Au moment où nous sommes toujours dans l'attente des résultats définitifs des élections locales du 29 novembre dernier, la course aux sénatoriales a commencé dans la wilaya de Tizi- Ouzou. Officiellement, trois candidats ont déposé leurs dossiers de candidature au niveau de la direction de la réglementation et de l'administration générale au siège de la wilaya avant-hier. On annonce, de ce fait, l'actuel président de l'assemblée populaire de wilaya, l'avocat Moussa Tamatardaza. Celui-ci représentera le Front des forces socialistes. Le deuxième candidat en lice est celui du Rassemblement national démocratique, Sid-Ali Zemirli ayant eu à piloter la liste du parti à l'APW. Quant au Front de libération nationale, c'est l'avocate et enseignante à l'université, Cherifa Ould Cheikh, qui y postule. La course à ce siège très précieux du reste sera très rude car on ne sait pas encore pour qui vont voter les élus de tous les autres partis qui ne prennent pas part à cette élection. De même que le RCD, qui a un nombre très élevé d'élus, donnera certainement des consignes de vote. En faveur de quel candidat? Personne ne peut répondre à cette question pour le moment. Et tous les cas de figure sont possibles. C'est d'ailleurs la leçon la plus importante ayant été tirée à partir des jeux d'alliances contractées au niveau des APC et ne répondant vraiment à aucune logique, en dehors de celle des intérêts purement personnels. Il ne faut non plus pas oublier les élus sur des listes indépendantes qui pèseront de tout leur poids lors de ce vote ainsi que les élus issus des autres partis comme le Mouvement du peuple algérien, le Front de l'Algérie nouvelle, le Mouvement de l'entente nationale, le Mouvement de la société pour la paix, le Rassemblement patriotique et républicain, etc. Pronostiquer un quelconque résultat pour cette élection sénatoriale relève du domaine de l'impossible. Surtout après le scénario vécu au niveau des APC où la majorité des élus du RND n'ont pas respecté l'accord signé avec le FLN et le FFS pour se soutenir mutuellement partout où l'un des trois partis a obtenu une majorité relative. Les consignes de vote données par les directions de wilaya des formations politiques ne sont pas respectées, comme on l'a constaté. Il serait donc hasardeux de dire qui sera élu sénateur à Tizi-Ouzou où sept sur les soixante-sept communes que compte la wilaya sont toujours bloquées. Il s'agit de Boudjima, Makouda, Aït Bouaddou, Tigzirt, Mechtras, Tizi-Ouzou et Mkira.Les résultats non définitifs des élections locales du 29 novembre 2012 font état de dix-huit APC qui seront présidées par un élu du RCD, treize pour le FFS, huit pour le RND, six pour le FLN, deux pour le MPA, une pour le MEN, une pour le FAN et onze indépendantes. Ceci, en attendant la validation des résultats. Au moment où nous sommes toujours dans l'attente des résultats définitifs des élections locales du 29 novembre dernier, la course aux sénatoriales a commencé dans la wilaya de Tizi- Ouzou. Officiellement, trois candidats ont déposé leurs dossiers de candidature au niveau de la direction de la réglementation et de l'administration générale au siège de la wilaya avant-hier. On annonce, de ce fait, l'actuel président de l'assemblée populaire de wilaya, l'avocat Moussa Tamatardaza. Celui-ci représentera le Front des forces socialistes. Le deuxième candidat en lice est celui du Rassemblement national démocratique, Sid-Ali Zemirli ayant eu à piloter la liste du parti à l'APW. Quant au Front de libération nationale, c'est l'avocate et enseignante à l'université, Cherifa Ould Cheikh, qui y postule. La course à ce siège très précieux du reste sera très rude car on ne sait pas encore pour qui vont voter les élus de tous les autres partis qui ne prennent pas part à cette élection. De même que le RCD, qui a un nombre très élevé d'élus, donnera certainement des consignes de vote. En faveur de quel candidat? Personne ne peut répondre à cette question pour le moment. Et tous les cas de figure sont possibles. C'est d'ailleurs la leçon la plus importante ayant été tirée à partir des jeux d'alliances contractées au niveau des APC et ne répondant vraiment à aucune logique, en dehors de celle des intérêts purement personnels. Il ne faut non plus pas oublier les élus sur des listes indépendantes qui pèseront de tout leur poids lors de ce vote ainsi que les élus issus des autres partis comme le Mouvement du peuple algérien, le Front de l'Algérie nouvelle, le Mouvement de l'entente nationale, le Mouvement de la société pour la paix, le Rassemblement patriotique et républicain, etc. Pronostiquer un quelconque résultat pour cette élection sénatoriale relève du domaine de l'impossible. Surtout après le scénario vécu au niveau des APC où la majorité des élus du RND n'ont pas respecté l'accord signé avec le FLN et le FFS pour se soutenir mutuellement partout où l'un des trois partis a obtenu une majorité relative. Les consignes de vote données par les directions de wilaya des formations politiques ne sont pas respectées, comme on l'a constaté. Il serait donc hasardeux de dire qui sera élu sénateur à Tizi-Ouzou où sept sur les soixante-sept communes que compte la wilaya sont toujours bloquées. Il s'agit de Boudjima, Makouda, Aït Bouaddou, Tigzirt, Mechtras, Tizi-Ouzou et Mkira.Les résultats non définitifs des élections locales du 29 novembre 2012 font état de dix-huit APC qui seront présidées par un élu du RCD, treize pour le FFS, huit pour le RND, six pour le FLN, deux pour le MPA, une pour le MEN, une pour le FAN et onze indépendantes. Ceci, en attendant la validation des résultats.