Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, a déploré, hier, dans la capitale italienne, qu'aucun résultat tangible n'ait été enregistré depuis la réunion de Rome de mai 2011 sur la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies. "Nous constatons, avec regret, qu'aucun résultat tangible n'ait été enregistré depuis (le 16 mai 2011 à Rome), ni vécu concrètement dans la volonté partagée pour une plus grande démocratisation du système des Nations unies et pour une profonde réforme de son principal organe, le Conseil de sécurité", a souligné M. Messahel lors de la réunion ministérielle tenue sur cette question à Rome. Il a ajouté que cette réforme doit "impérativement" prendre en compte les nouveaux équilibres du monde et où l'Afrique, en tant que continent émergent, "doit avoir toute sa place". Relevant que la 8e série des négociations intergouvernementales vient de s'achever "sans aucun résultat concret", les positions des différents groupes d'intérêt restent éloignées les unes des autres, le ministre délégué a exprimé la "conviction" de l'Algérie que cette réunion pourrait constituer une "étape importante dans le renforcement de notre convergence et la consolidation de notre démarche". "Lors de notre rencontre, ici même à Rome en mai 2011, nous avons tous convenu de la nécessité de faire preuve d'une volonté commune et de tout mettre en œuvre pour réparer l'injustice historique faite au continent africain", a rappelé, à cet égard, le ministre. "Nous constatons, avec satisfaction, que des propositions sont faites au groupe africain à New York par les différents groupes d'intérêt, dans le but évident de faire avancer les négociations intergouvernementales sur la réforme du système de sécurité", a-t-il poursuivi à ce sujet Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, a déploré, hier, dans la capitale italienne, qu'aucun résultat tangible n'ait été enregistré depuis la réunion de Rome de mai 2011 sur la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies. "Nous constatons, avec regret, qu'aucun résultat tangible n'ait été enregistré depuis (le 16 mai 2011 à Rome), ni vécu concrètement dans la volonté partagée pour une plus grande démocratisation du système des Nations unies et pour une profonde réforme de son principal organe, le Conseil de sécurité", a souligné M. Messahel lors de la réunion ministérielle tenue sur cette question à Rome. Il a ajouté que cette réforme doit "impérativement" prendre en compte les nouveaux équilibres du monde et où l'Afrique, en tant que continent émergent, "doit avoir toute sa place". Relevant que la 8e série des négociations intergouvernementales vient de s'achever "sans aucun résultat concret", les positions des différents groupes d'intérêt restent éloignées les unes des autres, le ministre délégué a exprimé la "conviction" de l'Algérie que cette réunion pourrait constituer une "étape importante dans le renforcement de notre convergence et la consolidation de notre démarche". "Lors de notre rencontre, ici même à Rome en mai 2011, nous avons tous convenu de la nécessité de faire preuve d'une volonté commune et de tout mettre en œuvre pour réparer l'injustice historique faite au continent africain", a rappelé, à cet égard, le ministre. "Nous constatons, avec satisfaction, que des propositions sont faites au groupe africain à New York par les différents groupes d'intérêt, dans le but évident de faire avancer les négociations intergouvernementales sur la réforme du système de sécurité", a-t-il poursuivi à ce sujet