Les essais nucléaires effectués par la France coloniale dans la zone de Hamoudia, à Reggane (Adrar), constituent un double crime contre l'humanité et l'environnement, a affirmé le président de l'association du 13 février 1960, Hamel Sid-Ameur. Ce crime abominable perpétré dans les confins du Sahara algérien, sont une preuve historique encore vivace de l'atrocité des crimes de la France coloniale contre des populations algériennes innocentes, a-t-il souligné, en marge d'une conférence sur le thème, organisée à Timi dans le cadre de la commémoration du 53ème anniversaire de ces explosions nucléaires atmosphériques. M. Hamel a rejeté, en outre, les prétentions françaises de l'inexistence de présence humaine dans la zone d'explosion (Hamoudia), arguant du fait que celle-ci est distante de 60 km de Reggane, les faits historiques ayant démontré le contraire. Ces allégations sont autant infondées car la position géographique de la région, alors, carrefour des caravanes commerciales de et vers les pays du Sahel est, a-t-il dit, la porte du Sahara algérien vers les pays d'Afrique. Selon le président de l'association du 13 février 1960, la question des essais nucléaires français à Reggane nécessitent des études encore plus approfondies, car les séquelles de cette tragédie ne sont pas éphémères mais s'étalent dans le temps. Elles sont partagées aussi bien par les populations qui l'ont vécue que par les générations montantes, au regard des risques encourus par la présence des déchets nucléaires que la France a délibérément enterré pour cacher ses crimes, sans le moindre respect des conditions et critères sanitaires requis dans ce genre d'activité. Hamel Sid-Ameur a, en outre, rappelé les revendications de l'association du 13 février 1960 appelant au nettoiement de la région des déchets nucléaires qui constituent une bombe à retardement faisant peser une grande menace sur la santé publique, ainsi qu'à la création d'une structure de santé spécialisée dans le traitement des maladies cancéreuses causées par la radioactivité. Ces doléances n'ont cessé d'être soulevées par l'association depuis sa fondation en 1996 et l'obtention de son agrément il y a 13 ans, a-t-il soutenu. Dans le cadre de la commémoration du douloureux souvenir de ces essais nucléaires, la commune d'Adrar a élaboré un programme comportant une cérémonie de recueillement à la mémoire des victimes de ces essais, ainsi que la tenue d'une conférence encadrée par les autorités locales, la kasma des moudjahidine et l'association du 13 février 1960. Une exposition de documents historiques, un concours culturel et des activités sportives sont également projetés dans le cadre de cette commémoration. Les essais nucléaires effectués par la France coloniale dans la zone de Hamoudia, à Reggane (Adrar), constituent un double crime contre l'humanité et l'environnement, a affirmé le président de l'association du 13 février 1960, Hamel Sid-Ameur. Ce crime abominable perpétré dans les confins du Sahara algérien, sont une preuve historique encore vivace de l'atrocité des crimes de la France coloniale contre des populations algériennes innocentes, a-t-il souligné, en marge d'une conférence sur le thème, organisée à Timi dans le cadre de la commémoration du 53ème anniversaire de ces explosions nucléaires atmosphériques. M. Hamel a rejeté, en outre, les prétentions françaises de l'inexistence de présence humaine dans la zone d'explosion (Hamoudia), arguant du fait que celle-ci est distante de 60 km de Reggane, les faits historiques ayant démontré le contraire. Ces allégations sont autant infondées car la position géographique de la région, alors, carrefour des caravanes commerciales de et vers les pays du Sahel est, a-t-il dit, la porte du Sahara algérien vers les pays d'Afrique. Selon le président de l'association du 13 février 1960, la question des essais nucléaires français à Reggane nécessitent des études encore plus approfondies, car les séquelles de cette tragédie ne sont pas éphémères mais s'étalent dans le temps. Elles sont partagées aussi bien par les populations qui l'ont vécue que par les générations montantes, au regard des risques encourus par la présence des déchets nucléaires que la France a délibérément enterré pour cacher ses crimes, sans le moindre respect des conditions et critères sanitaires requis dans ce genre d'activité. Hamel Sid-Ameur a, en outre, rappelé les revendications de l'association du 13 février 1960 appelant au nettoiement de la région des déchets nucléaires qui constituent une bombe à retardement faisant peser une grande menace sur la santé publique, ainsi qu'à la création d'une structure de santé spécialisée dans le traitement des maladies cancéreuses causées par la radioactivité. Ces doléances n'ont cessé d'être soulevées par l'association depuis sa fondation en 1996 et l'obtention de son agrément il y a 13 ans, a-t-il soutenu. Dans le cadre de la commémoration du douloureux souvenir de ces essais nucléaires, la commune d'Adrar a élaboré un programme comportant une cérémonie de recueillement à la mémoire des victimes de ces essais, ainsi que la tenue d'une conférence encadrée par les autorités locales, la kasma des moudjahidine et l'association du 13 février 1960. Une exposition de documents historiques, un concours culturel et des activités sportives sont également projetés dans le cadre de cette commémoration.