Les principaux pays soutenant la rébellion, l'Arabie saoudite et le Qatar, ont gardé le silence mais des médias proches de Ryad ont rapporté des voix dissonantes au sein de la Coalition présidée par M. Khatib. Les principaux pays soutenant la rébellion, l'Arabie saoudite et le Qatar, ont gardé le silence mais des médias proches de Ryad ont rapporté des voix dissonantes au sein de la Coalition présidée par M. Khatib. Un quotidien, proche du pouvoir syrien, a mis en doute mardi l'offre de dialogue du chef de l'opposition Ahmed Moaz al-Khatib, l'appelant indirectement à désavouer la rébellion armée avant toute négociation, cela alors même que cette proposition a reçu l'aval de Washington, de la Russie et de l'Iran. Le quotidien syrien al-Watan a estimé que malgré son "importance politique, l'offre arrivait avec deux ans de retard et ne suffisait pas pour que M. Khatib soit considéré comme un négociateur acceptable". La diplomatie américaine a apporté son soutien à l'appel au dialogue, excluant, toutefois, l'immunité pour le président Bachar al-Assad. Les principaux pays soutenant la rébellion, l'Arabie saoudite et le Qatar, ont gardé le silence mais des médias proches de Ryad ont rapporté des voix dissonantes au sein de la Coalition présidée par M. Khatib. "Les propos de M. Khatib sont incohérents", a affirmé un membre de la Coalition sous couvert de l'anonymat cité mardi par le quotidien à capitaux saoudiens Asharq al-Awsat. La Turquie a affirmé qu'un dialogue entre régime et opposition "ne permettrait pas de trouver une solution au conflit". Mais d'autres opposants et militants ont appuyé l'idée de dialogue en raison des souffrances de la population. Le Liwa al-Tawhid, groupe rebelle du nord de la Syrie, s'est refusé à tout commentaire. M. Khatib a proposé de dialoguer avec le vice-président Farouk al-Chareh, évoqué tour à tour par la Ligue arabe, les Nations unies et la Turquie pour remplacer Bachar al-Assad en cas de transition négociée. Cependant, et en dépit des vives critiques dans son propre camp, Ahmed Moaz al-Khatib a réitéré sa proposition de dialogue. Après deux ans de violences, les groupes rebelles ont-ils enfin compris qu'il faille inévitablement passer par la "case négociations", cela d'autant que le régime de Bachar al-Assad ne semble pas céder d'un pouce sur le terrain. Un quotidien, proche du pouvoir syrien, a mis en doute mardi l'offre de dialogue du chef de l'opposition Ahmed Moaz al-Khatib, l'appelant indirectement à désavouer la rébellion armée avant toute négociation, cela alors même que cette proposition a reçu l'aval de Washington, de la Russie et de l'Iran. Le quotidien syrien al-Watan a estimé que malgré son "importance politique, l'offre arrivait avec deux ans de retard et ne suffisait pas pour que M. Khatib soit considéré comme un négociateur acceptable". La diplomatie américaine a apporté son soutien à l'appel au dialogue, excluant, toutefois, l'immunité pour le président Bachar al-Assad. Les principaux pays soutenant la rébellion, l'Arabie saoudite et le Qatar, ont gardé le silence mais des médias proches de Ryad ont rapporté des voix dissonantes au sein de la Coalition présidée par M. Khatib. "Les propos de M. Khatib sont incohérents", a affirmé un membre de la Coalition sous couvert de l'anonymat cité mardi par le quotidien à capitaux saoudiens Asharq al-Awsat. La Turquie a affirmé qu'un dialogue entre régime et opposition "ne permettrait pas de trouver une solution au conflit". Mais d'autres opposants et militants ont appuyé l'idée de dialogue en raison des souffrances de la population. Le Liwa al-Tawhid, groupe rebelle du nord de la Syrie, s'est refusé à tout commentaire. M. Khatib a proposé de dialoguer avec le vice-président Farouk al-Chareh, évoqué tour à tour par la Ligue arabe, les Nations unies et la Turquie pour remplacer Bachar al-Assad en cas de transition négociée. Cependant, et en dépit des vives critiques dans son propre camp, Ahmed Moaz al-Khatib a réitéré sa proposition de dialogue. Après deux ans de violences, les groupes rebelles ont-ils enfin compris qu'il faille inévitablement passer par la "case négociations", cela d'autant que le régime de Bachar al-Assad ne semble pas céder d'un pouce sur le terrain.