La 6e édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa) a débuté samedi soir avec au programme, en compétition officielle, 13 longs-métrages et 14 courts-métrages représentant 13 pays du monde arabe. La 6e édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa) a débuté samedi soir avec au programme, en compétition officielle, 13 longs-métrages et 14 courts-métrages représentant 13 pays du monde arabe. Jusqu'au 22 décembre prochain, les deux jurys présidés respectivement par les Algériens Méliani Hadj pour la section long-métrage et Mounès Khemmar pour le court-métrage auront à visionner les œuvres en lice avant de décerner les différents prix du festival, dont le grand prix le "Wihr d'or" (Lion d'or) récompensant le meilleur long-métrage. Dans la catégorie long-métrage, l'Algérie concourra avec deux films, Yema, de Djamila Sahraoui, et Parfums d'Alger, de Rachid Benhadj, alors que pour ce qui est du court- métrage, deux films réalisés par de jeunes cinéastes, El Djazira (l'Ile), d'Amine Sidi Boumediène, et Le Hublot, d'Anis Djaâd, représenteront l'Algérie. Les autres œuvres dans les deux catégories proviennent d'Arabie saoudite, des Emirats arabes unis, de Jordanie, du Koweït, du Liban, du Maroc, du Soudan, de Syrie, de Palestine, de Tunisie, du Soudan et de Libye. Pour cette 6e édition, les organisateurs ont lancé une section "documentaires" avec neuf œuvres, dont quatre réalisées par des Algériens, trois autres par des Tunisiens, un Marocain et, enfin, un Palestinien. Coïncidant avec le cinquantenaire du recouvrement de l'indépendance nationale, le Fofa proposera un panorama du 7e art national avec onze films au programme comme Benboulaïd, d'Ahmed Rachedi, Chroniques des années de braise, de Mohamed Lakhdar Hamina, La bataille d'Alger, de Gillo Pontecorvo, Les hors-la-loi, de Rachid Bouchareb, et bien d'autres. Parallèlement aux projections cinématographiques, il est prévu l'organisation, mercredi prochain, au niveau de Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC), d'une journée d'étude sur le thème "Histoire, cinéma et guerre de Libération nationale". La rencontre scientifique à laquelle participeront des historiens, des cinéastes et des critiques portera sur quatre axes de réflexion : "L'histoire au cinéma", "Le cinéma face à l'histoire", "Ecritures cinématographiques" et "Questions universitaires sur le cinéma". Une table ronde sur les "55 ans de cinématographie algérienne" est programmée lundi à la Cinémathèque d'Oran avec la participation d'Ahmed Bejaoui et de réalisateurs comme Ahmed Rachedi et Mohamed Hazourli et l'universitaire Mohamed Bensalah. Des ateliers de formation dans les techniques cinématographiques seront organisés également durant le festival au niveau du Théâtre régional d'Oran. Par ailleurs, un hommage sera rendu à plusieurs personnalités lors de cette édition, à l'instar de Boualem Bessaïh, des cinéastes français et italien René Vauthier et Gilo Pontecorvo, des défunts comédiens Sirat Boumediène (1927-1995), Rachid Farès (1955-2012), Keltoum (1916-2010), qui seront distinguées à titre posthume, en plus d'autres personnalités encore en vie. Pour rappel, lors de la précédente édition, le "Wihr d'or" et le prix du meilleur scénario sont revenus au film Hala Lawin, de la Libanaise Nadine Labki, le prix de la meilleure réalisation a été attribué à Kef El Kamar, de l'Egyptien Khaled Youcef,alors que le jury avait attribué son prix à Dima Brandon, du Tunisien Réda Bahi. Jusqu'au 22 décembre prochain, les deux jurys présidés respectivement par les Algériens Méliani Hadj pour la section long-métrage et Mounès Khemmar pour le court-métrage auront à visionner les œuvres en lice avant de décerner les différents prix du festival, dont le grand prix le "Wihr d'or" (Lion d'or) récompensant le meilleur long-métrage. Dans la catégorie long-métrage, l'Algérie concourra avec deux films, Yema, de Djamila Sahraoui, et Parfums d'Alger, de Rachid Benhadj, alors que pour ce qui est du court- métrage, deux films réalisés par de jeunes cinéastes, El Djazira (l'Ile), d'Amine Sidi Boumediène, et Le Hublot, d'Anis Djaâd, représenteront l'Algérie. Les autres œuvres dans les deux catégories proviennent d'Arabie saoudite, des Emirats arabes unis, de Jordanie, du Koweït, du Liban, du Maroc, du Soudan, de Syrie, de Palestine, de Tunisie, du Soudan et de Libye. Pour cette 6e édition, les organisateurs ont lancé une section "documentaires" avec neuf œuvres, dont quatre réalisées par des Algériens, trois autres par des Tunisiens, un Marocain et, enfin, un Palestinien. Coïncidant avec le cinquantenaire du recouvrement de l'indépendance nationale, le Fofa proposera un panorama du 7e art national avec onze films au programme comme Benboulaïd, d'Ahmed Rachedi, Chroniques des années de braise, de Mohamed Lakhdar Hamina, La bataille d'Alger, de Gillo Pontecorvo, Les hors-la-loi, de Rachid Bouchareb, et bien d'autres. Parallèlement aux projections cinématographiques, il est prévu l'organisation, mercredi prochain, au niveau de Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC), d'une journée d'étude sur le thème "Histoire, cinéma et guerre de Libération nationale". La rencontre scientifique à laquelle participeront des historiens, des cinéastes et des critiques portera sur quatre axes de réflexion : "L'histoire au cinéma", "Le cinéma face à l'histoire", "Ecritures cinématographiques" et "Questions universitaires sur le cinéma". Une table ronde sur les "55 ans de cinématographie algérienne" est programmée lundi à la Cinémathèque d'Oran avec la participation d'Ahmed Bejaoui et de réalisateurs comme Ahmed Rachedi et Mohamed Hazourli et l'universitaire Mohamed Bensalah. Des ateliers de formation dans les techniques cinématographiques seront organisés également durant le festival au niveau du Théâtre régional d'Oran. Par ailleurs, un hommage sera rendu à plusieurs personnalités lors de cette édition, à l'instar de Boualem Bessaïh, des cinéastes français et italien René Vauthier et Gilo Pontecorvo, des défunts comédiens Sirat Boumediène (1927-1995), Rachid Farès (1955-2012), Keltoum (1916-2010), qui seront distinguées à titre posthume, en plus d'autres personnalités encore en vie. Pour rappel, lors de la précédente édition, le "Wihr d'or" et le prix du meilleur scénario sont revenus au film Hala Lawin, de la Libanaise Nadine Labki, le prix de la meilleure réalisation a été attribué à Kef El Kamar, de l'Egyptien Khaled Youcef,alors que le jury avait attribué son prix à Dima Brandon, du Tunisien Réda Bahi.