La sélection algérienne de football des moins de 17 ans n'ira pas à la phase finale de la Coupe d'afrique des nations de la catégorie qu'organisera le Maroc, après sa défaite au stade Omar-Hamadi de Bologhine, en match retour face à son homologue Botswanaise aux tirs au but. La sélection algérienne de football des moins de 17 ans n'ira pas à la phase finale de la Coupe d'afrique des nations de la catégorie qu'organisera le Maroc, après sa défaite au stade Omar-Hamadi de Bologhine, en match retour face à son homologue Botswanaise aux tirs au but. Au moment où les responsables du football algérien parlent de la formation, voila qu'une autre équipe nationale ratera une compétition continentale très importante. Les U17, sous la houlette de l'entraîneur national, Hassan Belhadj, ont été surpris sur leurs bases par le Botswana. Les Algériens qui avaient pourtant mené au score dès la 19e minute par Benbahria, ratent une belle opportunité face à des Botswanais qui ne croyaient guère obtenir une qualification à Alger après le match nul au Botswana. La déception était énorme chez les Verts qui auraient pu remporter le match facilement. Le sélectionneur des moins de 17 ans, Belhadj Hassan, s'est montré très déçu à la fin de la partie après avoir dominé les débats. « C'est une grosse déception. On avait vraiment à cœur d'obtenir la qualification à domicile, mais on a pris un contre fatal en deuxième période. On s'est créé beaucoup d'occasions, mais on n'a pas su les concrétiser et c'est la faute qu'on a commise ce soir. Hélas notre mission va s'arrêter après ce match, après une année et demie de sacrifices », a déclaré Belhadj à l'issue de la rencontre. Les camarades du meneur de jeu Benbahria Amir, qui avaient éprouvé d'énormes difficultés à rentrer dans la partie, ont su comment exploiter les failles de leur adversaire. Pour ce qui concerne justement des occasions, il a fallu attendre la 15' de jeu pour voir la première occasion nette de scorer, ratée lamentablement par l'avant- centre, Sbia Walid, qui se trouvait face à face avec le gardien botswanais. Tout a été gâché durant la première demi-heure de la rencontre où les Botswanais ont trouvé du mal à rentrer dans le match. Ce qui a permis d'ailleurs à Benbahria de signer l'ouverture du score, suite à une faute monumentale du gardien adverse. Dès lors, les Algériens ont dominé les débats en monopolisant le ballon, mais sans pour autant atteindre les filets une seconde fois. Lors de la deuxième période, les Botswanais étaient plus réalistes en procédant à des attaques plus rapides, ce qui a permis à l'attaquant Allen Ndololo d'inscrire un joli but sur une frappe fulgurante. Le gardien algérien n'a rien vu venir. Il a fallu attendre la série des tirs au but pour que les Botswanais arrachent leur qualification. Le Botswana qui n'avait aucun espoir de figurer parmi les meilleures équipes africaines qui prendront part à ce rendez-vous marocain, réalisent un exploit. La preuve, le coach botswanais, Kazer Kobedi, avait du mal à retenir ses larmes à la fin de la rencontre. "Aujourd'hui je suis l'entraîneur le plus heureux du monde. Nous avons arraché une qualification inespérée face à une très bonne équipe algérienne. Maintenant on va préparer la CAN-2013 dans la sérénité", a-t-il déclaré.En tous cas, cette élimination qui s'ajoute à celle de la sélection olympique, constitue en elle-même une bonne leçon. Au moment où les responsables du football algérien parlent de la formation, voila qu'une autre équipe nationale ratera une compétition continentale très importante. Les U17, sous la houlette de l'entraîneur national, Hassan Belhadj, ont été surpris sur leurs bases par le Botswana. Les Algériens qui avaient pourtant mené au score dès la 19e minute par Benbahria, ratent une belle opportunité face à des Botswanais qui ne croyaient guère obtenir une qualification à Alger après le match nul au Botswana. La déception était énorme chez les Verts qui auraient pu remporter le match facilement. Le sélectionneur des moins de 17 ans, Belhadj Hassan, s'est montré très déçu à la fin de la partie après avoir dominé les débats. « C'est une grosse déception. On avait vraiment à cœur d'obtenir la qualification à domicile, mais on a pris un contre fatal en deuxième période. On s'est créé beaucoup d'occasions, mais on n'a pas su les concrétiser et c'est la faute qu'on a commise ce soir. Hélas notre mission va s'arrêter après ce match, après une année et demie de sacrifices », a déclaré Belhadj à l'issue de la rencontre. Les camarades du meneur de jeu Benbahria Amir, qui avaient éprouvé d'énormes difficultés à rentrer dans la partie, ont su comment exploiter les failles de leur adversaire. Pour ce qui concerne justement des occasions, il a fallu attendre la 15' de jeu pour voir la première occasion nette de scorer, ratée lamentablement par l'avant- centre, Sbia Walid, qui se trouvait face à face avec le gardien botswanais. Tout a été gâché durant la première demi-heure de la rencontre où les Botswanais ont trouvé du mal à rentrer dans le match. Ce qui a permis d'ailleurs à Benbahria de signer l'ouverture du score, suite à une faute monumentale du gardien adverse. Dès lors, les Algériens ont dominé les débats en monopolisant le ballon, mais sans pour autant atteindre les filets une seconde fois. Lors de la deuxième période, les Botswanais étaient plus réalistes en procédant à des attaques plus rapides, ce qui a permis à l'attaquant Allen Ndololo d'inscrire un joli but sur une frappe fulgurante. Le gardien algérien n'a rien vu venir. Il a fallu attendre la série des tirs au but pour que les Botswanais arrachent leur qualification. Le Botswana qui n'avait aucun espoir de figurer parmi les meilleures équipes africaines qui prendront part à ce rendez-vous marocain, réalisent un exploit. La preuve, le coach botswanais, Kazer Kobedi, avait du mal à retenir ses larmes à la fin de la rencontre. "Aujourd'hui je suis l'entraîneur le plus heureux du monde. Nous avons arraché une qualification inespérée face à une très bonne équipe algérienne. Maintenant on va préparer la CAN-2013 dans la sérénité", a-t-il déclaré.En tous cas, cette élimination qui s'ajoute à celle de la sélection olympique, constitue en elle-même une bonne leçon.