Le président Bachar el-Assad a rejeté les appels à sa démission, promettant de continuer à combattre des rebelles. Il avait également proposé une conférence de réconciliation nationale, des élections et une nouvelle Constitution. Le président Bachar el-Assad a rejeté les appels à sa démission, promettant de continuer à combattre des rebelles. Il avait également proposé une conférence de réconciliation nationale, des élections et une nouvelle Constitution. Le ministre des Affaires étrangères de Syrie a invité les rebelles à déposer leurs armes et à prendre part à un dialogue national, disant que tous ceux qui y participeront seront inclus dans un nouveau conseil des ministres avec des pouvoir exécutifs. Dans un entretien en direct à la télévision d'Etat, tard samedi, Walid al-Moallem a indiqué que tous les partis d'opposition pourraient se joindre au conseil à la condition qu'ils rejettent une intervention étrangère en Syrie. Il a ajouté que le gouvernement syrien avait commencé à contacter ceux qu'il a qualifiés de «représentants du peuple syrien». Plus tôt ce mois-ci, le président Bachar el-Assad a rejeté les appels à sa démission, promettant de continuer à combattre des rebelles. Il avait également proposé une conférence de réconciliation nationale, des élections et une nouvelle Constitution, des concessions qu'il avait précédemment offertes depuis le début du soulèvement contre lui en mars 2011. L'opposition soutient, quant à elle, que l'actuel président ne peut jouer aucun rôle dans une résolution du conflit. Al-Moallem s'est adressé à elle dans son interview, appelant ceux qui s'étaient battus pour le changement et la réforme à participer à bâtir la «nouvelle Syrie». Le ministre a également accusé le Qatar, l'Arabie saoudite et la Turquie d'armer et de financer les rebelles syriens. Il a également soutenu que Jabhat al-Nusra — un groupe lié à Al-Qaida déclaré organisation terroriste par les Etats-Unis et qui se bat aux côtés des rebelles syriens — avait fait venir des combattants de 27 pays pour se battre en Syrie. L'entretien d'al-Moallem a été diffusé à la fin d'une journée pendant laquelle soldats du gouvernement ont livré d'intenses batailles contre des rebelles qui tentaient de capturer deux bases militaires dans le nord-ouest du pays tout en augmentant l'intensité de leurs attaques contre d'autres enceintes militaires du reste du pays, selon des activistes. L'Observatoire syrien pour les droits humains, installé en Grande-Bretagne, et les Comités de coordinations locaux ont indiqué que les rebelles avaient détruit au moins un blindé de l'armée près de la ville de Khan Sheikhoun dans la province d'Idlib. Les rebelles se concentrent sur les attaques des bases du gouvernement. La guerre civile syrienne a fait plus de 60.000 morts depuis le début du conflit en mars 2011. La Jordanie risque de fermer sa frontière avec la Syrie La Jordanie ne peut plus recevoir de réfugiés syriens qui sont déjà au nombre 285.000 dans le royaume hachémite. Le gouvernement jordanien a déclaré être prêt à fermer sa frontière avec la Syrie en cas d'effondrement dr régime de Bachar-el-Assad car il serait impossible de laisser entrer tout le monde en Jordanie, il est préférable de sécuriser la vie des Syriens dans leur propre pays. Les camps de réfugiés syriens payants au Liban ! Dans la plaine de la Bekaa (est du Liban), des propriétaires louent aux réfugiés syriens des parcelles de terre. Une conséquence de l'inaction du gouvernement, qui refuse d'ériger des camps pour les 200.000 Syriens présents sur le territoire. Deux cents tentes ont été érigées sur un terrain boueux, le prix de location de ces tentes peut atteindre 150 euros. Cette situation concerne au moins 6.700 Syriens dans la plaine de la Bekaa. Le ministre des Affaires étrangères de Syrie a invité les rebelles à déposer leurs armes et à prendre part à un dialogue national, disant que tous ceux qui y participeront seront inclus dans un nouveau conseil des ministres avec des pouvoir exécutifs. Dans un entretien en direct à la télévision d'Etat, tard samedi, Walid al-Moallem a indiqué que tous les partis d'opposition pourraient se joindre au conseil à la condition qu'ils rejettent une intervention étrangère en Syrie. Il a ajouté que le gouvernement syrien avait commencé à contacter ceux qu'il a qualifiés de «représentants du peuple syrien». Plus tôt ce mois-ci, le président Bachar el-Assad a rejeté les appels à sa démission, promettant de continuer à combattre des rebelles. Il avait également proposé une conférence de réconciliation nationale, des élections et une nouvelle Constitution, des concessions qu'il avait précédemment offertes depuis le début du soulèvement contre lui en mars 2011. L'opposition soutient, quant à elle, que l'actuel président ne peut jouer aucun rôle dans une résolution du conflit. Al-Moallem s'est adressé à elle dans son interview, appelant ceux qui s'étaient battus pour le changement et la réforme à participer à bâtir la «nouvelle Syrie». Le ministre a également accusé le Qatar, l'Arabie saoudite et la Turquie d'armer et de financer les rebelles syriens. Il a également soutenu que Jabhat al-Nusra — un groupe lié à Al-Qaida déclaré organisation terroriste par les Etats-Unis et qui se bat aux côtés des rebelles syriens — avait fait venir des combattants de 27 pays pour se battre en Syrie. L'entretien d'al-Moallem a été diffusé à la fin d'une journée pendant laquelle soldats du gouvernement ont livré d'intenses batailles contre des rebelles qui tentaient de capturer deux bases militaires dans le nord-ouest du pays tout en augmentant l'intensité de leurs attaques contre d'autres enceintes militaires du reste du pays, selon des activistes. L'Observatoire syrien pour les droits humains, installé en Grande-Bretagne, et les Comités de coordinations locaux ont indiqué que les rebelles avaient détruit au moins un blindé de l'armée près de la ville de Khan Sheikhoun dans la province d'Idlib. Les rebelles se concentrent sur les attaques des bases du gouvernement. La guerre civile syrienne a fait plus de 60.000 morts depuis le début du conflit en mars 2011. La Jordanie risque de fermer sa frontière avec la Syrie La Jordanie ne peut plus recevoir de réfugiés syriens qui sont déjà au nombre 285.000 dans le royaume hachémite. Le gouvernement jordanien a déclaré être prêt à fermer sa frontière avec la Syrie en cas d'effondrement dr régime de Bachar-el-Assad car il serait impossible de laisser entrer tout le monde en Jordanie, il est préférable de sécuriser la vie des Syriens dans leur propre pays. Les camps de réfugiés syriens payants au Liban ! Dans la plaine de la Bekaa (est du Liban), des propriétaires louent aux réfugiés syriens des parcelles de terre. Une conséquence de l'inaction du gouvernement, qui refuse d'ériger des camps pour les 200.000 Syriens présents sur le territoire. Deux cents tentes ont été érigées sur un terrain boueux, le prix de location de ces tentes peut atteindre 150 euros. Cette situation concerne au moins 6.700 Syriens dans la plaine de la Bekaa.