est dit preneur . Et comme le veut la tradition britannique avec autant de diplomatie que de précision, le diplomate britannique a avancé aussi les chiffres des visas délivrés par son ambassade en 2011. Ils sont de près de 13.000 visas.