Pas moins de 35 firmes britanniques, tous secteurs économiques confondus, mais dont la plupart des entreprises sont versées dans les domaines de l'énergie et de la construction seront, en principe, implantées en Algérie durant l'année 2012. Pas moins de 35 firmes britanniques, tous secteurs économiques confondus, mais dont la plupart des entreprises sont versées dans les domaines de l'énergie et de la construction seront, en principe, implantées en Algérie durant l'année 2012. En effet, selon le site OY spécialisé dans les informations à caractère économique et financier, l'ambassadeur britannique à Alger est en train de promouvoir l'installation des firmes du Royaume-Uni en Algérie à travers, notamment ses visites sur sites dans le pays. Ainsi, indique ce site, « sur invitation de la Chambre de commerce et d'industrie du Rhummel (CCIR) de Constantine, l'ambassadeur britannique Martyn Roper a effectué, récemment, une visite à Constantine, consécutive à une série de visites qu'il a entamées à travers différentes wilayas du pays dans le but d'explorer de «nouvelles opportunités de coopération entre le Royaume-Uni et l'Algérie, plus particulièrement hors d'Alger ». Roper a montré son ambition et sa détermination à préparer le terrain pour les 35 sociétés et firmes britanniques « qui s'apprêtent à investir en Algérie dès l'année prochaine dans le domaine du commerce et de l'enseignement de la langue anglaise ». Son Excellence n'a pas manqué ainsi de déclarer que « les entreprises britanniques sont vraiment très déterminées à développer les relations économiques et commerciales avec l'Algérie ». L'ambassadeur a précisé que « le Royaume-Uni encourage les entreprises britanniques actives dans des secteurs hors hydrocarbures à investir en Algérie » ajourant que « ce partenariat ambitionne de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation, la formation, l'engineering et l'industrie pharmaceutique, créneau constantinois par excellence, puisque la capitale de l'Est est depuis ces dernières années considérées comme le fleuron de l'industrie pharmaceutique ». Dans un autre registre, Roper précisé que « des formations seront proposées aux cadres, aux étudiants et même aux journalistes. Signe que Londres compte bien faire un forcing en Algérie, et l'ambassade révèle que des visites de délégations commerciales britanniques sont programmés durant ce deuxième semestre de l'année en cours, des visites au profit de cinq délégations économiques en Algérie, activant dans les domaines de la construction, de l'éducation et de l'énergie ». Plus de 38 hommes d'affaires ont visité l'Algérie durant l'année 2011 où ils ont pu s'enquérir des conditions économiques du pays et du climat des affaires, ainsi que l'environnement des investissements. La coopération bilatérale s'est confinée ces dernières années au domaine énergétique où le Royaume-Uni était traditionnellement présent en Algérie à travers le secteur des hydrocarbures, notamment BP, Shell et BG, et opère également dans d'autres domaines tels l'éducation (linguaphone), les infrastructures (Biwater), les pharmaceutiques (GSK), les produits à la consommation (Unilever), les services financiers (HSBC) ainsi que le transport (BA). Mais, depuis, deux années, les investisseurs et industriels britannique de tous les secteurs économiques affluent en Algérie, notamment à la suite des séminaires et des rencontres business to business ayant eu lieu à Londres entre les hommes d'affaires anglais et des opérateurs économiques algériens. Rappelons que les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint en 2010 plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. La Grande-Bretagne a été classée 13e client de l'Algérie et aussi 13e fournisseur. Les investissements directs britanniques en Algérie continueront à affluer, donc, durant l'année 2012. En effet, selon le site OY spécialisé dans les informations à caractère économique et financier, l'ambassadeur britannique à Alger est en train de promouvoir l'installation des firmes du Royaume-Uni en Algérie à travers, notamment ses visites sur sites dans le pays. Ainsi, indique ce site, « sur invitation de la Chambre de commerce et d'industrie du Rhummel (CCIR) de Constantine, l'ambassadeur britannique Martyn Roper a effectué, récemment, une visite à Constantine, consécutive à une série de visites qu'il a entamées à travers différentes wilayas du pays dans le but d'explorer de «nouvelles opportunités de coopération entre le Royaume-Uni et l'Algérie, plus particulièrement hors d'Alger ». Roper a montré son ambition et sa détermination à préparer le terrain pour les 35 sociétés et firmes britanniques « qui s'apprêtent à investir en Algérie dès l'année prochaine dans le domaine du commerce et de l'enseignement de la langue anglaise ». Son Excellence n'a pas manqué ainsi de déclarer que « les entreprises britanniques sont vraiment très déterminées à développer les relations économiques et commerciales avec l'Algérie ». L'ambassadeur a précisé que « le Royaume-Uni encourage les entreprises britanniques actives dans des secteurs hors hydrocarbures à investir en Algérie » ajourant que « ce partenariat ambitionne de lancer des projets conjoints dans les secteurs de l'éducation, la formation, l'engineering et l'industrie pharmaceutique, créneau constantinois par excellence, puisque la capitale de l'Est est depuis ces dernières années considérées comme le fleuron de l'industrie pharmaceutique ». Dans un autre registre, Roper précisé que « des formations seront proposées aux cadres, aux étudiants et même aux journalistes. Signe que Londres compte bien faire un forcing en Algérie, et l'ambassade révèle que des visites de délégations commerciales britanniques sont programmés durant ce deuxième semestre de l'année en cours, des visites au profit de cinq délégations économiques en Algérie, activant dans les domaines de la construction, de l'éducation et de l'énergie ». Plus de 38 hommes d'affaires ont visité l'Algérie durant l'année 2011 où ils ont pu s'enquérir des conditions économiques du pays et du climat des affaires, ainsi que l'environnement des investissements. La coopération bilatérale s'est confinée ces dernières années au domaine énergétique où le Royaume-Uni était traditionnellement présent en Algérie à travers le secteur des hydrocarbures, notamment BP, Shell et BG, et opère également dans d'autres domaines tels l'éducation (linguaphone), les infrastructures (Biwater), les pharmaceutiques (GSK), les produits à la consommation (Unilever), les services financiers (HSBC) ainsi que le transport (BA). Mais, depuis, deux années, les investisseurs et industriels britannique de tous les secteurs économiques affluent en Algérie, notamment à la suite des séminaires et des rencontres business to business ayant eu lieu à Londres entre les hommes d'affaires anglais et des opérateurs économiques algériens. Rappelons que les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint en 2010 plus de 2 milliards de dollars, dont 1,260 milliard de dollars d'exportations algériennes et 771 millions de dollars d'importations. La Grande-Bretagne a été classée 13e client de l'Algérie et aussi 13e fournisseur. Les investissements directs britanniques en Algérie continueront à affluer, donc, durant l'année 2012.