L es ressortissantes maliennes (M.A), 23 ans et (T.A), 26 ans, en situation irrégulière, demeurant dans une habitation louée à la cité Coca commune d'Oran, se sont présentées à la brigade de Gendarmerie nationale de Yaghmourassen, pour déposer une plainte contre les nommés (B.N), 22 ans, (H.M), 18 ans et (T. M), 19 ans, demeurant tous à ladite cité, pour séquestration suivie de viol. Selon la déclaration des victimes faites le 14 février dernier à 23 heures, de retour à leur domicile, elles ont été agressées par les mis en cause qui les ont conduites sous la menace de sabres et de couteaux vers le domicile du mis en cause cité en premier, où ils les ont séquestrées et violées à tour de rôle. A 23 heures 50 minutes, profitant d'un moment d'inattention, la nommée (T.A), a réussi à prendre la fuite, pour demander de l'aide des voisins, qui l'ont accompagnée au domicile du mis en cause et ont libéré la deuxième victime, pour ensuite les orienter vers la brigade de Gendarmerie nationale, alors que les ravisseurs ont fui les lieux. Les recherches entreprises par les gendarmes de la brigade de Yaghmourassen ont abouti à l'interpellation des nommés (H.M) et (T. M). Le 16 février passé à 21 heures, le groupement de Gendarmerie nationale d'Oran a reçu un appel téléphonique sur le numéro vert 1055 signalant une rixe ayant opposé un groupe d'individus à des personnes de couleur à hauteur de la cité Coca. Les gendarmes de la brigade de Yaghmourassen qui se sont aussitôt transportés sur les lieux ont interpellé le nommé (H.T), 21 ans, auteur présumé d'une agression par arme blanche commise la veille à 20 heures, à hauteur de la même cité et dont a été victime un ressortissant camerounais, se trouvant actuellement dans un état comateux à l'hôpital d'Oran. Au cours de l'enquête, il s'est avéré que le nommé (H.T) est impliqué dans l'affaire du viol et a été identifié formellement par les deux victimes. A signaler que les deux Maliennes ont été condamnées par le tribunal d'Oran à une peine de six mois de prison avec sursis assortie d'expulsion, suite à leur présentation le 10 du mois en cours, pour immigration clandestine. Avisé des faits, le procureur de la République près le tribunal d'Oran a prescrit l'ouverture d'une enquête et la présentation des mis en cause. L es ressortissantes maliennes (M.A), 23 ans et (T.A), 26 ans, en situation irrégulière, demeurant dans une habitation louée à la cité Coca commune d'Oran, se sont présentées à la brigade de Gendarmerie nationale de Yaghmourassen, pour déposer une plainte contre les nommés (B.N), 22 ans, (H.M), 18 ans et (T. M), 19 ans, demeurant tous à ladite cité, pour séquestration suivie de viol. Selon la déclaration des victimes faites le 14 février dernier à 23 heures, de retour à leur domicile, elles ont été agressées par les mis en cause qui les ont conduites sous la menace de sabres et de couteaux vers le domicile du mis en cause cité en premier, où ils les ont séquestrées et violées à tour de rôle. A 23 heures 50 minutes, profitant d'un moment d'inattention, la nommée (T.A), a réussi à prendre la fuite, pour demander de l'aide des voisins, qui l'ont accompagnée au domicile du mis en cause et ont libéré la deuxième victime, pour ensuite les orienter vers la brigade de Gendarmerie nationale, alors que les ravisseurs ont fui les lieux. Les recherches entreprises par les gendarmes de la brigade de Yaghmourassen ont abouti à l'interpellation des nommés (H.M) et (T. M). Le 16 février passé à 21 heures, le groupement de Gendarmerie nationale d'Oran a reçu un appel téléphonique sur le numéro vert 1055 signalant une rixe ayant opposé un groupe d'individus à des personnes de couleur à hauteur de la cité Coca. Les gendarmes de la brigade de Yaghmourassen qui se sont aussitôt transportés sur les lieux ont interpellé le nommé (H.T), 21 ans, auteur présumé d'une agression par arme blanche commise la veille à 20 heures, à hauteur de la même cité et dont a été victime un ressortissant camerounais, se trouvant actuellement dans un état comateux à l'hôpital d'Oran. Au cours de l'enquête, il s'est avéré que le nommé (H.T) est impliqué dans l'affaire du viol et a été identifié formellement par les deux victimes. A signaler que les deux Maliennes ont été condamnées par le tribunal d'Oran à une peine de six mois de prison avec sursis assortie d'expulsion, suite à leur présentation le 10 du mois en cours, pour immigration clandestine. Avisé des faits, le procureur de la République près le tribunal d'Oran a prescrit l'ouverture d'une enquête et la présentation des mis en cause.