Pour la quatrième année consécutive, la wilaya de Batna abritera le Festival culturel national du théâtre amazigh. Cette 4e édition débutera aujourd'hui pour prendre fin le 18 décembre prochain. Pour cette nouvelle édition, pas moins de 16 pièces de théâtre seront présentées en langue tamazight. Pour la quatrième année consécutive, la wilaya de Batna abritera le Festival culturel national du théâtre amazigh. Cette 4e édition débutera aujourd'hui pour prendre fin le 18 décembre prochain. Pour cette nouvelle édition, pas moins de 16 pièces de théâtre seront présentées en langue tamazight. Placé sous le slogan «Perfectionnement et continuité», cette éditions verra donc la participation de 16 pièces de théâtre. Des représentations qui seront en lice pour décrocher le grand prix de la manifestation. D'après des informations collectées du site officiel du festival, plusieurs troupes de théâtre viendront d'une dizaine de wilayas. Les représentations sont programmées, bien évidement au théâtre régional de Batna mais également, comme il a été de coutume depuis la première édition dans les localités avoisinantes à l'instar de Aïn Touta, Tazoult, N'gaous et Seriana. Soulignons que le théâtre régional de Batna sera en compétition cette année avec une nouvelle production en tamazight, intitulée Ikneker, interprétée par de jeunes comédiens qui feront leurs premiers pas sur les planches. Adaptation signée de Seghir Ennouri de Rhinocéros, d'Eugène Ionesco, qui avait inspiré le défunt Abdelmalek Bouguermouh pour sa pièce Rdjal ya hlalef. La pièce est mise en scène par Samir Oudjit. Oeuvre maîtresse du théâtre de l'absurde, cette pièce porte sur le devant de la scène la perte des valeurs humaines dans une société déshumanisée. Il est à noter également qu'en plus des représentations, en marge de ce festival, il est prévu des rencontres-débats entre le public et les professionnels du théâtre pour la promotion du 4e art en langue amazigh. D'après le commissaire du festival et directeur du TRB, il y aura la tenue de divers ateliers sur mouvements corporels sur scène et la concentration, des cours de théories sur le théâtre, ainsi que les bases de l'apprentissage théâtral. Des ateliers qui seront encadrés par l'artiste Haider Benhacine. En parallèle, un colloque scientifique sera organisé à la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa les 12 et 13 décembre. Il sera consacré au thème "Théâtre amazigh, sa réalité et ses perspectives". Les débats seront dédiés, a-t-on ajouté, au rôle du théâtre amazigh dans la dynamique culturelle et sociale. Selon Mohamed Yahiaoui, cette manifestation instituée par le ministère de la Culture, constituera "un espace de compétition" ouvert aux troupes théâtrales d'expression amazighe activant à l'échelle nationale. Son objectif, ajoute la même source, est de "sensibiliser le grand public au théâtre amazigh, promouvoir, valoriser et développer le théâtre de création en langue amazighe tout en favorisant sa diffusion". Placé sous le slogan «Perfectionnement et continuité», cette éditions verra donc la participation de 16 pièces de théâtre. Des représentations qui seront en lice pour décrocher le grand prix de la manifestation. D'après des informations collectées du site officiel du festival, plusieurs troupes de théâtre viendront d'une dizaine de wilayas. Les représentations sont programmées, bien évidement au théâtre régional de Batna mais également, comme il a été de coutume depuis la première édition dans les localités avoisinantes à l'instar de Aïn Touta, Tazoult, N'gaous et Seriana. Soulignons que le théâtre régional de Batna sera en compétition cette année avec une nouvelle production en tamazight, intitulée Ikneker, interprétée par de jeunes comédiens qui feront leurs premiers pas sur les planches. Adaptation signée de Seghir Ennouri de Rhinocéros, d'Eugène Ionesco, qui avait inspiré le défunt Abdelmalek Bouguermouh pour sa pièce Rdjal ya hlalef. La pièce est mise en scène par Samir Oudjit. Oeuvre maîtresse du théâtre de l'absurde, cette pièce porte sur le devant de la scène la perte des valeurs humaines dans une société déshumanisée. Il est à noter également qu'en plus des représentations, en marge de ce festival, il est prévu des rencontres-débats entre le public et les professionnels du théâtre pour la promotion du 4e art en langue amazigh. D'après le commissaire du festival et directeur du TRB, il y aura la tenue de divers ateliers sur mouvements corporels sur scène et la concentration, des cours de théories sur le théâtre, ainsi que les bases de l'apprentissage théâtral. Des ateliers qui seront encadrés par l'artiste Haider Benhacine. En parallèle, un colloque scientifique sera organisé à la maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa les 12 et 13 décembre. Il sera consacré au thème "Théâtre amazigh, sa réalité et ses perspectives". Les débats seront dédiés, a-t-on ajouté, au rôle du théâtre amazigh dans la dynamique culturelle et sociale. Selon Mohamed Yahiaoui, cette manifestation instituée par le ministère de la Culture, constituera "un espace de compétition" ouvert aux troupes théâtrales d'expression amazighe activant à l'échelle nationale. Son objectif, ajoute la même source, est de "sensibiliser le grand public au théâtre amazigh, promouvoir, valoriser et développer le théâtre de création en langue amazighe tout en favorisant sa diffusion".