Le British Council veut relancer l'enseignement de l'anglais en Algérie. Il prévoit de créer un centre d'enseignement de la langue anglaise afin d' «appuyer et encourager la langue anglaise et satisfaire la demande de plusieurs jeunes Algériens » pour reprendre les propres termes de Lord Risby, représentant spécial du Premier ministre britannique. Le British Council veut relancer l'enseignement de l'anglais en Algérie. Il prévoit de créer un centre d'enseignement de la langue anglaise afin d' «appuyer et encourager la langue anglaise et satisfaire la demande de plusieurs jeunes Algériens » pour reprendre les propres termes de Lord Risby, représentant spécial du Premier ministre britannique. En effet l'officiel britannique a fait cette déclaration en marge d'une rencontre qui a eu lieu jeudi avec le ministre de l'Education nationale Abdellatif Baba Ahmed. L'hôte de Baba Ahmed s'est félicité du reste de ce que le ministère de l'Education algérien montre de l'intérêt pour la coopération dans le domaine de la langue anglaise en tant que « clé de la technologie pour appuyer le développement en Algérie ». Selon le ministre de l'Education nationale « 1.600 enseignants sur 3.000 enseignants du moyen avaient bénéficié d'une formation continue appuyée par le British Council ». Idem pour le domaine de la formation, le ministre de l'Education a également indiqué que 87 inspecteurs avaient bénéficié d'une formation en octobre dernier en sus de 22 autres inspecteurs ayant bénéficié en mars dernier d'une formation en linguistique en Grande-Bretagne encadrée par des formateurs de ce pays afin qu'ils puissent par la suite former des enseignants algériens. Basé à Alger, le British council (l'équivalent d'un centre culturel) était fonctionnel jusqu'en 1990 avant qu'il ne ferme ses portes pour cause de dégradation de la situation sécuritaire dans le pays. Le Premier ministre britannique, David Cameron, qui vient d'effectuer une visite à Alger, a insisté pour sa part sur le fait que le Royaume-Uni est « déterminé à soutenir les efforts du gouvernement algérien visant à développer les compétences de sa population jeune en langue anglaise ». Le partenariat algéro-britannique réserve à la promotion de la langue anglaise une place prépondérante explique-t-on. L'ambassade de Grande-Bretagne à Alger a diffusé un communiqué indiquant que la réouverture de centre « se fera dans le cadre d'un nouveau grand projet pilote cofinancé par les deux pays qui concernera la formation des enseignants algériens, y compris à travers des séjours d'immersion linguistique au Royaume-Uni ». Citée par l'APS, la chargée de l'information au niveau du ministère de l'Education nationale, Leila Bouloudane « a rappelé que le British Council qui sera rouvert a été fermé en 1990 ». Or cette information sur la réouverture du British council suscite des interrogations, car cette réouverture fut déjà annoncée en octobre 2007. C'est son directeur John Mitchell, qui l'avait rendue publique lors d'une conférence de presse animée à Alger à cette époque. Il avait notamment déclaré « le British Council reprend ses activités en Algérie après la confirmation de l'autorisation du gouvernement algérien, accordée l'année dernière. » En effet l'officiel britannique a fait cette déclaration en marge d'une rencontre qui a eu lieu jeudi avec le ministre de l'Education nationale Abdellatif Baba Ahmed. L'hôte de Baba Ahmed s'est félicité du reste de ce que le ministère de l'Education algérien montre de l'intérêt pour la coopération dans le domaine de la langue anglaise en tant que « clé de la technologie pour appuyer le développement en Algérie ». Selon le ministre de l'Education nationale « 1.600 enseignants sur 3.000 enseignants du moyen avaient bénéficié d'une formation continue appuyée par le British Council ». Idem pour le domaine de la formation, le ministre de l'Education a également indiqué que 87 inspecteurs avaient bénéficié d'une formation en octobre dernier en sus de 22 autres inspecteurs ayant bénéficié en mars dernier d'une formation en linguistique en Grande-Bretagne encadrée par des formateurs de ce pays afin qu'ils puissent par la suite former des enseignants algériens. Basé à Alger, le British council (l'équivalent d'un centre culturel) était fonctionnel jusqu'en 1990 avant qu'il ne ferme ses portes pour cause de dégradation de la situation sécuritaire dans le pays. Le Premier ministre britannique, David Cameron, qui vient d'effectuer une visite à Alger, a insisté pour sa part sur le fait que le Royaume-Uni est « déterminé à soutenir les efforts du gouvernement algérien visant à développer les compétences de sa population jeune en langue anglaise ». Le partenariat algéro-britannique réserve à la promotion de la langue anglaise une place prépondérante explique-t-on. L'ambassade de Grande-Bretagne à Alger a diffusé un communiqué indiquant que la réouverture de centre « se fera dans le cadre d'un nouveau grand projet pilote cofinancé par les deux pays qui concernera la formation des enseignants algériens, y compris à travers des séjours d'immersion linguistique au Royaume-Uni ». Citée par l'APS, la chargée de l'information au niveau du ministère de l'Education nationale, Leila Bouloudane « a rappelé que le British Council qui sera rouvert a été fermé en 1990 ». Or cette information sur la réouverture du British council suscite des interrogations, car cette réouverture fut déjà annoncée en octobre 2007. C'est son directeur John Mitchell, qui l'avait rendue publique lors d'une conférence de presse animée à Alger à cette époque. Il avait notamment déclaré « le British Council reprend ses activités en Algérie après la confirmation de l'autorisation du gouvernement algérien, accordée l'année dernière. »