Israël, persuadé de son impunité, a snobé une session spéciale du Conseil des droits de l'Homme de l'Onu. Une session qui lui étéit spécialement consacrée. Ce n'est nullement un scoop puisque Israël a battu le record en matière de désobéissance arrogante vis-à-vis des résolutions prises par cette instance à son encontre. "Je constate que la délégation israélienne n'est pas dans la salle", a déclaré le président du Conseil, Remigiusz Henczel, à l'ouverture de la session. Il a ensuite suspendu la séance, indiquant qu'elle reprendrait à 15h afin que les pays membres du Conseil puissent "évaluer la situation et parvenir à une décision". Israël n'est pas un des 47 membres du Conseil, mais il a l'obligation, comme tous les pays membres de l'Onu, de se soumettre à cet examen périodique universel. Pour rappel Israël a coupé les ponts avec le Conseil des droits de l'homme de l'Onu après la décision prise par celui-ci, en mars 2012, de lancer une mission d'enquête internationale indépendante sur les conséquences des implantations israéliennes sur le "territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est". Le 10 janvier, la mission israélienne auprès de l'Onu avait notifié par téléphone au président du Conseil qu'elle souhaitait reporter la session. Mais depuis, "il n'y a eu aucune nouvelle communication", a expliqué le président du Conseil. Outre l'enquête sur les implantations israéliennes, Israël déplore notamment le fait qu'il soit le seul pays avec un point fixe à l'ordre du jour de chacune des trois sessions annuelles du Conseil. Israël dénonce également le fait qu'il soit l'un des pays sur lesquels le Conseil a voté le plus grand nombre de résolutions. Pour sa part, le président du Conseil des droits de l'homme, M. Henczel, a estimé mardi qu'il regrettait la décision d'Israël et demandé aux autorités "de coopérer à nouveau". Dans un projet de décision qu'il a présenté aux 47 Etats membres du Conseil, il a proposé "de reprogrammer la session sur Israël". Israël, persuadé de son impunité, a snobé une session spéciale du Conseil des droits de l'Homme de l'Onu. Une session qui lui étéit spécialement consacrée. Ce n'est nullement un scoop puisque Israël a battu le record en matière de désobéissance arrogante vis-à-vis des résolutions prises par cette instance à son encontre. "Je constate que la délégation israélienne n'est pas dans la salle", a déclaré le président du Conseil, Remigiusz Henczel, à l'ouverture de la session. Il a ensuite suspendu la séance, indiquant qu'elle reprendrait à 15h afin que les pays membres du Conseil puissent "évaluer la situation et parvenir à une décision". Israël n'est pas un des 47 membres du Conseil, mais il a l'obligation, comme tous les pays membres de l'Onu, de se soumettre à cet examen périodique universel. Pour rappel Israël a coupé les ponts avec le Conseil des droits de l'homme de l'Onu après la décision prise par celui-ci, en mars 2012, de lancer une mission d'enquête internationale indépendante sur les conséquences des implantations israéliennes sur le "territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est". Le 10 janvier, la mission israélienne auprès de l'Onu avait notifié par téléphone au président du Conseil qu'elle souhaitait reporter la session. Mais depuis, "il n'y a eu aucune nouvelle communication", a expliqué le président du Conseil. Outre l'enquête sur les implantations israéliennes, Israël déplore notamment le fait qu'il soit le seul pays avec un point fixe à l'ordre du jour de chacune des trois sessions annuelles du Conseil. Israël dénonce également le fait qu'il soit l'un des pays sur lesquels le Conseil a voté le plus grand nombre de résolutions. Pour sa part, le président du Conseil des droits de l'homme, M. Henczel, a estimé mardi qu'il regrettait la décision d'Israël et demandé aux autorités "de coopérer à nouveau". Dans un projet de décision qu'il a présenté aux 47 Etats membres du Conseil, il a proposé "de reprogrammer la session sur Israël".