La banlieue de Damas et ses quartiers Sud sont, depuis trois jours, sous le feu de l'aviation syrienne qui tente d'en déloger les rebelles, 20 mois après le début de la crise en Syrie. Le régime a lancé, jeudi dernier, une opération militaire pour reconquérir un rayon de huit kilomètres autour la capitale, qu'il veut à tout prix conserver pour être en position de négocier une issue au conflit, selon les experts. Dans le même temps, combats et bombardements faisaient rage à travers la province d'Alep, tuant deux civils, ainsi que dans les régions de Deraa, d'Idleb et de Deir Ezzor, notamment aux abords de l'aéroport militaire de la ville, selon l'OSDH. "Pour continuer de sécuriser la route de l'aéroport international de Damas du côté sud, l'armée poursuit sa progression sur l'axe al-Houjeira, Aqraba, Beit Sahem", rapporte le quotidien proche du pouvoir Al-Watan. Un attentat à la voiture piégée, perpétré dimanche dans la ville syrienne de Homs, dans le centre du pays, a fait 15 morts et 24 blessés, a rapporté l'agence officielle Sana. Elle évoque un acte "terroriste" commis dans ce quartier d'Al-Hamra. Dans le sud de la capitale, l'aviation a pilonné Beit Sahem et ses vergers ce lundi, où de violents combats opposent soldats et rebelles au sol, de même qu'à Babbila et à Harasta, a ajouté l'OSDH. Dans la nuit, l'artillerie avait pilonné la Ghouta orientale, la campagne bordant la capitale, traversée par la route de l'aéroport international gagnée jeudi pour la première fois par de violents combats. La ligne rouge des armes chimiques La Syrie n'utilisera jamais les armes chimiques contre son peuple a indiqué le ministère des Affaires étrangères syrien. Il répondait à la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton qui a lancé, depuis Prague ce lundi, un "avertissement sévère" au régime du président syrien Bachar al-Assad concernant l'éventuelle utilisation d'armes chimiques contre son peuple. Le même jour, une rencontre cruciale doit avoir lieu entre le président russe Vladimir Poutine, allié du régime syrien, et le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, partisan de la rébellion. La banlieue de Damas et ses quartiers Sud sont, depuis trois jours, sous le feu de l'aviation syrienne qui tente d'en déloger les rebelles, 20 mois après le début de la crise en Syrie. Le régime a lancé, jeudi dernier, une opération militaire pour reconquérir un rayon de huit kilomètres autour la capitale, qu'il veut à tout prix conserver pour être en position de négocier une issue au conflit, selon les experts. Dans le même temps, combats et bombardements faisaient rage à travers la province d'Alep, tuant deux civils, ainsi que dans les régions de Deraa, d'Idleb et de Deir Ezzor, notamment aux abords de l'aéroport militaire de la ville, selon l'OSDH. "Pour continuer de sécuriser la route de l'aéroport international de Damas du côté sud, l'armée poursuit sa progression sur l'axe al-Houjeira, Aqraba, Beit Sahem", rapporte le quotidien proche du pouvoir Al-Watan. Un attentat à la voiture piégée, perpétré dimanche dans la ville syrienne de Homs, dans le centre du pays, a fait 15 morts et 24 blessés, a rapporté l'agence officielle Sana. Elle évoque un acte "terroriste" commis dans ce quartier d'Al-Hamra. Dans le sud de la capitale, l'aviation a pilonné Beit Sahem et ses vergers ce lundi, où de violents combats opposent soldats et rebelles au sol, de même qu'à Babbila et à Harasta, a ajouté l'OSDH. Dans la nuit, l'artillerie avait pilonné la Ghouta orientale, la campagne bordant la capitale, traversée par la route de l'aéroport international gagnée jeudi pour la première fois par de violents combats. La ligne rouge des armes chimiques La Syrie n'utilisera jamais les armes chimiques contre son peuple a indiqué le ministère des Affaires étrangères syrien. Il répondait à la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton qui a lancé, depuis Prague ce lundi, un "avertissement sévère" au régime du président syrien Bachar al-Assad concernant l'éventuelle utilisation d'armes chimiques contre son peuple. Le même jour, une rencontre cruciale doit avoir lieu entre le président russe Vladimir Poutine, allié du régime syrien, et le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, partisan de la rébellion.