Les paramédicaux ne désarment pas. Après la grève de trois jours les 24, 25 et 26 décembre derniers, ils ont décidé de monter, de nouveau, au front. Le conseil national du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) vient, en effet, d'annoncer une grève nationale cyclique qui sera entamée le 21 janvier. Trois jours durant, soit les 21, 22 et 23 janvier, les hôpitaux seront certainement paralysés comme ce fut le cas lors de la grève de trois jours du mois de décembre dernier. Le SAP reviendra à la charge les 28, 29 et 30 janvier. IL en sera de même les 4,5 et 6 février ainsi que les 11, 12 et 13 février. C'est dire toute la détermination des paramédicaux en vue de faire entendre leurs voix et faire aboutir leurs revendications. Le SAP, qui assure dans son communiqué que seul le service minimum sera assuré, «dénonce avec véhémence la légèreté et le mépris réservés par la tutelle à ses doléances. Une fois de plus cette dernière au lieu et à la place d'un dialogue serein et responsable s'illustre par des déclarations maladroites et tendancieuses». Le SAP, qu appelle la base à rester mobilisée et déterminée, menace de recourir à «d'autres actions plus radicales» et ce, «suivant l'évolution de la situation». Le conseil national du SAP rappelle, en outre les revendications des paramédicaux comme «le respect de dispositions statutaires intégrant les paramédicaux brevetés dans le nouveau statut». Il est aussi question dans cette plateforme de revendications de «l'élaboration du dispositif réglementaire afin de rendre effective la progression de carrière inexistante», de «mettre définitivement un terme au chevauchement des paramédicaux entre les statuts anciens et nouveaux, amalgame qu'entretient délibérément la tutelle». Le syndicat revendique aussi, entres autres, la revalorisation des indemnités risque et gardes et la mise en application du protocole d'accord relatif aux amendements statutaires contenus dans le procès-verbal de la commission mixte, ministère de la Santé /SAP. Les paramédicaux ne désarment pas. Après la grève de trois jours les 24, 25 et 26 décembre derniers, ils ont décidé de monter, de nouveau, au front. Le conseil national du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) vient, en effet, d'annoncer une grève nationale cyclique qui sera entamée le 21 janvier. Trois jours durant, soit les 21, 22 et 23 janvier, les hôpitaux seront certainement paralysés comme ce fut le cas lors de la grève de trois jours du mois de décembre dernier. Le SAP reviendra à la charge les 28, 29 et 30 janvier. IL en sera de même les 4,5 et 6 février ainsi que les 11, 12 et 13 février. C'est dire toute la détermination des paramédicaux en vue de faire entendre leurs voix et faire aboutir leurs revendications. Le SAP, qui assure dans son communiqué que seul le service minimum sera assuré, «dénonce avec véhémence la légèreté et le mépris réservés par la tutelle à ses doléances. Une fois de plus cette dernière au lieu et à la place d'un dialogue serein et responsable s'illustre par des déclarations maladroites et tendancieuses». Le SAP, qu appelle la base à rester mobilisée et déterminée, menace de recourir à «d'autres actions plus radicales» et ce, «suivant l'évolution de la situation». Le conseil national du SAP rappelle, en outre les revendications des paramédicaux comme «le respect de dispositions statutaires intégrant les paramédicaux brevetés dans le nouveau statut». Il est aussi question dans cette plateforme de revendications de «l'élaboration du dispositif réglementaire afin de rendre effective la progression de carrière inexistante», de «mettre définitivement un terme au chevauchement des paramédicaux entre les statuts anciens et nouveaux, amalgame qu'entretient délibérément la tutelle». Le syndicat revendique aussi, entres autres, la revalorisation des indemnités risque et gardes et la mise en application du protocole d'accord relatif aux amendements statutaires contenus dans le procès-verbal de la commission mixte, ministère de la Santé /SAP.