La prochaine session ordinaire du comité central (CC) du FLN aura lieu vers la fin du mois de janvier prochain. C'est en effet ce que vient de décider le bureau politique (BP) lors de sa réunion lundi dernier. Mais le BP n'a pas encore arrêté de date fixe pour cette session de la plus haute instance du parti entre deux congrès, ni son ordre du jour. Car pour l'instant l'heure, comme cela a été spécifié dans le communiqué ayant sanctionné cette réunion du BP, le parti est essentiellement focalisé sur la question des alliances au sein des assemblées locales (APC et APW). Une question qui donne beaucoup de soucis à la direction politique du parti car ce dernier est, faute de majorité absolue dans ces assemblées locales , contraint de contracter des alliances avec d'autres partis pour espérer rafler la présidence d'un maximum d'APC et d'APW . Mais une fois cette question réglée dans les tous prochains jours, le FLN va s'atteler aussi à préparer les élections pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. Ce vote, qui aura lieu le 29 décembre prochain, revêt une importance particulière pour l'ex parti unique qui jouera alors sa place de parti majoritaire à la chambre haute du Parlement. ET les résultats de cette élection, au cas notamment où ils seraient négatifs, ne manqueraient pas d'avoir moult incidences directes sur la prochaine session du CC. Car le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem sera attendu de pied ferme par ses détracteurs qui lui demanderont alors des comptes. La session du comite central sera houleuse et d'ores et déjà d'aucuns prédisent la répétition du même scénario que celui de la précédente session ordinaire, celle qui s'est tenue au mois de juin dernier. Lors de cette session, pour rappel, le FLN s'est donné en spectacle à sidi Fredj, à l'hôtel Erriadh plus précisément. Des bagarres ont en effet éclaté entre les pros et les anti Belkhadem. Une situation qui a bloqué l'entame des travaux, laissant la place à des tractations de coulisses. Des tractations qui n'ont pas abouti puisque les opposants à Belkhadem, qui ont occupé la salle des conférences, exigeaient la démission du secrétaire général. Une revendication qui a été, on s'en doute bien, refusée. Face à ce blocage Belkhadem et ses partisans ont utilisé la manière forte pur déloger leurs adversaires de la salle des conférences. Belkhadem, contrairement à ce que clamaient ses adversaires, a alors exhibé une liste de 221 membres du CC qu lui sont favorables. A ses détracteurs, qui s'estimaient majoritaires dans cette instance, il a alors déclaré : «donnez-moi la liste des membres qui sont contre moi et qui veulent me retirer leur confiance ». Depuis, les divergences persistent et la crise interne n'a pas trouvée son épilogue. Les adversaires de Belkhadem continuent à reclasser sa démission. IL y'a quelques jours seulement, Abdelkrim Abada le coordinateur du mouvement de redressement, revenait à la charge sur cette question et ce, au moment ou Belkhadem faisait montre de sa satisfaction des résultats obtenus par le parti aux élections locales du 29 novembre . C'est dire que la prochaine session du CC ne se présente pas dans le s meilleures conditions. Il est dès lors évident que Belkhadem et ses partisans vont devoir en découdre, de nouveau, avec leurs adversaires. La prochaine session ordinaire du comité central (CC) du FLN aura lieu vers la fin du mois de janvier prochain. C'est en effet ce que vient de décider le bureau politique (BP) lors de sa réunion lundi dernier. Mais le BP n'a pas encore arrêté de date fixe pour cette session de la plus haute instance du parti entre deux congrès, ni son ordre du jour. Car pour l'instant l'heure, comme cela a été spécifié dans le communiqué ayant sanctionné cette réunion du BP, le parti est essentiellement focalisé sur la question des alliances au sein des assemblées locales (APC et APW). Une question qui donne beaucoup de soucis à la direction politique du parti car ce dernier est, faute de majorité absolue dans ces assemblées locales , contraint de contracter des alliances avec d'autres partis pour espérer rafler la présidence d'un maximum d'APC et d'APW . Mais une fois cette question réglée dans les tous prochains jours, le FLN va s'atteler aussi à préparer les élections pour le renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. Ce vote, qui aura lieu le 29 décembre prochain, revêt une importance particulière pour l'ex parti unique qui jouera alors sa place de parti majoritaire à la chambre haute du Parlement. ET les résultats de cette élection, au cas notamment où ils seraient négatifs, ne manqueraient pas d'avoir moult incidences directes sur la prochaine session du CC. Car le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem sera attendu de pied ferme par ses détracteurs qui lui demanderont alors des comptes. La session du comite central sera houleuse et d'ores et déjà d'aucuns prédisent la répétition du même scénario que celui de la précédente session ordinaire, celle qui s'est tenue au mois de juin dernier. Lors de cette session, pour rappel, le FLN s'est donné en spectacle à sidi Fredj, à l'hôtel Erriadh plus précisément. Des bagarres ont en effet éclaté entre les pros et les anti Belkhadem. Une situation qui a bloqué l'entame des travaux, laissant la place à des tractations de coulisses. Des tractations qui n'ont pas abouti puisque les opposants à Belkhadem, qui ont occupé la salle des conférences, exigeaient la démission du secrétaire général. Une revendication qui a été, on s'en doute bien, refusée. Face à ce blocage Belkhadem et ses partisans ont utilisé la manière forte pur déloger leurs adversaires de la salle des conférences. Belkhadem, contrairement à ce que clamaient ses adversaires, a alors exhibé une liste de 221 membres du CC qu lui sont favorables. A ses détracteurs, qui s'estimaient majoritaires dans cette instance, il a alors déclaré : «donnez-moi la liste des membres qui sont contre moi et qui veulent me retirer leur confiance ». Depuis, les divergences persistent et la crise interne n'a pas trouvée son épilogue. Les adversaires de Belkhadem continuent à reclasser sa démission. IL y'a quelques jours seulement, Abdelkrim Abada le coordinateur du mouvement de redressement, revenait à la charge sur cette question et ce, au moment ou Belkhadem faisait montre de sa satisfaction des résultats obtenus par le parti aux élections locales du 29 novembre . C'est dire que la prochaine session du CC ne se présente pas dans le s meilleures conditions. Il est dès lors évident que Belkhadem et ses partisans vont devoir en découdre, de nouveau, avec leurs adversaires.